Recherche

Il faut une révolution politique, poétique et philosophique

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

ActuaLitté

Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

ActuaLitté

Dossier

Hayao Miyazaki et le Studio Ghibli : Une alliance artistique inégalée

Lorsque l'on évoque l'animation japonaise, un nom se détache inévitablement du lot : Hayao Miyazaki. Ce réalisateur visionnaire, souvent comparé à Walt Disney pour son génie créatif, a donné naissance à des œuvres qui ont marqué des générations entières. Mais derrière ces films emblématiques, se cache une entité tout aussi importante : le Studio Ghibli.

ActuaLitté

Dossier

Contes d'hier et d'aujourd'hui : une littérature aux multiples imaginaires

Si les contes ancestraux nous ramènent à des éléments mythologiques et des histoires découlant de créatures autant que d’aventures fantastiques, ils conservent, à l’âge moderne, toute leur saveur. Simplement, dragons, bottes de sept lieux et loups dévoreurs d’enfants ont laissé place à des environnements plus contemporains. Mais toujours avec la perspective de raconter des histoires et de parler du monde, des rencontres que l’on y fait : offrir une formation, par les livres.

ActuaLitté

Dossier

Alfonic : une méthode pour apprendre à lire et écrire aux plus jeunes

Originellement pensée comme une méthode simplifiant la découverte de la langue, par le linguiste André Martinet, Alfonic était appelée « graphie phonologique Martinet ». Devenu la contraction de « alphabet phonétique », ce système d’apprentissage concerne les jeunes enfants. 

Extraits

ActuaLitté

Penser l'écologie

Il faut une révolution politique, poétique et philosophique

"Il ne s'agit plus de commenter ou de comprendre le réel : il s'agit de produire du réel. Ce qui tue aujourd'hui et avant tout, c'est notre manque d'imagination. L'art, la littérature, la poésie sont des armes de précision. Il va falloir les dégainer. Et n'avoir pas peur de ceux qui crieront au scandale et à la trahison". En répondant aux questions brûlantes d'actualité de Carole Guilbaud, Aurélien Barrau remet le politique et le social au coeur de l'écologie. Il nous aiguillonne vers un renouveau démocratique où la liberté la plus fondamen- tale est d'abord celle du pouvoir vivre. Les Apuléennes Dans la lignée de la revue Apulée, engagée dans la défense indéfectible des libertés et attachée aux voix du monde, Les Apuléennes proposent des entretiens, essais et analyses en résonance directe avec les enjeux et les perspectives actuels.

05/2022

ActuaLitté

Autres philosophes

Althusser. Libération philosophique, poltique et théologique

Il est urgent de rappeler le parcours d'un homme, Althusser (1918-1990), qui a suivi l'évolution suivante : Foi apolitique (acceptant des amitiés royalistes sans adhésion de sa part) à la découverte de courants chrétiens soucieux de la "cause sociale". Ces courants, émanation de Dominicains, de Franciscains et de Jésuites, ont joué un rôle déterminant dans la conscientisation d'une partie des masses ; les prêtres ouvriers en seront une des conséquences mais aussi, plus tard, la dénonciation de la torture en Algérie et de la lutte contre la colonisation. Dans l'immédiat après-guerre se pose aussi la question de l'alliance avec les communistes, ce qui entrainera de multiples adhésions au PCF (ce fut le cas d'Althusser comme chacun sait) notamment au sein des membres de la classe populaire ayant milité dans des associations chrétiennes. Il ne s'agit pas cependant de faire accroire à une sorte de "retour" d'Althusser à sa foi initiale – ce rapport fut, d'autre part, complexe comme tout ce qui le concerne – mais plutôt de revoir son parcours et les échos qu'ils ont provoqués notamment en Amérique latine et auprès des Théologiens de la libération, ce dont il se félicitait.

04/2021

ActuaLitté

Economie

Il faut terminer la révolution libérale

" La richesse des nations n'est plus liée à la révolution libérale ", écrit Michel Guénaire, parce que l'héritage du libéralisme a été trompé, " comme la pudeur et la lucidité des classiques ont été trompées par l'inconscience et la vanité des nouveaux marchands ". Depuis la chute du mur de Berlin, la révolution libérale a transformé le cours de l'Histoire. La crise financière de l'automne 2008 en a révélé les excès et la fragilité. Il faut donc analyser les origines historiques du libéralisme pour mesurer l'écart qui s'est creusé entre la première morale du libéralisme et son actuelle pratique dévastatrice. Cette crise est une crise de civilisation. Il faut retrouver le rôle de l'État, la richesse de l'entreprise et l'éducation de l'homme. Sans cela la liberté n'a plus le même sens.

03/2009

ActuaLitté

Philosophie

"Il faut s'adapter !". Sur un nouvel impératif politique

D'où vient ce sentiment diffus, de plus en plus oppressant et de mieux en mieux partagé, d'un retard généralisé, lui-même renforcé par l'injonction permanente à s'adapter au rythme des mutations d'un monde complexe ? Comment expliquer cette colonisation progressive du champ économique, social et politique par le lexique biologique de l'évolution ? La généalogie de cet impératif nous conduit dans les années 1930 aux sources d'une pensée politique, puissante et structurée, qui propose un récit très articulé sur le retard de l'espèce humaine par rapport à son environnement et sur son avenir. Elle a reçu le nom de "néolibéralisme" : néo car, contrairement à l'ancien qui comptait sur la libre régulation du marché pour stabiliser l'ordre des choses, le nouveau en appelle aux artifices de l'Etat (droit, éducation, protection sociale) afin de transformer l'espèce humaine et construire ainsi artificiellement le marché : une biopolitique en quelque sorte. Il ne fait aucun doute pour Walter Lippmann, théoricien américain de ce nouveau libéralisme, que les masses sont rivées à la stabilité de l'état social (la stase, en termes biologiques), face aux flux qui les bousculent. Seul un gouvernement d'experts peut tracer la voie de l'évolution des sociétés engoncées dans le conservatisme des statuts. Lippmann se heurte alors à John Dewey, grande figure du pragmatisme américain, qui, à partir d'un même constat, appelle à mobiliser l'intelligence collective des publics, à multiplier les initiatives démocratiques, à inventer par le bas l'avenir collectif. Un débat sur une autre interprétation possible du sens de la vie et de ses évolutions au coeur duquel nous sommes plus que jamais.

ActuaLitté

Notions

"Il faut s'adapter !". Sur un nouvel impératif politique

D'où vient ce sentiment diffus, de plus en plus oppressant et de mieux en mieux partagé, d'un retard généralisé, lui-même renforcé par l'injonction permanente à s'adapter au rythme des mutations d'un monde complexe ? Comment expliquer cette colonisation progressive du champ économique, social et politique par le lexique biologique de l'évolution ? La généalogie de cet impératif nous conduit dans les années 1930 aux sources d'une pensée politique, puissante et structurée, qui propose un récit très articulé sur le retard de l'espèce humaine par rapport à son environnement et sur son avenir. Elle a reçu le nom de "néolibéralisme" : néo car, contrairement à l'ancien qui comptait sur la libre régulation du marché pour stabiliser l'ordre des choses, le nouveau en appelle aux artifices de l'Etat (droit, éducation, protection sociale) afin de transformer l'espèce humaine et construire ainsi artificiellement le marché : une biopolitique en quelque sorte. Il ne fait aucun doute pour Walter Lippmann, théoricien américain de ce nouveau libéralisme, que les masses sont rivées à la stabilité de l'état social (la stase, en termes biologiques), face aux flux qui les bousculent. Seul un gouvernement d'experts peut tracer la voie de l'évolution des sociétés engoncées dans le conservatisme des statuts. Lippmann se heurte alors à John Dewey, grande figure du pragmatisme américain, qui, à partir d'un même constat, appelle à mobiliser l'intelligence collective des publics, à multiplier les initiatives démocratiques, à inventer par le bas l'avenir collectif. Un débat sur une autre interprétation possible du sens de la vie et de ses évolutions au coeur duquel nous sommes plus que jamais.

09/2023

ActuaLitté

Philosophie

Profils philosophiques et politiques

Quelle est la place de la philosophie dans la cité ? Jürgen Habermas aborde cette question sans cesse renaissante en esquissant le profil intellectuel de huit penseurs allemands dont l'ouvre a marqué la conscience philosophique de notre temps : Martin Heidegger, Karl Jaspers, Karl Löwith, Ludwig Wittgenstein, Ernst Bloch, Herbert Marcuse, Theodor W Adorno et Arnold Gehlen. Revenant sur un passé proche, Jürgen Habermas relève l'impuissance de la pensée face à une catastrophe comme le Troisième Reich. Dans notre société plus libérale, la question ne se pose plus dans les mêmes termes ; pourtant la fonction de la philosophie y paraît aussi précaire. En tant que matière d'enseignement, elle a du mal à se situer dans un monde que régissent les communications de masse. Du fait, d'autre part, de l'extension et de la mutation de l'enseignement, elle ne s'adresse plus à une élite fortunée à laquelle elle était destinée pendant des siècles. C'est pourtant à ce monde et à ses conditions nouvelles qu'il lui faut s'adapter.

01/1987

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté