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Karla Suarez

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Contes et nouvelles

Ecume et autres histoires

Avec La Havane en toile de fond, les personnages de ces histoires racontent leurs aventures urbaines, oniriques, fantastiques et bien réelles. Des femmes fébriles, abandonnées, seules, furieusement libres ou totalement dépendantes. Des personnages prisonniers des rituels qu'ils s'inventent, s'imposent ou subissent et souvent décidés à fuir la routine de leur quotidien. Des histoires racontées d'une voix ferme et posée qui trouve avec un subtil cynisme, le ton de la fable et la présence de la poésie.

06/2021

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Poches Littérature internation

Tropique des silences

A la Havane, une petite fille aux cheveux crépus négocie le difficile tournant de l'enfance à l'adolescence, dans une famille condamnée à la cohabitation par les conditions sociales du pays: un père officier de toutes les guerres de la Révolution, une mère argentine droguée au tango, une tante amateur d'opéra, un oncle masseur et une grand-mère gardienne de la morale. L'enfant va peu à peu découvrir que tout le fragile édifice familial ne tient que sur le mensonge. Celle qu'on a surnommée P'tit Mec fuit la famille pour fréquenter des amis de son âge, les fêtes des années 80, les débats où l'on refait le monde, mais se sent toujours aussi étrangère. Et comprend que c'est dans la solitude et le silence qu'elle doit chercher sa voie.

04/2012

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Littérature étrangère

Tropique des silences

À La Havane, une petite fille aux yeux clairs et aux cheveux crépus négocie le difficile tournant de l'enfance à l'adolescence, dans une famille condamnée à la cohabitation par les conditions sociales du pays : un père, officier de toutes les guerres de la Révolution, une mère argentine droguée au tango, une tante amateur d'opéra, un oncle masseur et une grand-mère plaintive, gardienne de la morale. L'enfant va peu à peu découvrir que tout le fragile édifice familial ne tient que sur le mensonge, à commencer par ses origines à elle ; ses cheveux crépus lui font découvrir la faute cachée et inavouable de la grand-mère : un grand-père noir et très sympathique, puis l'homosexualité de l'oncle, la double vie du père... Celle qu'on a surnommée P'tit Mec fuit la famille pour les amis de son âge, fréquente les fêtes des années 80, les débats où l'on refait le monde, et goûte à la drogue, loin de l'apocalypse annoncée du système politique. Également étrangère à cet univers, tout aussi faux que celui de sa famille, l'adolescente cherche sa voie dans la solitude et le silence. Karla Suârez utilise une langue originale, moderne, directe et lucide, séduisante par son rythme expressif et sa concision. Ce premier roman construit autour de personnages attachants, loin des clichés, révèle des aspects inattendus de la Cuba actuelle.

08/2002

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Littérature étrangère

La Voyageuse

Deux jeunes Cubaines décident de faire leur vie hors de Cuba. Lucia se marie à un homme d'affaires italien et s'installe à Rome, tandis que Circé part dans le monde à la recherche de " sa " ville et ne se manifeste que par des cartes postales. Des années plus tard, Circé arrive chez Lucia et s'installe "à la cubaine", en compagnie de son petit garçon et d'un bonsaï. Elle donne à lire à Lucia son carnet de bord. Au fil de la lecture, Lucia découvre la vulnérabilité de son amie. De leurs conversations naîtront des déplacements de points de vue qui les font évoluer toutes les deux. Plongée subtile dans les méandres de l'amitié féminine, voyages de rencontres en rencontres de Sao Paulo à Mexico, Madrid ou Rome, vision caustique de l'exil, Karla Suarez écrit ici un roman plein de vitalité et d'ironie, crée des personnages cocasses ou touchants, tout particulièrement Circé, qui par sa simple présence révolutionne la vie des autres. Dans un style direct, nourri de sensations et de musique, voici le roman vital d'une jeune romancière cubaine pleine de curiosité pour le monde.

09/2005

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Littérature étrangère

La Havane année zéro

Cuba, 1993. C'est la crise, on ne trouve plus grand-chose à manger, et faute de carburant tout le monde roule à vélo. Julia enseigne les maths dans un lycée technologique. Elle navigue entre trois hommes, trois histoires, toutes différentes. Euclides, son ancien prof de faculté, ex-amant, est brisé par l'exil de ses enfants. Ángel est un bel amoureux qui dispose en outre d'un appartement dans le quartier du Vedado, en plein centre-ville - un luxe rare quand il n'y a plus de transports en commun. Leonardo est un écrivain à lunettes, grand amateur de rhum et affabulateur de première. Tous ces personnages sont fascinés par l'histoire d'un certain Antonio Meucci, Italien émigré à La Havane qui aurait inventé le téléphone avant Graham Bell. Tous souhaitent récupérer le document original qui permettrait de prouver définitivement cette antériorité. Mais surtout : tous mentent, par jeu, par intérêt, par ennui. Coincée entre les trois hommes, Julia cherche à démêler le vrai du faux, tout en pratiquant la survie active et quotidienne dans un pays au bord du gouffre. Dans cette histoire racontée comme une énigme mathématique, Karla Suárez met en scène avec un brio plein d'énergie une société épuisée, à court de vivres et de rêves, où chacun s'efforce cependant de garder intact tout ce qui peut rendre la vie supportable : l'amour, l'amitié, l'avenir.

04/2012

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Littérature étrangère

Le fils du héros

Ernesto a 12 ans lorsqu'on lui annonce la mort de son père dans les troupes cubaines envoyées en Angola. Fini les aventures trépidantes avec ses amis Lagardère et la belle capitaine Tempête, lui, le courageux comte de Monte-Cristo, se voit obligé de devenir "le fils du héros", une tâche particulièrement lourde dans un pays socialiste. Plus tard, obsédé par cette guerre dans laquelle son père a disparu, il étudie avec passion cette période sur laquelle les informations cubaines ne sont pas totalement fiables. Il tente alors de reconstruire l'histoire de la mort de son père et se rend compte que tout ne s'est pas passé comme il l'a imaginé. Faire la guerre est plus compliqué que ce qu'on croit. Oscillant entre passé et présent, entre douleur et passion, Karla Suárez trace avec ironie et lucidité le portrait d'une génération écrasée par une vision héroïque de l'histoire et qui a dû construire, à travers les mensonges et les silences de l'idéologie étatique, ses propres rêves et ses propres voies vers la conquête de la liberté individuelle.

08/2017

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