Recherche

Lettres d'Algérie

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de Kamel Daoud

Kamel Daoud, né le 17 juin 1970 à Mostaganem, en Algérie, est un écrivain et journaliste algérien francophone. Il est particulièrement connu pour son roman Meursault, contre-enquête, qui lui a valu une reconnaissance internationale.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

ActuaLitté

Dossier

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

ActuaLitté

Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

ActuaLitté

Dossier

Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

ActuaLitté

Dossier

La Lettre Zola : entre tradition et innovation

Dans le paysage médiatique contemporain, où l'information est souvent consommée rapidement et en surface, La Lettre Zola offre une bouffée d'air frais. C'est une aventure littéraire qui se tient à la frontière entre tradition et innovation, offrant une nouvelle voie pour la littérature dans notre société numérique. Pour ceux qui souhaitent soutenir ce projet, les précommandes sont disponibles avec une livraison estimée pour janvier 2024.

Extraits

ActuaLitté

Guerre d'Algérie

Lettres d'Algérie

Durant 21 mois un appelé du contingent de la classe 58 2B (Novembre 1958) note par écrit, et confie à sa fiancée quasi quotidiennement, ce qu'il vit comme 2e classe en sa qualité d'infirmier et instituteur au 8e Spahis, dans la région de Bordj Bou Arreridj-Sétif, puis de Souk-Ahras. L'auteur de ces lettres nous livre ici son témoignage sur cette période sombre de la Guerre d'Algérie où le contingent n'était censé oeuvrer qu'au Maintien de l'ordre et à la Pacification.

03/2022

ActuaLitté

Non classé

Lettre d'Algérie à mes parents

Albert Ducloz est né le 17 février 1940. Quatorze jours après ses vingt ans, il est incorporé direct à Alger le 3 mars 1960. Il effectue son service militaire au 1er régiment de Spahis algériens, du 1er mars 1960 au 27 avril 1962 sur la ligne Morice. En Algérie, Albert Ducloz écrit tous les 2 ou 3 jours à ses parents. Après la mort de sa mère, il a retrouvé ses lettres bien rangées dans l'armoire familiale. Passés les moments d'émotion en relisant ses phrases et revivent cette guerre longtemps non reconnue, il décide de publier ce témoignage direct : le vécu quotidien d'un appelé du contingent sur ce que fut cette guerre non dite. La plupart des guerres ont été racontées par des historiens, des hommes politiques, des officiers, mais trop rarement par les hommes de troupe. Par delà le témoignage quotidien de terrain, ce livre est un hommage à tous les appelés, rappelés, maintenus, militaires de carrière qui ont fait l'Algérie. Albert Ducloz à publié plusieurs romans.

02/2009

ActuaLitté

Histoire internationale

Souvenirs d'Algérie 1840-1842 : Erinnerungen aus Algerien

" Sincèrement, parfois, j'en viens à croire que cette guerre est une guerre d'extermination ", tel est le jugement que porte Clemens Lamping sur la colonisation de l'Algérie, et ceci en 1841. Originaire de l'Allemagne du Nord, engagé dans la Légion étrangère à 28 ans, Lamping participe, de 1840 à 1842, à différentes expéditions dans l'Algérois et dans l'Oranais. Ses Souvenirs peuvent se lire comme une chronique minutieuse, presque objective, de la conquête de l'Algérie. Lamping se pose plus en observateur qu'en soldat. Curieux de tout, il s'intéresse non seulement à la vie et à l'organisation militaires au sein de la Légion étrangère, mais encore aux populations citadines et rurales qu'il rencontre. Ne prenant aucun parti dans le conflit colonial, Lamping présente des faits bruts et des réalités brutales, corroborés par d'autres témoignages que son récit complète. Certaines événements, certaines anecdotes, ne sont cependant connus que par ces Souvenirs. Le texte allemand de Lamping, édité en 1844-1846 et tombé dans l'oubli depuis, paraît ici pour la première fois en traduction française. Il mérite d'être lu et étudié dans le contexte historique de la colonisation dont il reflète les engagements et dénonce impitoyablement les excès.

01/2000

ActuaLitté

Guerre d'Algérie

Paroles d'Algérie. Lettres de torturés (1954-1962)

Automne 1954, Toussaint rouge. C'est le début d'une guerre qui ne dit pas tout de suite son nom et ne montrera son vrai visage, celui de la torture pratiquée dans les deux camps, en France comme en Algérie, qu'après de plus longues années encore. Mais tandis que sur le territoire algérien les peuples se déchirent, des voix s'élèvent déjà pour raconter et nommer l'horreur. Qu'ils soient soldats ou victimes, militaires ou simples civils, ils écrivent à la justice et aux journaux pour témoigner. Soucieux de dire, de dénoncer, de faire savoir, de briser le silence, les auteurs de ces lettres remplissent avec exemplarité leur rôle de donneurs d'alerte. Soixante ans après la guerre, ces textes, issus principalement des archives du Monde, remontent à la surface et témoignent, à leur tour, de la vigilance et de l'indignation.

03/2023

ActuaLitté

Histoire de France

J'ai voulu voir. Lettres d'Alégrie

Gilles Caron fut l’un des plus grands photographes du XXe siècle, ses photos des émeutes de mai 68 sont aujourd’hui connues de tous (notamment celles des émeutes de mai 68, la geurre des Six-jours, etc.) Il a immortalisé les stars de l’époque (Brigitte Bardot, Jacques Brel ou François Truffaut) avant de disparaître tragiquement au cours d’un reportage à l’âge de trente ans. En juin 1960, il fut envoyé en Algérie, comme parachutiste au sein du 3e régiment d’infanterie de marine. Là-bas, il continua d’entretenir une correspondance fournie, commencée dans son enfance, avec sa mère. Tour à tour drôles et sérieuses, légères et inquiètes, ces lettres (environ 300), retrouvées et retranscrites par la femme de Gilles Caron, Marianne Caron Montely, nous dévoilent, avec une intensité bouleversante, la tendresse sans limites qui lie une mère à son fils. Ce dialogue de toute une vie leur est indispensable, à l’un comme à l’autre, et balaie tous les sujets de conversation : des problèmes dentaires de Gilles au référendum du général de Gaulle ; ils discutent de lectures, cinéma, peinture, mais aussi de la vie quotidienne, la famille ou l’appartement que « Mame » prépare pour le retour de Gilles. Leur sujet principal reste la guerre d’Algérie : les lettres échangées entre 1960 et 1962 apportent un éclairage formidable, précis et vivant sur ce terrible conflit. C’est probablement en Algérie que se sont développés la curiosité de Gilles Caron et son besoin de se trouver au cœur de l’action, qualités déterminantes pour la carrière de photographe qu’il entame à son retour. Gilles veut témoigner pour « se situer dans le monde ». Dès 1960, au cœur de la tourmente, il écrivait à sa mère : « Je n’arrive pas à comprendre comment je ne suis pas planqué dans un service à Alger. Enfin, oui, je sais, j’ai voulu voir… »

01/2012

ActuaLitté

Critique littéraire

L'école Ibn-Khaldoun. Lettres d'Algérie (1961-1964)

Une multitude de livres, déjà, sur la guerre d'Algérie ; cependant cette correspondance - entre une famille et leur fille aînée partie pour la France continuer ses études - a un goût authentique, une fraîcheur d'informations, sur le vif, au jour le jour ; même les historiens y trouveront des nouveautés. Dans les mois précédant l'indépendance (5 juillet 1962), où tant de personnes fuient l'Algérie, deux cent mille Pieds-Noirs (c'est à ce moment-là, dit-on, que ce vocable fut usité) choisissent de continuer d'y vivre et d'y travailler. Les lettres ici présentées émanent d'une famille qui opta pour cette continuité. Les enseignants de ce temps-là, les anciennes élèves du quartier - qui porte aujourd'hui le nom de Hai Abd-el-Kader alors qu'on le nommait quartier Bugeaud ou Village Nègre quand on ne disait pas Greba - retrouveront une époque à la fois difficile et lumineuse et le rôle bienfaisant de l'école Ibn-Khaldoun, dans son écoute affectueuse et efficace.

02/2018

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté