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L'abbé Montchanin (1895-1957). A l'écoute d'un prophète contemporain

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Dossier

Entre la lecture et l'écoute : livre audio, mode d'emploi

Livre audio, livres lus, audiolivre, audiobook : les noms diffèrent, mais désignent le même objet culturel. Créé au même moment que le phonographe et que la possibilité d'enregistrer des sons sur un support, le livre audio a depuis connu bien des formats, de la K7 au CD en passant par la clé USB et le fichier MP3.

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Dossier

Festival Un week-end à l'Est : 2022, Odessa de l'espace

Un week-end à l’Est a été initié par Vera Michalski et Brigitte Bouchard en 2016 avec deux objectifs : raviver la vie culturelle dans le Quartier Latin et créer des passerelles entre les cultures. Cette année, il place la ville d’Odessa au cœur des rencontres, qui se dérouleront à Paris, du 23 au 28 novembre — littérature, cinéma, arts visuels, débats et concerts sont au programme.

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Dossier

Des romans jeunesse contemporains chez Scrineo

C’est avec Je suis Charliberté d’Arthur Ténor, un récit qui montre aux ados l’importance de la liberté d’expression, qui inaugure la collection Engagé, que Scrineo se lance dans les romans contemporains en 2016. Toujours avec une question de point du vue, l’idée est de parler aux jeunes lecteurs de sujets qui les touchent et auxquels ils peuvent être confrontés au quotidien.

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Livres, actualités : tout sur Ray Bradbury

Né le 22 août 1920, Ray Bradbury est un des grands noms de la littérature de science-fiction américaine, particulièrement réputé pour la qualité de ses nouvelles, notamment grâce à ses recueils L'Homme illustré (1951), Un remède à la mélancolie (1958) ou encore les Chroniques martiennes (1950). 

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Dossier

Pour 2023, Un Week-end à l'est invite Tbilissi, capitale de la Géorgie

Après avoir exploré des villes telles que Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade, Sofia et récemment Odessa en soutien à l'Ukraine, "Un week-end à l'Est" pose ses valises pour sa septième édition à Tbilissi, le cœur de la Géorgie. Cette année, la réalisatrice et auteure Nana Ekvtimishvili en est la marraine, avec Nino Haratischwili comme invitée principale, et un focus spécial sur l'auteur d'origine géorgienne, Emmanuel Carrère.

Extraits

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Religion

L'abbé Montchanin (1895-1957). A l'écoute d'un prophète contemporain

Jules Monchanin (1895-1957) est l'un des artisans de la rencontre interreligieuse. Il préfigure par ses conférences et ses écrits, la révolution de Vatican II. Ce prêtre atypique, à la culture universelle, a l'intuition que le dialogue interreligieux est, la base nécessaire d'une Eglise réellement catholique. Nous sommes en 1936... A la veille de la Deuxième Guerre mondiale, il part aux Indes pour incarner son idéal. Ayant toujours eu une démarche novatrice, voire avant-gardiste, il avait compris que les traditions de l'Inde devaient trouver leur place dans l'Eglise. Un dialogue devait donc s'établir entre pensée hindoue et pensée chrétienne. Il y a consacré une partie de sa vie. Aujourd'hui, cette intuition est devenue réalité. Les textes rassemblés ici et commentés par Françoise Jacquin, dont certains inédits, permettent aux lecteurs d'appréhender et de saisir l'originalité et la profondeur de pensée d'une des figures les plus emblématiques du catholicisme de la première moitié du XXe siècle.

10/2012

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Religion

JULES MONCHANIN (1895-1957). Regards croisés d'Occident et d'Orient

Des théologiens, des historiens et des philosophes ont estimé que la pensée et l'engagement de ce simple prêtre lyonnais méritaient une réflexion d'ensemble et leur initiative a reçu aussitôt un écho en Inde. Cet ouvrage propose donc les deux regards croisés, portés sur Jules Monchamin, à Lyon et en Tamil Nadu, en 1995, à l'occasion du premier centenaire de sa naissance. Il montre comment s'est élaborée, dans l'Entre-deux-guerres, la pensée personnaliste et la spiritualité trinitiaire d'un prêtre, auquel Henri de Lubas a voué une amitié admirative. A partir de témoignages venus du sous-continent indien, il restitue sa dimension de pionnier du dialogue interreligieux, aux côtés d'Henri Le Saux, avec qui il fonda, en 1950, l'ashram du Saccidananda, sur les bords de la Kavéry. Comme charles de Foucauld, qu'il admirait, il est mort dans le sentiment d'un échec. Pourtant, sa lucidité de médiateur, son immense désir de faciliter la communication entre des univers dont il a éprouvé les inconciliables ont épuré et renforcé sa théologie du christocentrisme. D'où la fécondité à terme de son message, qu'ont soulignée un Michaël Amaladoss et un Pierre Ceyrac.

07/1997

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Sciences historiques

Les conférences de Morterolles, hiver 1895-1896. A l'écoute d'un monde disparu

"M. Beaumord était un instituteur zélé. Devançant un désir à peine formulé par ses supérieurs, il a, durant l'hiver 1895-1896, donné dans son école de Morterolles, petit village de la Haute-Vienne de 643 âmes, une série de dix conférences destinées aux adultes. M. Beaumord était un instituteur talentueux. A l'évidence, il passionnait son auditoire. Près d'une moitié des hommes et d'un quart des femmes de la commune sont venus l'entendre, sans que leur désir faiblisse au cours de cet hiver. M. Beaumord était un instituteur vaniteux ; sinon, il n'aurait pas éprouvé le besoin de publier, dans Le Nouvelliste de Bellac, les thèmes de ses dix conférences et l'effectif masculin et féminin de chacun de ses auditoires. Cela dit, M. Beaumord n'est pas l'objet de ce livre. Grâce à lui, nous pouvons tenter d'imaginer l'appétit de savoir qui poussait des cohortes obscures à venir l'entendre, dans les nuits froides de l'hiver." Au terme d'un minutieux travail d'archives, dans la lignée du Monde retrouvé de Louis-François Pinagot, Alain Corbin redonne vie à un cycle de conférences oubliées depuis plus d'un siècle. Partant sur les traces de l'orateur et de son auditoire, il reconstitue, pas à pas, ces soirées d'hiver où tout un village prenait le chemin de l'école pour s'instruire. En prêtant sa voix à un instituteur de la IIIe République, l'historien nous fait entendre l'écho d'un monde disparu.

03/2011

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Critique littéraire

CORRESPONDANCE 1895-1950. Tome 2, 1907-1950

Voici, jusqu'ici entièrement inédite, une des correspondances les plus importantes d'André Gide, tant par le nombre des lettres échangées (près de 600, sur plus d'un demi-siècle) que par la diversité des intérêts qui lièrent l'auteur des Nourritures terrestres, dès 1895, avec André Ruyters, écrivain belge précoce (il a alors dix-neuf ans) et original, qui sera avec lui l'un des six "pères fondateurs" de La Nouvelle Revue Française (dont il fut le gérant jusqu'à la guerre de 1914). Cette correspondance fera sortir de l'ombre où elle était restée la figure, singulière et attachante, d'un des plus proches amis de Gide, dont tous les lecteurs de celui-ci connaissaient le nom, mais en ignorant tout (il est à peine mentionné dans les biographies de l'écrivain) de celui qui fut le dédicataire d'Isabelle. On verra vivre ici une amitié, d'abord tendre et passionnée, puis orageuse et subissant de violentes ruptures, mais perdurant jusqu'à la mort de Gide. Outre son intérêt documentaire et biographique, cet ensemble de lettres, où chacun lit, explique et commente les œuvres de l'autre, est surtout précieux d'un point de vue purement littéraire : sur les Nourritures de Gide, sur Le Mauvais-Riche de Ruyters, sur l'art de la traduction (à propos du Typhon de Conrad traduit par Gide), sur de multiples questions de grammaire et de morale... On découvrira ici nombre de lettres passionnantes, dont la lecture est indispensable pour la connaissance de Gide et de l'histoire littéraire de son temps. L'édition de cette correspondance est due à la collaboration de Claude Martin, auteur de nombreux ouvrages sur Gide (en particulier sur sa correspondance), et d'un des meilleurs connaisseurs de la littérature belge de l'époque, Victor Martin-Schmets, éditeur des Œuvres complètes d'André Ruyters ; Pierre Masson, auteur d'une étude publiée naguère aux PUL (André Gide, voyage et écriture, 1983) s'est joint à eux pour la présentation de ce monument épistolaire.

10/1996

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Critique littéraire

Correspondance croisée 1890-1917. Tome 1, 1890-1898

La correspondance croisée de Pierre Louÿs et de son frère Georges fait dialoguer un écrivain qui vivait au cœur des cercles littéraires et artistiques de Paris et un haut fonctionnaire qui occupa les postes diplomatiques les plus importants de son époque. Ces lettres nous fournissent d'intéressants commentaires sur les amitiés littéraires et artistiques de Louÿs avec Mallarmé, Heredia, Régnier, Gide, Valéry, Debussy, Oscar Wilde ; les lettres de Georges donnent à cet échange une dimension historique et politique. Les grands événements de la fin du 19e siècle défilent devant nos yeux avec de savoureux commentaires souvent très informés : le scandale de Panama, le procès d'Oscar Wilde, l'affaire Dreyfus, Fachoda, la crise marocaine, la crise des Balkans et la Première Guerre mondiale.

01/2015

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Photographie

Vers l'orient. 5 volumes, Japon 1958 ; Chine 1957 ; Indé Népal 1956 ; Iran Afghanistan Pakistan 1955-1956 ; Turquie 1955, Edition bilingue français-anglais

Turquie, Iran, Afghanistan, Pakistan, Inde, Chine puis Japon : six pays traversés et photographiés par Marc Riboud entre 1955 et 1958. Les Éditions Xavier Barral publient à l’automne 2012 Vers l’Orient, un coffret de cinq ouvrages, véritable carnet de notes visuelles réunissant les plus belles photographies prises lors de ce long et lent voyage entrepris pour rejoindre initialement Calcutta. Comme beaucoup d’autres avant lui, Marc Riboud a eu besoin de partir, de quitter la France, sa famille et la reconstruction de l’après-guerre. Âgé de 30 ans, ingénieur de formation, il achète la vieille Land Rover de George Rodger et se met en route au printemps 1955. Sans avoir lu ni les grands récits de Nerval ni ceux de Segalen, il a été bercé en revanche dès très jeune par les récits de voyage de son père, de retour d’un tour du monde entrepris dans les années 1910. Désireux de découvrir ces civilisations millénaires, il s’arrête d’abord à Istanbul, avant de poursuivre son chemin par les admirables paysages de Cappadoce et d’Anatolie. Il traverse la Perse pour rejoindre l’Afghanistan et ses zones tribales, comme l’avait fait peu de temps avant lui Nicolas Bouvier. En 1956, il arrive en Inde, sa destination initiale, qu’il sillonne pendant près d’une année : Calcutta, Bombay, Delhi, Darjeeling, le Rajasthan, Bénarès jusqu’au Népal. C’est de là qu’il entre en Chine communiste, où il est l’un des rares Occidentaux à obtenir un visa. Il termine son « Grand Tour » au Japon en 1958, alors en pleine reconstruction après la guerre et en pleine mutation sociétale. De retour en France, Marc Riboud ramène des milliers de photographies, traces de ces cultures ancestrales, que l’on retrouve partout, dans les monuments, les gestes, la beauté des femmes, l’hospitalité des gens, le temps qui n’est pas compté. Ceux qui connaissent l’Orient d’aujourd’hui découvriront peut-être dans ces photos réalisées il y a près de soixante ans ce qui reste quand tout semble changer, et, derrière l’occidentalisation grandissante, le fil caché de l’intemporalité.

11/2012

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