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La politique sur les marchés. Travail, genre et citoyenneté dans la France révolutionnaire

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Dossier

Législatives 2022 : le livre et la culture dans les programmes

Quelques semaines après l'élection présidentielle qui a reconduit Emmanuel Macron à l'Élysée pour un nouveau mandat de cinq ans, les élections législatives recomposeront l'Assemblée nationale. Les députés, à la fois législateurs et contrôleurs de l'action de l'État, s'intéressent assez logiquement à la culture et au livre.

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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La Bibliothèque nationale de France (BnF)

La Bibliothèque nationale de France, abrégée en BnF, est un établissement patrimonial français des plus importants : c'est par exemple cette institution qui assume le dépôt légal des livres, et qui conserve un exemplaire de tous les ouvrages publiés en France. À l'origine bibliothèque du roi au moment de sa création, au XIVe siècle, elle est naturellement devenue la bibliothèque de l'ensemble du peuple français.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Dossier

La musique dans tous ses états

Le chant, le rythme, les sons, la mélodie, l’harmonie... La musique est le plus magique des arts. Là nulle rationalisation, aucun mensonge du discours. Certes la poésie doit atteindre à la musique, mais n’est-ce pas là bien la preuve d’une supériorité ? Une autre occasion où le texte rejoint l'art musical, c’est quand de grands musicologues ou mélomanes nous en décryptent les subtilités ou nous en racontent les histoires.

 

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Dossier

Rentrée littéraire 2021 dans la presse : sélections des médias et journaux

La rentrée littéraire, en 2021 comme les autres années, constitue un événement dans le milieu du livre. Le temps de quelques semaines, les romans, français ou étrangers, deviennent le centre de l'attention. Les médias y participent largement, avec de nombreuses sélections et mises en avant.

Extraits

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Ouvrages généraux et thématiqu

La politique sur les marchés. Travail, genre et citoyenneté dans la France révolutionnaire

Ce livre mobilise la politique, l'économie et l'étude du genre pour examiner dans toute sa diversité la notion de citoyenneté fondée par les Dames des Halles au cours de la Révolution française à travers le commerce quotidien. Détaillantes essentielles, représentantes traditionnelles du tiers état, meneuses de la célèbre marche sur Versailles, ces femmes des marchés parisiens sont au coeur de la politique révolutionnaire. Cet ouvrage novateur explore le militantisme politique et les pratiques économiques des Dames des Halles de 1789 à 1799. Il montre comment certains acteurs des marchés façonnent la démocratie et le capitalisme naissants au fil des transactions les plus ordinaires. Retraçant leurs luttes autour de l'espace commercial, du papier-monnaie, des contrôles des prix, des impôts et des stéréotypes littéraires, le livre présente l'entreprise des Dames des Halles et de leurs compagnons révolutionnaires pour ériger la contribution par le travail en pierre angulaire de la légitimité civique. Ce faisant, il bat en brèche le récit selon lequel la Révolution inaugurerait une citoyenneté intrinsèquement masculine.

06/2023

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Histoire de France

Quand la République était révolutionnaire. Citoyenneté et représentation en 1848

L’insurrection imprévue de février 1848 a fait naître une République. Mais que recouvre exactement le mot ? Loin de s'enfermer dans des discussions savantes, cette question fait l'objet de débats publics, de manifestations et d'affrontements, en particulier dans les rues de Paris. Deux conceptions opposées de la République se constituent. D'un côté, la République modérée, défendue par la majorité du Gouvernement provisoire puis de l'Assemblée nationale, selon laquelle la République se résume dans l'élection au suffrage «universel» (les femmes en restent exclues). D'un autre côté, la République démocratique et sociale, qui rallie des membres de clubs, des ouvriers, de simples citoyens, pour lesquels la République n'a de sens que si elle permet au peuple de participer directement aux affaires publiques, de garder le contrôle sur ses représentants et d'assurer l'émancipation des travailleurs, L'échec de l'insurrection de juin permet le triomphe de la République modérée et des institutions du gouvernement représentatif, mais la République démocratique et sociale se maintient, comme horizon révolutionnaire, au sein du mouvement ouvrier naissant. En retrouvant les discours et les controverses sur le sens de la citoyenneté et de la représentation, cette plongée dans le printemps 1848 laisse entrevoir la possibilité d'une République émancipatrice, non advenue mais dont la puissance révolutionnaire est toujours actuelle.

10/2014

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Histoire internationale

Citoyenneté et participation politique en Afrique du sud

Le parcours de l'Afrique du Sud, malgré la création de la nation arc-en-ciel et le succès de la transition démocratique, est semé de zones d'ombres, de contradictions et de compromis. En arrière-plan d'une analyse de sociologie juridique de la nouvelle citoyenneté, cette recherche étudie le cas du township Thokoza afin de comprendre comment et selon quelles logiques la construction d'un espace public se fait dans une communauté relativement restreinte.

10/2012

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Sociologie

Mobilité et citoyenneté. La mobilité, une question politique

Les principes de la citoyenneté ont été définis en 1789. Pendant la Révolution, le citoyen est un homme ancré dans son quartier, dans son village. Il paye l'impôt. Il est attaché à un et un seul domicile. 250 ans plus tard, nous sommes nombreux à avoir plusieurs résidences et à nous déplacer continûment pour les études, le travail, les loisirs... N'y aurait-il pas désormais une contradiction entre un fonctionnement démocratique qui propose au citoyen un seul lieu de vote et nos espaces de vie multiples, changeants et ouverts ? La question est d'autant plus légitime que la scène politique est envahie de sujets " mobilitaires " : les Gilets-Jaunes, les débats environnementaux (moins de voitures, moins d'avions), l'épuisement des utilisateurs des trains et des métros et des personnes prises en otage par les embouteillages... Ces enjeux sont bien installés dans la vie quotidienne de nos contemporains. La mise en mobilité de la société ne doit-elle pas s'accompagner d'un aggiornamento de la citoyenneté ?

09/2021

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Religion

Les deux maisons. Essai sur la citoyenneté des Juifs (en France et aux Etats-Unis)

Les deux Républiques, la Française et l’Américaine, sont depuis leur commencement au cœur de l’imaginaire politique moderne, suscitant d’innombrables analyses comparatives de leurs vertus et de leur exceptionnalisme : elles s’offrent comme des voies d’accès contraires au bonheur, avec chacune leurs obstacles qui émanent de leur logique propre. La Révolution française, prolongeant l’action de l’État fort, construit un espace public qui s’efforce de laminer toutes les formes d’appartenance identitaire en cantonnant celles-ci au seul espace privé. L’accès à la citoyenneté vaut l’attribution de tous les droits et suppose l’abandon de tous les privilèges, de toutes les fidélités. Cela suppose donc la fin de la nation juive qui se trouve, au contraire, pleinement reconnue en tant que telle par les révolutionnaires américains. Les Juifs français, dès le XIXe siècle, n’ont de cesse de perpétuer des formes de sociabilité qui leur sont propres et limitent la pure et simple assimilation, mais leur intégration leur permet l’accès aux sommets de l’État, selon une mobilité vers l’élite politico administrative sans égale dans l’Histoire. Destin exceptionnel qui a pour revers l’explosion antisémite, de l’Affaire Dreyfus à Vichy. Les Juifs américains ne connaissent en rien ce destin brillant. Leur entrée naturelle dans la nation américaine est limitée à une émancipation formelle et à la reconnaissance de la pérennité de leur culture. Cette légitimité ne vaut qu’à l’échelle de l’État fédéral, et il faudra attendre 1940 pour que les lois fédérales s’appliquent pleinement au niveau des États. Décentralisé, faiblement institutionnalisé et peu différencié de l’Establishment protestant, l’État américain se révèle peu favorable aux Juifs : jusqu’au XXe siècle, les Juifs américains, moqués par la grande presse, se voient refuser l’entrée dans les hôtels, les clubs, les fraternités, les résidences, voire des universités (Harvard, Yale, Princeton). D’où un surprenant paradoxe : l’émancipation à la française ouvre la porte à l’entrée des Juifs comme citoyens dans l’espace public en laminant quelque peu le judaïsme comme toutes les identités autres que nationale ; l’émancipation à l’américaine se révèle davantage propice à l’épanouissement du judaïsme qu’à l’entière reconnaissance des Juifs en tant que citoyens. Après la destruction de la voie allemande par le nazisme, l’extinction du judaïsme d’Europe de l’Est, l’effacement de toute trace de vie juive dans le monde arabe, seuls les modèles français et anglo-saxons demeurent au XXIe siècle les deux derniers paradigmes que suivent les Juifs contemporains de la Diaspora. La construction d’une maison, d’une vie sereine et pleine au sein de chacune de ces deux Républiques s’inscrit donc, à chaque fois, dans une « géographie de l’espoir » faite de promesses distinctes mais aussi de désillusions dissemblables.

09/2012

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Histoire de France

La politique de la Terreur. Essai sur la violence révolutionnaire, 1789-1794

On n'écrit plus guère sur la Terreur. Cet épisode central de la Révolution française, l'un des plus mystérieux et des plus controversés, n'a cessé de hanter notre histoire contemporaine. II a prêté à des interprétations nombreuses, inconciliables, souvent polémiques, rarement impartiales. Aucune, à ce jour, n'a pu en épuiser le sens et la portée. Cet ouvrage veut éclairer l'histoire de la Terreur en interrogeant ses origines, ses ressorts, ses modalités et la rhétorique qui lui tenait lieu de légitimité. II décrit ce que doit la violence révolutionnaire à l'héritage de l'Ancien Régime. II tente d'élucider la relation complexe entre Terreur et violence, entre idéologie et Terreur. II clôt le débat sur la part des circonstances dans la dérive terroriste de l'an II. Instrument de la politique révolutionnaire, la Terreur ne se laisse pas enfermer dans des bornes chronologiques, écrit Patrice Gueniffey. Elle fait irruption dans le discours comme dans les pratiques dès 1789 : elle apparaît avec la Révolution pour ne disparaître qu'avec elle. Pourtant, on ne peut confondre les deux histoires. C'est en montrant ce qui les sépare qu'on découvre leur secrète parenté. Livre d'histoire politique, attentif aux événements, aux idées, aux passions comme aux destins individuels, cet essai invite à relire l'histoire de la Terreur dans le langage serein de la vérité.

10/2003

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