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L'Institut suisse de Rome. Entre culture, politique et diplomatie

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

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Dossier

Rétablir le lien profond entre la Nature et l'Humanité

Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Festival du Livre de Paris 2022 : entre renouveau et contestations

Du 22 au 24 avril, le Grand Palais Éphémère accueillera éditeurs, auteurs et lecteurs pour le retour de l’événement parisien. Après deux années d’annulation, du fait du COVID, Livre Paris devient le Festival du Livre de Paris, avec une nouvelle approche : gratuité d’entrée, espaces thématiques, le tout à quelques pas de la tour Eiffel.

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Dossier

Pass Culture : l'accès aux oeuvres et aux loisirs pour les jeunes

Proposition culturelle centrale du programme culturel du candidat Emmanuel Macron au cours de la campagne de 2017, le Pass Culture se présentait comme l'opportunité, pour les jeunes de 18 ans, de se saisir de leur citoyenneté et de leur liberté pour découvrir la richesse culturelle de leur territoire, ainsi que la diversité de la production culturelle. Ce sont ainsi 500 € qui seront « offerts » à chaque jeune, le jour de ses 18 ans, et qu'il pourra utiliser à travers une application conçue sur mesure pour le Pass Culture.

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Dossier

Entre la lecture et l'écoute : livre audio, mode d'emploi

Livre audio, livres lus, audiolivre, audiobook : les noms diffèrent, mais désignent le même objet culturel. Créé au même moment que le phonographe et que la possibilité d'enregistrer des sons sur un support, le livre audio a depuis connu bien des formats, de la K7 au CD en passant par la clé USB et le fichier MP3.

Extraits

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Beaux arts

L'Institut suisse de Rome. Entre culture, politique et diplomatie

Dès les années 1920, plusieurs tentatives de fonder une "académie suisse" à Rome échouent, par manque de moyens et d'une réelle volonté politique, mais aussi parce que les autorités fédérales craignent de privilégier l'une des langues nationales au détriment des autres. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'engagement des diplomates suisses à Rome chargés de protéger les biens de la majorité des puissances en Italie, y compris les académies et instituts d'art et de recherche, contribue à consolider la conscience de l'originalité culturelle de la Suisse. Cette expérience vient nourrir le souhait de voir la Confédération représentée par une institution qui lui soit propre. Dans le prolongement de longues négociations entre différents acteurs de la culture, de la politique et de la diplomatie, c'est finalement une initiative personnelle qui permet à la Suisse de sortir de son isolement et d'intégrer le réseau international des académies et instituts de Rome. Dès 1945, Carolina Maraini-Sommaruga (1869-1959) fait connaître son intention de léguer à la Confédération sa splendide villa située sur la colline du Pincio à Rome. Elle pose une condition à sa donation : la villa doit devenir le siège d'un institut qui accueillera de jeunes chercheurs et artistes suisses. Des activités devront également être organisées qui contribueront à développer les relations entre la Suisse et l'Italie et les institutions étrangères établies à Rome. Par ce geste, la donatrice entend honorer la mémoire de son mari, Emilio Maraini (1853-1916), homme politique et pionnier de l'industrie sucrière. L'Institut suisse de Rome est officiellement inauguré le 19 avril 1949. Il a longtemps été l'unique institution de la Confédération en charge d'organiser une présence artistique et scientifique suisse à l'étranger. Il est, aujourd'hui encore, le seul centre suisse à l'étranger qui permet à des chercheurs et des artistes de vivre et de travailler ensemble en partageant un même espace.

10/2014

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Beaux arts

30 ans à Paris. Centre culturel suisse 1985-2015

Le Centre culturel suisse de Paris n'est pas une de ces institutions-vitrines aux ordres d'un ministère, et c'est bien son indépendance de ton et de programmation qui en a fait un lieu incontournable, entre autres, pour l'art contemporain et les arts de la scène. Le CCS fête ses trente ans : une occasion de retracer, à travers les 400 pages d'un livre richement illustré, son histoire, ses coups d'éclats, ses moments de grâce. Mais au-delà du passé, ce livre offre également une mise en lumière de 30 artistes suisses dont le parcours est lié, d'une façon ou d'une autre, au centre de la rue des Francs-Bourgeois, parmi lesquels : les plasticiens Fischli & Weiss, l'écrivain-voyageur Nicolas Bouvier, le photographe Robert Frank, l'artiste iconoclaste Thomas Hirschhorn, la surréaliste Meret Oppenheim, la chorégraphe Cindy Van Acker, le metteur en scène Christophe Marthaler ou encore le batteur et compositeur Daniel Humair. Chacun de ses trente portraits se compose d'un texte (dont la rédaction a été confiée à un spécialiste de l'oeuvre, à un écrivain, à un ami - citons parmi les contributeurs : Olivier Cadiot, Frédéric Pajak, Mathieu Bertholet, Arnaud Robert, Bruno Tackels, Francis Marmande et Emmanuelle Lequeux) et d'un reportage photographique par Ludovic Balland et Mathilde Agius, Sous la direction de Jean-Paul Felley et Olivier Kaeser, actuels codirecteurs du CSS. Avec la participation de deux anciens directeurs : Daniel Jeannet et Werner Düggelin.

01/2016

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Histoire internationale

La politique méditerranéenne de la France. Entre diplomatie collective et leadership

Depuis la chute du mur de Berlin et la guerre du Golfe, l'espace méditerranéen est au centre d'initiatives collectives publiques et non étatiques. Emanant pour l'essentiel de la rive nord, ces expériences se fondent sur la régionalisation des rapports sociaux et la célébration souvent incantatoire d'une nouvelle forme de solidarité méditerranéenne. Fidèle à sa tradition et en réponse à son recul au Maghreb et au Machrek, la France a mis en place un processus diplomatique informel, souple et restreint (le Forum méditerranéen), destiné à réunir régulièrement les acteurs étatiques de la Méditerranée occidentale. Défini comme un espace de dialogue régional et de coopération multidimensionnelle, le Forum méditerranéen constitue davantage un instrument ayant pour fonction de valoriser et conforter son rôle de leader sur la scène régionale. S'appuyant sur une analyse rigoureuse, cet ouvrage apporte une contribution originale et critique à la diplomatie française exercée en Méditerranée de 1983 à 1996. En présentant la stratégie méditerranéenne de la France, l'auteur éclaire sur les modalités de sa gestion mais aussi sur les résistances à l'initiative française et les obstacles et limites à l'application du principe de diplomatie collective dans l'espace méditerranéen.

07/1998

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Sciences politiques

De la diplomatie étatique aux diplomaties polylatérales

La diplomatie n'est pas statique, elle façonne l'humanité et en retour, celle-ci la façonne. Essentiellement bilatérale, la diplomatie traditionnelle a été consacrée à la représentation des gouvernements des Etats-nations et aux échanges y afférents. Les diplomates traditionnels étaient issus des rangs de l'aristocratie et la substance des communications entre les Etats a été pendant longtemps, traitée comme un domaine hermétiquement fermé. Suite aux bouleversements du monde depuis le XXe siècle, le champ diplomatique fait face à une "intrusion" d'acteurs autrefois inconnus, aux ambitions multiples, aux méthodes et stratégies parfois aux antipodes de ce que la culture diplomatique préconise. Ainsi, la diplomatie traditionnelle n'a pu résister à la montée du multilatéralisme avec la naissance des grandes organisations internationales et récemment à l'avènement des "diplomaties polylatérales" sous l'impulsion d'une diversité d'acteurs subétatiques, non gouvernementaux et transnationaux. Certes, l'émergence de ces diplomaties plurielles constitue une réponse à la fragmentation du monde, mais c'est un impératif stratégique pour la diplomatie traditionnelle de s'en accommoder, non seulement pour s'enrichir, mais également pour s'adapter et survivre. En effet, dans un monde apolarisé, complexe et imprévisible, une diplomatie de résilience est plus que nécessaire. La diplomatie de demain devra dans ce sens, être capable d'intégrer l'hybridation afin de rester un instrument indispensable. Dans cette perspective, le "système de diplomaties" qui intègre de manière harmonieuse les diplomaties polylatérales, se présente comme un modèle alternatif.

09/2019

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Ouvrages généraux

Suisse, une culture relative. À la découverte de la culture suisse

Existe-t-il une culture suisse ? On peut s'interroger sur le caractère uni ou explosé de la culture suisse, avec les influences diverses subies par ce pays situé à la confluence de la France, de l'Allemagne et de l'Italie. Zurich ou Bâle, c'est presque déjà l'Allemagne ; Genève, la seconde patrie de Voltaire, en quelque sorte ; et visiter Lugano, où s'aimèrent Alain Delon et Romy Schneider, c'est découvrir avant l'heure les lacs italiens. La Suisse emprunte d'une certaine manière plusieurs cultures. Et pourtant, le pays de Davos, tourné vers l'international, a néanmoins développé des traits singuliers et partagés dans la plupart de ses cantons. Alors, quand on va négocier avec des Suisses, quelle attitude adopter ? Quels sujets de conversation éviter ? Quelles valeurs faut-il prendre garde à ne pas froisser ? Quels conflits typiques de communication éviter ? C'est pour répondre à ces questions que ce livre existe. Pour développer plus de chances de succès quand on mène des affaires du côté du Léman ou dans la belle ville de Berne. Pour s'adapter toujours mieux aux codes culturels de ce pays quand on doit manager ses femmes ou ses hommes. Une découverte culturelle, mais en même temps un guide pratique et pragmatique.

03/2023

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Sciences politiques

Le Maroc, Israël et les Juifs marocains. Culture, politique, diplomatie, business et religion

Le 10A décembre 2020, à l'instigation du président Donald Trump en fin de mandat, Israël et le Royaume du Maroc officialisaient la normalisation de leurs relations diplomatiques. Cette annonce surprise constituait un véritable "coming out" d'une relation longtemps restée secrète ou pour le moins très discrète pendant six décennies. Cet ouvrage raconte les coulisses de cette histoire et analyse les interactions de ces deux Etats avec les Juifs marocains, tant sur le plan culturel ou religieux que diplomatique ou économique. L'auteur insiste notamment sur la singularité de la coexistence judéo-musulmane au Maroc ainsi que sur le rôle des Marocains juifs en Israël qui, après une intégration difficile dans un Etat fondé par des juifs européens, ont fini avec le temps par y trouver une place importante. L'évolution de la cause palestinienne à laquelle une partie de la société marocaine est particulièrement sensible, a aussi été un élément majeur d'une histoire qui a commencé avec l'indépendance du Maroc. Si Mohamed V, David Ben Gourion, Jo Golan, Hassan II, Yitzhak Rabin, Shimon Peres, André Azoulay, Donald Trump, Nasser Bourita, Benjamin Netanyahu et Mohammed VI constituent quelques-unes des figures majeures des relations bilatérales maroco-israéliennes, il y en a d'autres. Cette coopération entre le Maroc et Israël a d'abord concerné les domaines de l'émigration et de la sécurité avant de s'étendre aux affaires et à la diplomatie. Cela fut notamment rendu possible grâce aux intérêts sécuritaires convergents entre le Maroc et Israël identifiés dès la fin des années 1950. Sous Hassan II, dans les années 1970, les deux partenaires travailleront en tandem sur les dossiers du Sahara et israélo-palestinien. Grâce aux bonnes relations qu'il entretenait avec les différentes parties au Proche-Orient, le Maroc pourra ainsi jouer un rôle diplomatique important dans les contacts israélo-égyptiens d'abord (années 1970) puis israélo-palestiniens (années 1980 et 1990). Suite aux Accords d'Oslo de 1993, Marocains et Israéliens établiront officiellement des relations diplomatiques en 1994 en marge du sommet économique de Casablanca avant que la seconde Intifada, en 2000, ne provoque officiellement leur rupture. Ces relations seront renouées et développées de manière accélérée à partir de décembre 2020, dans la foulée des Accords d'Abraham entre Israël et deux Etats du Golfe. C'est cette histoire que cet essai raconte.

11/2022

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