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Les carrefours du labyrinthe. Tome 3, Le monde morcelé

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Dossier

Lettres du Monde : promouvoir les littératures et les cultures du monde

A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.

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Dossier

Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Dossier

Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

Extraits

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Philosophie

Les carrefours du labyrinthe. Tome 3, Le monde morcelé

Dans sa stérilité, l'époque s'empresse de proclamer la fin de la philosophie, la clôture de la métaphysique ou la nécessité de nous soumettre derechef à la Loi révélée par un Autre inaccessible. La fin de la philosophie signifierait la fin du projet d'autonomie. Et ce projet, partiellement incarné dans l'histoire gréco-occidentale, se trouve menacé. Expansion autonomisée et létale de la techno-science ; évanescence du conflit politique et social ; démission des intellectuels empressés autour des pouvoirs, tout conspire à créer un type d'être humain absorbé par la consommation et le plaisir du moment, tout à la fois cynique et conformiste. Comment, avec de tels citoyens, la fameuse démocratie pourrait-elle fonctionner ou même à la longue survivre ?

11/2000

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Philosophie

Les carrefours du labyrinthe Tome 3 : Le monde morcelé

Le monde morcelé Dans sa stérilité, l'époque s'empresse de proclamer la fin de la philosophie, la clôture de la métaphysique ou la nécessité de nous soumettre derechef à la Loi révélée par un Autre inaccessible. La fin de la philosophie signifierait la fin du projet d'autonomie. Et ce projet, partiellement incarné dans l'histoire gréco-occidentale, se trouve menacé. Expansion létale de la technoscience ; évanescence du conflit politique et social ; démission des intellectuels empressés autour des pouvoirs : tout conspire à créer un type d'être humain absorbé par la consommation et le plaisir du moment, tout à la fois cynique et conformiste. Comment, avec de tels citoyens, la fameuse démocratie pourrait-elle fonctionner ou même, à la longue, survivre ? Cornelius Castoriadis (1922-1997) Co-fondateur du groupe et de la revue Socialisme ou Barbarie, ses écrits de cette période sont réédités depuis 2012 au Editions du Sandre. Il a été économiste à l'OCDE (1948-1970), psychanalyste (1973-1997), directeur d'étude à l'EHESS (1980-1995). Ses séminaires font l'objet d'une publication posthume au Seuil, où ont aussi été publiés L'Institution imagaire de la société (1975) et cinq autres volumes des Carrefours du labyrinthe.

10/1990

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Philosophie

Les carrefours du labyrinthe Tome 6 : Figures du pensable

Avec les Figures du pensable, dont la publication avait été prévue par Cornelius Castoriadis, s'achève la série des Carrefours du labyrinthe inaugurée en 1978. Sur les limites de la "rationalité" du capitalisme, la démocratie comme auto-institution explicite de la société, l'interrogation philosophique sur la science et la psyché, il approfondit dans les textes regroupés ici quelques-uns des thèmes déjà travaillés auparavant. Sous la rubrique "Poièsis", il aborde plus franchement des aspects de la création humaine - les moyens d'expression de la poésie, l'anthropogenèse chez les tragiques grecs du Ve siècle - qui, pour ne pas être entièrement nouveaux chez Castoriadis, avaient rarement été affrontés par lui sous ce jour.

09/1999

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Philosophie

Les carrefours du labyrinthe. Tome 2, Domaines de l'homme

Notre époque vivrait-elle un effondrement de l'imagination politique, un laisser-aller intellectuel généralisé ? On dirait parfois que se sont dilués tous les critères, évaporés les repères les plus élémentaires. Ce vide étrange rend d'autant plus impérieuse l'exigence de penser lucidement et rigoureusement notre monde. Avec ce second volet des Carrefours du labyrinthe, Cornelius Castoriadis poursuit et approfondit son travail, en témoignant de ce qu'il nomme ses " idées mères ". Il nous rappelle que nous sommes responsables de notre destin et qu'il faut s'atteler au double mouvement de critique sans indulgence de l'" ordre des choses " et de retour aux sources de notre tradition gréco-occidentale pour y revivifier ce qui prépare son dépassement.

10/1999

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Philosophie

Les carrefours du labyrinthe Tome 5 : Fait et à faire

" Ni fait ni à faire ", disaient autrefois les dames bourgeoises du travail de leurs bonnes quand elles en étaient mécontentes. Fait et à faire pourrait être le sous-titre de tout travail philosophique digne de ce nom. Nous ne philosophons pas pour sauver la révolution, mais notre pensée et notre cohérence. La philosophie est la prise en charge de la totalité du pensable - et il nous faut penser ce que nous faisons. La voie de la philosophie s'ouvre nécessairement lorsqu'on réfléchit aux sciences et à leur histoire. Mais plus encore, la réflexion du social-historique et du psychique est philosophiquement privilégiée. Société, histoire, psyché ne sont pas des conditions extérieures et triviales de la philosophie. Elles lui fournissent l'élément de son existence et, surtout, elles s'expriment dans la philosophie. Car la philosophie, création de significations, est oeuvre de l'imaginaire des sociétés et de l'imagination des êtres humains singuliers.

09/1997

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Littérature française

Le Labyrinthe du monde

Singulière entreprise en vérité que celle de ce Labyrinthe du Monde, écrit de 1972 à la mort de son auteur le 17 décembre 1987, où Mademoiselle de Crayencour n'est pas encore anagrammée en Yourcenar. Elle y évoque en Pythie sagace et sereine ses aïeux à partir de traces mémorielles, lettres, souvenirs pieux, journaux intimes, photographies ; mais quel fil d'Ariane a-t-elle caché dans la trame de ces récits intimes à l'instar de Henry James qu'elle traduisit ? Elle l'avoue peut-être ici : "Le tracé d'une vie humaine est aussi complexe que l'image d'une galaxie". Aussi rappelle-t-elle d'entre les morts sa lignée, s'interrogeant elle-même : "Quel était votre visage avant que votre père et votre mère se fussent rencontrés ? " Projet d'invocation ultime car "il ne faut pas s'encombrer trop tôt des fantômes de la famille" ; projet sûrement voué à l'inachèvement que cette recherche des vies perdues qui fondent obscurément un être humain. Ici, peu à peu, se dessine le visage énigmatique et pourtant sans secrets d'une enfant, d'une jeune fille plus vraie peut-être que "les factices jeunes filles de Proust", que ne légitime ni le sang ni ces gens disparus, mais, sans doute, cet "élément inanalysable" que Yourcenar choisit de nommer l'âme.

08/1990

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