« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…
Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque.
Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.
Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.
Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.
Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.
Littérature française
L'histoire aurait pu donner lieu à un polar, mais là n'est pas le propos. Dans La Folie du pélican, l'écrivain fribourgeois Jean-François Haas dépasse largement le fait divers pour, au fond, signer un roman d'amour. Celui d'un père pour son fils, malgré tout. Au départ, non pas un, mais deux faits divers. Deux drames similaires aux Etats-Unis. D'un côté l'affaire Whitaker en 2003, un jeune homme a commandité le meurtre de ses parents et de son frère. Le père a survécu et s'est battu pour que son fils échappe à la peine de mort. Dans l'affaire, une fille a été arrêtée après avoir organisé le meurtre de sa famille. Dans le roman, l'histoire se déroule à Fribourg (aisément reconnaissable, mais jamais nommé) et dans les environs. Un soir d'été de 1998, une famille rentre chez elle et se retrouve face à un homme armé. Il tue la mère et le fils aîné, blesse le père (Simon) et le cadet (David). L'enquête révèlera que ce dernier a organisé l'assassinat. Il est condamné à vingt ans de prison.
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