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Mondadori Finnivest Berslusconi

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Littérature française

La Cadillac des Montadori

En publiant à la une du Figaro, le 20 février 1909, le Manifeste du futurisme, le poète italien Marinetti lance le premier mouvement d'avant-garde artistique du XXe siècle. Son propos est radical: assez des chefs-d'œuvre du passé et des musées, vive la modernité des villes et la beauté de la vitesse! Des peintres s'y rallient bientôt - Boccioni, Carrà, Russolo, Balla et Severini -, prônant à leur tour le "dynamisme pictural". Soirées futuristes et conférences se multiplient un peu partout en Europe, de même que les manifestes, tant politiques qu'artistiques. Gagnant rapidement tous les domaines - sculpture, architecture, musique, mais aussi cinéma, théâtre, danse, mode et cuisine -, le futurisme opère jusque dans les années 1930 une véritable révolution des idées, et une mise en cause de l'art lui-même. C'est à l'analyse de cette philosophie du devenir" que nous convie Giovanni Lista, manifestes à l'appui. Le vieux Montadori va mourir. Dans cette île brûlée de soleil où de toute éternité les femmes semblent vouées au silence et les hommes à la guerre, un ballet commence autour du lit d'agonie. Montadori avait tout le pays à sa main, il faisait et défaisait les fortunes et les élections, et sa succession est l'objet de convoitises qui pourraient bien être déjouées, avec l'apparition d'un prétendant inattendu...

10/2008

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Histoire internationale

L'anomalie Berlusconi

En mai 2001, les Italiens, se sentant trahis par une gauche qui n'a pas su effacer les tares de l'ancien système, donnent la majorité à la coalition que conduit Silvio Berlusconi. Comment le premier patron d'Italie, l'homme le plus riche du pays et la quatorzième fortune du monde est-il parvenu à conquérir ta confiance d'une démocratie en quête de normalité ? Quels sont les ressorts du populisme moderne qu'il incarne, tourné vers l'entreprise, les managers et les gestionnaires ? De la privatisation du pouvoir à la soumission parlementaire, de la politique d'immigration au contrôle de l'information, Adrien Candiard passe au crible la complexité du phénomène Berlusconi où l'on voit de vieux usages affairistes mis au service d'un nouveau régime médiatique. Et où l'on s'interroge sur l'avenir d'une démocratie malade au cœur de l'Europe...

03/2003

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Littérature française

Les fausses dents de Berlusconi

Voici un livre de notes. Sans préjuger de ce qui pourrait être élevé à la dignité de pensée gravée dans le marbre, et de ce qui devrait demeurer dans les caves de l'oubli, de ce qui passera, et de ce qui restera, Jacques Drillon a rassemblé mille et trois post-it sur l'art et les artistes, l'Histoire et ceux qui la font. Il a noté, mais sans annoter. Pas d'explication à ce qu'il raconte, pas de jugement dans ce qu'il montre. Un traité du bref savoir.

10/2014

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Actualité et médias

Le temps de l'Etat-Entreprise. Berlusconi, Trump, Macron

Personnages ayant surgi comme par effraction à la présidence de leur pays, perçus comme des "politiques" improbables, Berlusconi, Trump et Macron ont été bien rapidement étiquetés "populistes", "élitistes", "néo-libéraux". Si ces trois figures, pourtant en phase avec l'époque, restent incompréhensibles, c'est qu'ils méritent que l'on formule d'autres hypothèses d'interprétation du phénomène qu'ils représentent. Berlusconi, Trump et Macron, antipolitiques en politique, sont des figures pionnières de l'Etat-Entreprise. Cette institution double se manifeste et apparaît aujourd'hui, tandis que l'Etat est plus affaibli que jamais, et à sa suite la politique et le système de la représentation. L'Entreprise, en premier lieu la grande Entreprise (big corporation), triomphe. Elle est à l'apogée de sa puissance. Ce livre met en perspective, sur la longue durée, la mutation profonde du politique en Occident et donne à voir ce qui se joue à l'arrière-plan, entre l'Etat (institution de la religion du politique) et l'Entreprise (institution de la religion industrielle) : un lent processus de neutralisation de l'Etat qui s'accélère depuis la fin du XXe siècle et semble tendre à son démantèlement, au profit de l'Entreprise... A tout le moins assistons-nous à un transfert d'hégémonie. Le temps de l'Etat-Entreprise advient, temps de la mutation du pouvoir et du rapport de force entre les deux institutions désormais hybridées.

03/2019

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Italie

Main basse sur l'Italie. La résistible ascension de Silvio Berlusconi

Populaire, populiste, audacieux, on l'appelle " le Cavaliere ". Il possède la première fortune d'Italie et contrôle trois chaînes de télévision. Tel est Silvio Berlusconi. Aventurier et ancien président du Conseil italien. Flamboyant et inquiétant. On le croyait à jamais écarté de la vie politique. Mais le voici, à nouveau, aux portes du pouvoir... Entré en politique à la suite de l'opération Mani pulite - qui, à partir de 1992, a décimé la classe politique de la péninsule - ce magnat de la communication semblait pourtant " hors jeu " après sa brève et désastreuse expérience gouvernementale de 1994. Les succès de la coalition centre-gauche de Romano Prodi laissaient entrevoir la marginalisation définitive de cet homme d'affaires trop compromis. Il n'en fut rien... Eric Jozsef raconte ici comment " le Cavaliere " est parvenu à redistribuer, à son profit, les cartes politiques de l'Italie d'aujourd'hui. Comment, malgré ses ennuis judiciaires, peut-il encore briguer le premier rang ? Jusqu'où se compromettra-t-il avec ses alliés xénophobes de la Ligue du Nord ? Avec les post-fascistes ? Jusqu'où Silvio Berlusconi ira-t-il trop loin pour faire main basse sur l'Italie ? Avec quelles répercussions en Europe ?

04/2001

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Actualité politique internatio

My Way

Alan Friedman connaît Silvio Berlusconi depuis 30 ans, notamment parce qu'il a longtemps été correspondant à Milan pour le Financial Times. Il a analysé et critiqué sévèrement non seulement la politique mais les frasques personnelles de l'un des chefs d'Etat les plus controversés en Europe. En 2014, il lui a demandé de lui raconter son parcours, sa vie, à travers des heures d'entretiens et un accès libre à ses archives, à son entourage, sa famille, ses collaborateurs, etc. Il lui a proposé d'en faire un livre ainsi qu'une série d'interviews filmées pour la télé. Alan Friedman a posé ses conditions : ce ne sera pas une hagiographie mais un portrait où l'ancien dirigeant de l'Italie, aujourd'hui âgé de 77 ans, ne sera considéré ni comme un saint ni comme une victime et aucune question ne lui sera épargnée. Après avoir refusé des dizaines de demandes similaires, Silvio Berlusconi a accepté de léguer au public un témoignage sans concession. "Natural Born Seducer, c'est ainsi que ma mère m'a nommé dès ma jeunesse."

10/2015

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