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Jesus Diaz

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Policiers

Diaz

La petite ville de Chula Vista à la frontière mexicaine, n'avait pas besoin de cela. Déjà que la lutte gouvernementale contre les gangs occupe pleinement la police, voilà que Jesus Diaz, un illuminé, chef de la petite bande locale de " Cruz De Oro ", se prend pour la réincarnation du Christ. L'inspecteur Lou Carplin n'y voit rien d'autre que de la manipulation alors que son collègue Franck Travis pense qu'il faut tout de même approfondir la question. Et si Diaz disait vrai ? Difficile à croire, vu que son nom va se retrouvé mêlé à la découverte de nombreux cadavres. Malgré tout, Travis insiste, surtout en constatant l'étrange comportement de son chef...

03/2018

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Littérature étrangère

Les initiales de la terre

Carlos Perez Cifredo prépare sa comparution devant l'assemblée des travailleurs qui doit décider s'il sera ou non élu "travailleur exemplaire de l'année". Ses souvenirs le ramènent à ses jeux d'enfant avec ces compagnons qu'ont toujours été pour lui les héros de BD, sous la garde vigilante des fantômes du vieux Chava et du Grand-Père cachés dans chaque arbre et chaque rafale de vent. Puis il est entraîné vers l'adolescence gauche, la guerre familiale, la Révolution, les tensions entre la tradition et l'amitié, l'amour, l'aventure de la "Récolte des Dix Millions" et sa mobilisation nationale pour la production sucrière, les marches et l'enthousiasme militant mais surtout les doutes et les espoirs de l'homme qui grandit dans une Ile décidée à construire un "homme nouveau". Au-delà du récit passionnant de cette traversée historique, Jesus Diaz écrit un grand roman où il fait fusionner toutes les possibilités de sa langue : langage populaire, musical, cinématographique, politique, pour construire un témoignage réellement littéraire sur les déchirements d'une période historique qu'il a pleinement vécue. Écrit en 1987, ce premier roman a valu à l'auteur d'être écarté des milieux littéraires officiels et de devenir documentariste. Son style annonce Les Paroles perdues, leur virtuosité stylistique et leur désillusion à l'égard de la Révolution.

08/2002

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Littérature étrangère

Les quatre fugues de Manuel

Mais qui est cet immigré clandestin dont on n'arrive pas à déceler ni l'origine ni la langue ? Qui se cache derrière son silence ? Quelle est l'histoire qu'il ne veut pas (ou ne peut pas) raconter ? En deux cents pages inoubliables, Jesús Díaz met en scène l'incroyable destin de Manuel, le plus brillant des chercheurs cubains de l'Institut International de Basses Températures d'Ukraine, et le seul qui refusa de rentrer à Cuba en 1991, au moment de l'effondrement de l'Union Soviétique. Pendant les douze mois vertigineux qui commencent avec le coup d'Etat contre Michael Gorbatchev et conduisent à l'interdiction du Parti Communiste, il essaie d'échapper à la police de Castro en changeant de pays, de langue et d'identité, mais en restant toujours fidèle à ses rêves. C'est ainsi que son odyssée devient la métaphore d'un monde à la dérive où tout soudain peut arriver : "L'Histoire est une erreur !", lui confie sa maîtresse, Ayinray, la communiste chilienne qui l'accueille dans son appartement moscovite ; "La liberté est proche !", lui annonce d'un air triomphal son ami Sacha, le nationaliste ukrainien ; "Je ne vois rien de bon dans l'avenir, Manuel, rien", lui dit son directeur de recherches, le vieux et sage Derkatchev. Et il ajoute aussitôt : "Il m'arrive de me demander si l'histoire de l'humanité a un sens". En réalité, elle n'en a ni plus ni moins que la vie d'un homme. Après maintes aventures et mésaventures plus rocambolesques les unes que les autres, le destin du jeune prodige devient celui d'un sans-papiers dans l'Europe de la fin du XXe siècle. Mais une surprise attend encore le lecteur dans les dernières pages et elle est de taille : ce roman d'apprentissage, cette histoire à multiples rebondissements, est aussi un chant d'espoir et un appel à la solidarité entre les hommes, peut-être le plus beau témoignage sur notre époque que nous ait laissé Jesús Díaz.

04/2006

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Littérature étrangère

Sibérienne

Au début des années quatre-vingt, un apparatchik de La Havane, cherchant à surprendre ses collègues de Moscou, a soudain une idée qui lui semble fort originale : si les Russes ont été capables d'envoyer un homme dans l'espace, eux, les Cubains, vont expédier un Noir en Sibérie. Voici comment le jeune journaliste Barbaro Valdés quitte un jour son île tropicale et se retrouve, une semaine plus tard, par - 50°, aux confins de la taïga. Il est censé écrire une série d'articles sur les vastes projets de développement entrepris par le grand frère soviétique dans cette partie de la planète. Mais très vite, la couleur des yeux de son interprète, la belle Nadejda Chalamov, l'intéresse plus que les pipe-lines et les chemins de fer qu'on lui montre. Pour gagner l'amour de cette femme - un amour aussi intense que le paysage sibérien -, Barbaro ira bien au-delà des frontières idéologiques, culturelles, et jusqu'au bout de lui-même : au milieu des plaines infinies, il sera le fils noir du soleil des Caraïbes qui s'attache à jamais au cœur blanc de la neige.

10/2003

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Littérature étrangère

Parle-moi un peu de Cuba

Enfermé sur une terrasse à Miami, exposé au soleil et affamé pour avoir l'air d'un balsero, le dentiste Staline Martinez revit la succession d'erreurs et de fatalités qui l'ont amené là. Il aurait pu être accueilli légalement aux Etats-Unis, lorsqu'il est arrivé à bord du bac Casablanca-La Havane détourné sur Key West, mais il était éperdument amoureux de sa femme, Idalys la danseuse de cabaret. Il ne pouvait envisager de vivre loin d'elle, loin de sa famille, loin de Cuba... Il est revenu à Cuba et l'enfer qu'il y a déchaîné l'en a chassé à nouveau. Avec un savant mélange d'introspection, d'ironie et de tendresse, Jésus Diaz compose un personnage de looser magnifique, dépassé par une situation absurde et incapable de faire face à ce qui lui arrive. Un beau roman à l'écriture dépouillée et vive, aux images justes, qui bouscule le lecteur entre rire et mélancolie, et raconte l'exil et les contradictions de la réalité cubaine.

09/1999

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Cinéastes, réalisateurs

Lav Diaz : Faire face

L'oeuvre cinématographique de Lav Diaz est chevillée au corps du peuple philippin, pétrie des vicissitudes politiques qui secouent le pays, traversée par les conséquences des cataclysmes climatiques qui dévastent l'archipel. Ses plans aux durées peu communes s'arriment aux destinées des opposants, des marginaux et des laissés pour compte. Accompagner les résistances, construire une mémoire collective, partager le temps de l'attente ou encore dessiner des tombeaux cinématographiques pour les disparus : les fresques tragiques de Lav Diaz s'érigent contre le silence, l'amnésie et le refoulement. Cet ouvrage abondamment illustré vient combler une lacune. Il réunit les contributions de plusieurs critiques de cinéma ainsi que des entretiens inédits avec Lav Diaz.

05/2022

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