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Glamorama

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Poches Littérature internation

Glamorama

Bienvenue dans le monde des images de Victor Ward, mannequin, entraîné malgré lui sur la trace d'une actrice disparue. Mais pour la jet-set, la vérité n'existe plus que dans le miroir de sa conscience, perdue dans le gouffre de la consommation. Hilarante et cruelle, la peinture désabusée de la société branchée new-yorkaise, par l'enfant terrible des lettres américaines. " LE roman définitif sur la Civilisation des Apparences, et, tout simplement, un immense pied de nez qui jouit de ce qu'il prétend dénoncer. " Frédéric Beigbeder, Premier bilan après l'apocalypse Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Pierre Guglielmina

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Littérature anglo-saxonne

Glamorama

Hilarante et cruelle, la peinture désabusée de la société branchée new-yorkaise, par l'enfant terrible des lettres américaines. Quel rapport y a-t-il entre un défilé de mode et un attentat à la bombe ? Un coup de cymbales peut-il déclencher l'explosion d'un 747 ? Par quel miracle retrouve-t-on un livre de Guy Debord au fond d'un sac Hermès ? En combien de minutes une super-model peut-elle répandre tout son sang sur le carrelage de la salle de bains d'un palace ? Va-t-on encore prétendre exister quand on n'est pas soi-même une célébrité ? La vie de chaque individu n'est-elle pas désormais le résultat d'un complot généralisé ? Et si la réalité entière est devenue un film, par quelles portes sort-on de cet enfer ? C'est à Victor Ward - fils de famille banni, mannequin presque célèbre, patron de boîte de nuit raté, amant absent, terroriste potentiel et espion improbable - qu'il appartient de répondre à ces questions qui jalonnent le monde à la fois terrifiant et impalpable dans lequel nous croyons être en vie. P. G. "Un écrivain au sommet de son art, profondément sensible au déclin moral de notre société, et qui nous balade à travers les sept cercles de l'enfer, quelque part entre Salinger et Sade". The Evening Standard.

03/2023

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Littérature anglo-saxonne

Lunar Park

Cinq ans après l'éblouissant Glamorama, Bret Easton Ellis change de registre et se met en scène pour devenir le personnage central de Lunar Park. On se souvient des personnages décadents Patrick Bateman (American Psycho) et Victor Ward (Glamorama), des paradis artificiels, de la gloire et de la violence qui étaient au coeur de leurs expériences. Comme s'il s'agissait d'écarter une réputation sulfureuse, mêlant ses propres souvenirs, ses démons et les personnages qui peuplent ses précédents textes, Ellis décide avec Lunar Park d'incarner lui-même un homme marié, père de famille, vivant dans une immense propriété du comté de Midland. En définitive, une vie bourgeoise partagée entre le centre commercial le samedi après-midi, les séances chez une thérapeute pour couples et les dîners entre voisins. Un revirement comique qui se transforme en cauchemar. Le narrateur, Bret Easton Ellis, pense que les madeleines de Proust sont des mandarines, que sa maison d'Elsinore Lane est hantée, que le spectre est son père mort et peut-être aussi le héros assassin d'American Psycho, qu'il doit retrouver la simplicité des phrases de son premier roman... Un rêve halluciné et jubilatoire qui mêle autobiographie et visions stupéfiantes : Bret Easton Ellis se joue avec humour et virtuosité du mythe de l'écrivain pour écrire un roman puissant et magistralement maîtrisé. Lunar Park paraît quasi simultanément aux Etats-Unis, en Angleterre et en France. L'auteur sera présent en France au moment de la sortie du livre.

03/2023

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Littérature étrangère

Oeuvres complètes. Tome 1, Moins que zéro, Les Lois de l'attraction, American Psycho, Zombies

Salué comme un Attrape-coeurs moderne, le premier livre de Bret Easton Ellis, Moins que zéro, lui a valu, à vingt ans, une consécration immédiate. Il est devenu le roman emblématique des années 1980, déclinant déjà tous les thèmes qui continueraient d'inspirer cette Comédie inhumaine, selon la formule de Cécile Guilbert : le règne des apparences, l'hypocrisie, le nihilisme d'une époque consumériste, l'incommunicabilité entre les êtres. Portrait acide et cru d'une jeunesse désenchantée, Moins que zéro raconte les errances d'un étudiant de la côte Est qui tente de dissiper son mal-être dans une recherche incessante de tous les plaisirs, mais auquel ni le sexe, ni l'alcool, ni l'argent n'apportent le bonheur et la puissance escomptés. Les Lois de l'attraction gravitent autour de trois garçons appartenant à cette même jeunesse dorée, dont l'existence tragique se consume de rage et de désespoir. American Psycho fit scandale aux Etats-Unis par son tableau implacable d'une société déshumanisée, incarnée par un jeune golden boy de Wall Street obsédé par l'argent et la réussite, par ailleurs serial killer performant. Zombies, évocation satirique d'un monde gangrené par le vice et la superficialité, Glamorama, qui reprend la peinture désabusée de la faune branchée new-yorkaise, Lunar Park, texte plus autobiographique mais où l'on retrouve les paradis artificiels et l'atmosphère violente et sulfureuse des précédents livres, et enfin Suite(s) impériale(s), prolongement de Moins que zéro qui marque aussi la fin d'un cycle, illustrent le génie romanesque d'un écrivain hors norme, au style précis, glacé et incisif. Son sens de l'observation, de la dérision, de la formule qui bouscule et son humour au vitriol font de Bret Easton Ellis l'un des romanciers les plus importants et les plus originaux de la littérature américaine. Les deux volumes des Oeuvres complètes contiennent : Tome 1 : Moins que zéro, Les Lois de l'attraction, American Psycho, Zombies. Tome 2 : Glamorama, Lunar Park, Suite(s) impériale(s). Cette édition, préfacée par Cécile Guilbert, comprend aussi un entretien avec l'auteur réalisé pour Paris Review par Jon-Jon Goulian.

02/2016

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Littérature anglo-saxonne

White

Que raconte White, première expérience de " non-fiction " pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. " Tout dire sur rien et ne rien dire surtout " pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamorama, aussi labyrinthique que Lunar Park, aussi implacable que Suite(s) impériale(s). Loin des clichés toujours mieux partagés, plus masqué que jamais, Bret Easton Ellis poursuit son analyse décapante des Etats-Unis d'Amérique, d'une façon, comme il le dit lui-même, " ludique et provocatrice, réelle et fausse, facile à lire et difficile à déchiffrer, et, chose tout à fait importante, à ne pas prendre trop au sérieux ". Que raconte White en ayant l'air à la fois de toucher à tout et de ne rien dire ? Peut-être que le fil à suivre est celui du curieux destin d'American Psycho, roman d'horreur en 1991 métamorphosé en comédie musicale à Broadway vingt-cinq ans plus tard. Ellis a dit autrefois : " Patrick Bateman, c'est moi ". Il ne le dit plus. Et si Patrick Bateman était devenu président ?

05/2019

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Littérature française

Les fonds noirs

C'est l'histoire du PDG d'un important groupe de luxe français, en fin de carrière - il s'appelle Hugo Casals - qui apprend que son principal concurrent, Monsieur Brun, vient de lancer contre lui une opération massive d'OPA, par des voies plus ou moins légales. Cette opération menace directement la direction de son entreprise. Son entourage lui conseille plutôt de capituler, de se laisser racheter à très bon prix et d'assurer à ses enfants, qui ne sont pas doués pour les affaires, une tranquillité financière. Mais Brun est un personnage antipathique, qui rachète à tour de bras toutes les plus grandes maisons d'artisanat français, profitant de situations familiales compliquées, et Casals décide de ne pas se laisser faire. Il est vieux, il est le plus faible, il n'a aucun appui politique parce que Brun est craint et tout-puissant, mais Casals se lance. Dark pools est l'histoire de son succès. Un roman d'une remarquable précision où se détachent des personnages dignes des meilleures fictions américaines sur ce sujet, comme dans Le Bûcher de Vanités de Tom Wolf et Glamorama de Breat Easton Ellis. L'auteur porte sur le monde de la mode, du luxe et de la finance, un regard avisé et implacable, mais qui ne cède jamais aux clichés ou à la cruauté facile. C'est une fresque très réussie sur le désenchantement du monde d'aujourd'hui, en même temps que le roman d'une jeune auteure, qui possède une qualité de style et une maturité de perception de la société impressionnantes.

02/2016

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