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Myriam Chimènes

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Policiers

Myriam

Le capitaine de police André Ormus assiste en spectateur révolté à la cavale meurtrière du terroriste fou Mohamed Merah à Toulouse. L'occasion d'un travail documentaire sur cette affaire hors-norme et barbare. Et un hommage à toutes les victimes.

06/2019

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Musique, danse

Mécènes et musiciens. Du salon au concert à Paris sous la IIIe République

De Fauré à Stravinsky, de Debussy à Poulenc, d'Arthur Rubinstein à Clara Haskil, nombreux sont les musiciens qui entretiennent des liens souvent étroits avec la Société parisienne, bénéficiant ainsi de la publicité nécessaire à la promotion de leur carrière. Sous la IIIe République, le rôle majeur joué par les mécènes dans la diffusion et la création musicale semble pallier les carences de l'Etat qui ne mène pas de véritable politique musicale. Des concerts de la Société nationale de musique à ceux du groupe Jeune France en passant par les Ballets russes ou les Concerts Wiéner, une grande partie des manifestations qui font date dans l'histoire de la musique de cette période doivent leur survie et parfois leur existence à l'appui que les classes sociales fortunées apportent à ces initiatives privées. Animateurs de salons, dédicataires, commanditaires de partitions nouvelles, organisateurs de concerts publics, les mécènes s'illustrent en apportant un soutien matériel et moral à des musiciens, compositeurs ou interprètes. Non dénués de snobisme, ils sont nobles ou bourgeois, femmes pour la majorité, amateurs pour la plupart, l'amour de la musique s'accompagnant volontiers de sa pratique. Pour leur plaisir, la musique occupe l'espace privé que constituent les salons ; dictée par le goût, la fréquentation des concerts publics obéit aussi aux usages de leur milieu. Du salon au concert, des réseaux se dessinent, assurant une circulation subtile entre l'espace privé et l'espace public. Les activités musicales du salon de Madame Verdurin sont le reflet d'une réalité admirablement perçue par Marcel Proust. Simple réjouissance de l'intimité ou accessoire des réceptions mondaines, la musique occupe une place de choix dans les salons, lieux de sociabilité mais aussi lieux de travail pour les musiciens. Le salon de Marguerite de Saint-Marceaux offre un cadre aux débuts de la jeune Isadora Duncan, qui y danse accompagnée au piano par Ravel ; en s'improvisant organisatrice de concerts publics, la comtesse Greffulhe permet la création française d'oeuvres de Wagner, Mahler ou Schoenberg ; confidente de Diaghilev, Misia lui apporte un soutien sans faille ; quant à la princesse Edmond de Polignac, elle commande à Stravinsky, Satie ou Falla des oeuvres destinées à être interprétées dans son fastueux hôtel particulier. Ce qui a longtemps été considéré comme "la petite histoire" n'est en réalité pas anecdotique dans l'histoire de la vie musicale parisienne de cette époque.

04/2004

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Poésie

Pensées pour Myriam

Ce recueil de poèmes a pour ambition de mettre en valeur sous les auspices d'une balade poétique, les figures de la paix et du développement en Afrique et au sein d'un monde où la quête de l'unité entre les peuples et dans l'individu se construit au sein d'une adversité intérieure et extérieure. La plume du poète étant une arme de combat contre la violence, l'auteur invite les consciences contemporaines, à rechercher les causes profondes des divisions et de la violence, et en une vision aux rivages de la mystique, en appelle à la quiétude de l'âme, comme solution durable et communicable. Cette balade prend par moments des accents de paroles d'amours adressées soit à une muse approchant la Vierge-Marie soit une femme aimée, symbolisant la sentinelle qui porte le monde sur ses frêles épaules maternelles.

12/2017

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XXe siècle

Myriam pour toujours

1942 – Elle venait d'un pays qui n'était pas le mien Elle était juive et je ne l'étais pas Ils étaient deux enfants, elle était juive, il ne l'était pas... 13 juillet 1942, dernier jour de classe à Paris et dernier jour de liberté pour Anne Frank à Amsterdam. Nous sommes à trois jours de la rafle du Vél d'Hiv. Trois ans ont passé, la guerre s'est achevée. Dans la fumée des trains qui reviennent de l'enfer, il l'espère de quai de gare en quai de gare. " Ne m'oublie pas ", la promesse d'un enfant et la quête de l'adulte qu'il est devenu dans une vie à reconstruire. Auschwitz, le drame d'Oradour-sur-Glane, celui des Malgré-Nous, la traque d'Eichmann, la guerre froide, celle des Six Jours, la chute du mur de Berlin, l'attentat de la rue des Rosiers... Il traverse le XXe siècle, fidèle à sa promesse.

01/2022

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Littérature française

Myriam pour toujours

Ils étaient deux enfants. Elle était juive, lui ne l'était pas... Personne n'aurait dû entraver leur histoire, mais en réalité, la vie met parfois à l'épreuve même les liens les plus forts. C'est trois ans après la rafle du Vel d'Hiv que l'on retrouve le narrateur, un jeune adulte plein d'espoir recherchant désespérément la jeune fille qui hante ses souvenirs. A travers les vestiges du passé, suivez le récit d'une enfance marquée par les ignominies de la Guerre, et celle d'un adulte en quête de réponses afin de se reconstruire. Edité une première fois et couronné du Prix littéraire de la Société des Ecrivains d'Alsace, Lorraine et Territoire de Belfort, il connaît aujourd'hui une réédition et se voit enrichi de documents rares, issus des recherches de l'auteur.

04/2024

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Littérature française

L'affaire Myriam Sakhri

Cas emblématique de harcèlement dans la gendarmerie Depuis 12 ans, l'affaire Sakhri défraye la chronique. Que s'est-il passé dans la caserne de gendarmerie à Lyon où Le corps de la jeune gendarme de 32 ans a été retrouvée morte le 24 septembre 2011 une balle dans le foie et son arme de service à ses pieds ? Harcèlement, discrimination, suicide ou meurtre ? L'enquête sur les circonstances de la mort de Myriam Sakhri, confiée par la justice à l'IGGN (Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale) conclut à un suicide " pour raisons personnelles " alors que la jeune femme disait être victime de harcèlement de la part de sa hiérarchie et dénonçait le racisme de ses collègues au sein du CORG, le service des appels d'urgence de la gendarmerie. La famille fait appel mais la Cour de cassation en 2015 écarte tout harcèlement. L'affaire est pliée. Mais la famille ne croit pas à cette thèse. Elle travaille sans relâche pour obtenir des éclaircissements sur cet événement tragique. Les soeurs de Myriam et une amie de la famille relève un nombre important de failles et d'incohérences. Pourquoi l'enquête a été bouclée en six mois ? Pourquoi Myriam se serait suicidée alors qu'elle venait de réussir le concours d'OPJ ? Pourquoi a-t-on conclu qu'un seul tir avait été tiré alors que l'on a retrouvé deux douilles dans l'appartement ? Le collectif " Soutien Gendarme Myriam Sakhri " retrouve des dizaines de témoins clés dont plusieurs militaires et pompiers qui contredisent la version officielle ainsi que sur le rôle joué par le colonel qui dirigeait la caserne. " il voulait qu'elle dégage de la gendarmerie, elle était dans le collimateur ", " on m'a demandé de ne pas parler du mot visant le colonel G ", évoquant une réunion organisée au CORG après le drame destiné selon elle à " salir la mémoire de la défunte. "Tout le monde a eu peur et s'est tu" , déplore un autre. Grâce au travail d'investigation exemplaire de la famille avec leurs avocats William Bourdon et Vincent Brengarth, la justice décide de rouvrir le dossier judiciaire le 2 avril 2021. Le résultat de l'enquête est attendu dans quelques jours. La décision du juge d'instruction devrait tomber avant l'été 2022.

07/2022

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