Né le 21 juin 1948 en Pologne, Andrzej Sapkowski imagine le personnage du sorceleur dans une nouvelle, publié en 1986 dans la revue Fantastyka. Geralt de Riv, sorceleur mutant, utilise potion et signes pour venir à bout des monstres, créatures difformes comme humains, qu'il croise sur sa route ou qu'il est payé pour chasser. Après plusieurs recueils de nouvelles et romans, la série du Sorceleur est devenue une référence du genre fantasy.
Si une hirondelle ne fait pas le printemps, la pluie de romans et de nouveautés qui s’abat sur le monde du livre dès la fin du mois d’août fait bien la rentrée – littéraire, tout du moins. Entre les best-sellers que l’on attend chaque année comme un rendez-vous et les primo-romanciers que l’on a hâte de découvrir, se glissent ces oeuvres qui sauront surprendre. Oyez, oyez : la rentrée littéraire 2022 arrive.
Créé en 2002 par la chaine de magasins spécialisés dans la culture Fnac, le Prix du roman Fnac fait partie des premiers prix de la rentrée littéraire. Pendant l’été, 400 adhérents et autant de libraires Fnac s’immergent dans les centaines de romans de la rentrée littéraire, qu’ils apprécient en toute indépendance, contribuant ainsi à une première sélection de 30 ouvrages.
Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia.
Imaginé et créé par la Fondation La Poste en 2015, le prix Envoyé par La Poste récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, à un éditeur qui décèle un talent d’écriture et qui décide de le publier.
« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.
Comics Indépendants
04/2022
Cuisine de l'est
03/2021
Musique, danse
06/2014
Policiers
11/2010
Littérature érotique et sentim
01/2018
12 ans et +
01/2018