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Haedens

Extraits

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Littérature française (poches)

L'Été finit sous les tilleuls

"Il y a des gens qui n'auraient jamais été amoureux s'ils n'avaient jamais entendu parler de l'amour. . ". Malheureusement pour eux, Jean, Florence, Jacques, Viviane, Amaury et Marine ont lu des livres où il n'était question de rien d'autre. L'été nourrit chez ces jeunes gens l'illusion du désir et de sentiments passionnés. {(Prix Interallié 1966.)}

03/1988

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Critique littéraire

Une histoire de la littérature française. Edition revue et augmentée

Une histoire de la littérature française nous offre les fruits et les fleurs de dix siècles de vie littéraire intense et un peu folle, une histoire dont les héros sont marqués au front par quelque signe de la grâce, qu'ils soient cambrioleurs comme Villon, salonnards comme Proust, ravagés par une passion intérieure comme Racine ou boucanés par le vent des steppes et le soleil du Brésil comme Cendrars. Tous se donnent la main pour cette grande fête qu'est la littérature, dont nous oublions trop souvent qu'elle fut animée par de jeunes hommes ambitieux et désinvoltes, ardents ou volages, qui ont aimé jouer avec la vie.

05/2007

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Poésie

Poésie française. Une anthologie

«Il y a deux sortes d'anthologies : les anthologies qui se réclament d'une objectivité toujours relative et qui passent en revue, sur les quelque mille ans de notre histoire littéraire depuis les vingt-neuf vers de la Cantilène de sainte Eulalie à la fin du neuvième siècle, les genres, les écoles, les styles, les génies et les talents ; et puis, personnelles et délibérément arbitraires, les anthologies d'humeur. C'est à cette seconde catégorie qu'appartient l'anthologie de Kléber Haedens. [...] Ce qui le guide dans son choix, ce n'est pas un parti pris d'école ni des conceptions esthétiques dont il fait assez peu cas : c'est le plaisir et le goût.» Jean d'Ormesson. Ce choix d'environ cent vingt poèmes, de François Villon à Jean Cocteau, est précédé d'un brillant préambule de Kléber Haedens sur la poésie française.

02/2009

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Critique littéraire

Lettres de la petite ferme

" Nous dansions depuis minuit dans une cave enchantée par un petit orchestre de jazz, à la fois fiévreux et doux, qui jouait tous les soirs dans le style le plus jeune, celui de La Nouvelle-Orléans. Comme il était 5 heures du matin, l'un de nous fit observer qu'il était grand temps d'aller faire un bon repas dans un restaurant ouvert la nuit. ". Rien de ce qui, ressemblait au bonheur n'aura décidément échappé à Kléber Haedens. Il a tenu chronique, comme d'autres table ouverte, à " Paris-Presse ", à " France-Soir ", puis au " Journal du Dimanche ", jusqu'à sa mort. Voici, inédites, ces pages arrachées à la douceur du soir. " Mélange de carnet de bord, de conversations à voix haute et de notes quotidiennes ", selon son préfacier Etienne de Montety, Les lettres de la petite ferme s'écrivent à l'estomac et selon l'humeur. Paul Morand reçu à l'Académie, une étape du tour de France, un " mano a mano " dans les arènes d'une ville du Sud, Montauban jazzy qui ressemble soudain à La Nouvelle-Orléans, François Mauriac et Venise, le tango et le paso doble, peu importait le sujet, Kléber Haedens jetait sur le papier la quintessence de son plaisir.

06/2000

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Littérature française (poches)

Ce que je voulais vous dire aujourd'hui

Jacques Chardonne a écrit des milliers de lettres. Voici un petit choix de grand choix, adressé à Marcel Arland, Jean-Louis Bory, Kléber Haedens, François Nourissier, Michel Déon, entre autres. Apparaît un Chardonne boitillant, facétieux, extralucide sur les gens, les choses de son temps : le marché du livre en 1948, la sexualité du mariage, le " style pompier " de Camus... La foudre à toutes les pages fait écrire à Paul Morand en avant-propos " Des professeurs de vie, il s'en trouve ; des maîtres à vieillir, c'est bien plus rare. " Car sur la solitude, l'indifférence, la mort, Chardonne excelle aussi, sans pathos.

09/2001

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Critique littéraire

Un grand secret. Souvenirs littéraires

Romancier, essayiste, chroniqueur, jean Fougère a participé à la vie littéraire parisienne comme éditeur, notamment chez Gallimard. Ses souvenirs convoquent des figures évoquées avec beaucoup de doigté et de tendresse, depuis Louis-René des Forêts, l'ami de l'adolescence, jusqu'au Blondin de l'après-guerre. Toursky, Paulhan, Vallery-Radot, Aymé, Drieu, Guillevic, Fargue, Follain, Bérimont, Haedens, Déon, Bazin... traversent ces pages. On est à la NRF, avant et pendant l'Occupation ; chez Lipp et chez la duchesse de La Rochefoucauld, mais aussi à Los Angeles en compagnie d'Anaïs Nin. C'est le Saint-Germain-des-Prés de la haute époque, toujours dans le commerce du bel esprit.

02/2004

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