GAFAM économie livre

Les GAFAM dominent la nouvelle économie mondiale du numérique. Ces firmes se complètent plus qu'elles ne sont en concurrence entre elles. Possédant un pouvoir économique et financier considérable, parfois supérieur à celui des Etats, elles sont régulièrement la cible de critiques et de procédures judiciaires en raison de leur position monopolistique, de l'utilisation qu'elles font des données personnelles ou de l'optimisation fiscale qu'elles pratiquent à grande échelle.

La question du modèle économique pour les livres numériques - mais par extension pour l'édition - est toujours loin d'être figée. La mutation installée du secteur, au moins aux États-Unis, implique de nouvelles solutions et des expérimentations, comme l'avait démontré, dans la musique, le groupe Radiohead.

La 15e Journée du Livre d'Economie aura lieu au Ministère de l'Economie et des Finances le jeudi 12 décembre 2012. Organisée par l'Association Lire l'Economie, présidée par Luce Perrot, en partenariat avec le ministère de l'Economie et des Finances, cette journée est un lieu de rencontres et de débats ; cette année, autour du thème Quelle croissance demain ?

AssisesEditionsIndépendantes23 – « Tout petit déjà nous rêvons d'indépendance, mais rapidement nous comprenons que tout système est constitué de liens et d'interdépendances. Que l'indépendance totale n'est qu'une illusion. » Par Albert de Pétigny - Éditions Pourpenser.

Depuis 2010, le Prix lycéen « Lire l'Économie » vient récompenser un ouvrage d'économie parmi ceux parus au cours de l'année civile. Pour l’édition 2015, trois livres ont été sélectionnés : Les ennemis de l'emploi, de Pierre Cahuc et André Zylberberg (Flammarion), Un nouveau monde économique - Mesurer le bien-être et la soutenabilité au XXIème siècle, d’Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux (Odile Jacob) et Les clés de la puissance, de Jean-Louis Beffa (Seuil).

Organisé par le ministère en charge de l'éducation nationale et le ministère de l'Économie et des Finances, en partenariat avec l'association Lire La Société, le Prix Lycéen — Lire l'Économie 2019 a désormais ses finalistes. Six ouvrages, deux catégories, qui seront départagés par les lycéens avant le 18 décembre, date de remise des prix. 

C'est toute une journée qui a été consacré au Prix du Livre d'Économie hier au ministère de l'Économie, sous la présidence du ministre Bruno Le Maire. Trois prix ont été décernés à quatre lauréats : Pierre Veltz pour La société hyper-industrielle : le nouveau capitalisme productif (Seuil), Jean Meilhaud pour Ils ont révolutionné le commerce (Éditions Le Papillon rouge) et Mathieu Burniat et Jean-Noël Lafargue pour Internet aux éditions Le Lombard.

Les défis sont plus légion qu’une faction de hoplites, mais l’industrie du livre en Grèce fait front. Plusieurs facteurs interviennent, pour expliquer une sensible embellie, tant du côté des professionnels que de celui des lecteurs. Tous deux accompagnés par de réelles avancées au niveau des politiques publiques. En somme, le marché se porte bien.

La région Alsace vient de mettre en place un fonds spécial dédié à l'économie du livre, rapporte e-alsace. Doté de 180 000 €, il devrait permettre de soutenir le développement des différentes filières du livre en Alsace.

Remise du Prix des lecteurs du livre d'économie

Le Prix du Livre d'Économie, décerné le mercredi 13 décembre dans le cadre de la 25ᵉ Journée du livre d’économie à Bercy, a révélé ses finalistes : Marie Curie habite dans le Morbihan (Seuil), de l'économiste Xavier Jaravel, Le Piège Nord Stream (Les Arènes) du journaliste Marion Van Renterghem, et Quelle économie politique pour la France ? (L'Observatoire), du philosophe François Ewald et de l'économiste Yves Perrier. Cette récompense, décernée par les professionnels du secteur, vise à récompenser un ouvrage remarquable dans le domaine économique.

Alors que l’inflation devrait atteindre 6 % sur l’année 2022 en France, il est urgent de trouver des solutions pour faire des économies. A ce titre, il y a quelques livres qui peuvent nous aider à dépenser moins en faisant baisser le coût de certains postes budgétaires. 

Le Prix du Livre d'Économie 2020 a été décerné, ce mercredi 20 janvier, au ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance. Il revient à Joëlle Toledano pour son ouvrage GAFA Reprenons le pouvoir !, publié par les éditions Odile Jacob. Deux autres récompenses ont été décernées à cette occasion.

A l'occasion de la 15e Journée du Livre d'Economie, jeudi, l'actuel ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici a remis le Prix du Livre d'Economie 2013 à Odile Benyahia-Kouider pour son ouvrage L'Allemagne paiera aux éditions Fayard.

Pour cette nouvelle édition des Assises du livre numérique, le Syndicat national de l'Édition a décidé d'axer sa journée autour des enjeux et des innovations. Organisée au sein de l'Amphithéâtre Novotel Tour Eiffel, elle sera constituée de présentations, tables rondes et mises en avant des innovations par les éditeurs eux-mêmes.

Le cabinet de conseil Kurt Salmon vient de formuler un certain nombre de recommandations à destination des éditeurs, après avoir établi un état des lieux du marché de l'édition. Les conclusions sont intéressantes : on y apprend que les éditeurs ont déjà mené beaucoup d'initiatives pour tirer profit de l'ebook sur le marché français

. Les libraires tentent des pronostics, afin de commander de nouvelles piles en amont et de ne pas « rater » le train à la proclamation des médailles. Les prix prestigieux sont en sus dotés.

Les libraires, oubliés de l'économie des livres numériques

L'économie numérique et les livres en Languedoc-Roussillon

AVANT-PREMIÈRE – À l’heure où les préoccupations environnementales prennent de plus en plus d’importance et où les schémas de production classiques sont questionnés de façon croissante, le livre écologique, responsable et solidaire existe-t-il ? 

Comment mieux affaiblir le niveau d’alphabétisation d’un pays, qu’en rendant les livres plus chers ? Le constat qu’opère l’Assciation internationale des éditeurs découle des choix stratégiques du Brésil. Le gouvernement entend augmenter la TVA pour répondre à la crise économique actuelle. Brillant. Ou pas.

Les pronostics pour l'année 2013, le budget de la Culture est dans les choux, avec une perte de 4,3 % de ses crédits. Mais les priorités du quinquennat touchent bien entendu les départements dans le détail. Un point sur le département Médias, livre et industries culturelles montre qu'il n'a pas été épargné par la baisse des budgets.

Les librairies ferment, les chiffres d'affaires sont à leur pire niveau depuis six ans, tout cela dans un contexte économique plus que morose. Le Royaume-Uni n'apparaît pas sous son meilleur jour quand on le regarde sous le prisme du livre.

Avec une centaine de maisons d'édition, et 180 points de vente, incluant 140 librairies – avec une trentaine disposant du Label LIR, la Région Midi-Pyrénées avait voté un accord-cadre en décembre 2014, sur le développement de la filière. Valoriser le livre et les acteurs de l'édition passera désormais par une implication plus poussée des différents opérateurs.

Qui cherche donc à détruire l’industrie du livre australien ? Richard Flanagan, salué comme l’un des meilleurs romanciers de sa génération, a frappé du poing sur la table lors du discours d’inauguration de l’Australian Book Industry Awards. Alors que le gouvernement fédéral tente de modifier l’actuelle législation protégeant les éditeurs, le romancier dénonce ce mouvement politique. Selon lui, les conséquences seront mortifères...

Alors que le Salon du Livre de Paris est sur le point d'ouvrir ses portes, l'institut Gfk a publié ces derniers chiffres sur le marché du livre. Si ce dernier est resté stable l'an dernier, la situation économique reste néanmoins morose, alors qu'il souffre d'une forte baisse depuis début 2012. Par ailleurs, la santé financière des librairies indépendantes préoccupe de plus en plus les professionnels du secteur.

L'Office du Livre, principal diffuseur au sein de la Suisse Romande, s'apprête à faire face à une situation économique difficile. La réévaluation du franc va imposer à cette structure de 159 salariés de faire des réductions de coût importantes, rapporte Radio Télévision Suisse.

Parmi les grandes informations de cette semaine, plusieurs lecteurs nous ont fait part de leur satisfaction à la découverte des propos de l’éditeur Simon & Schuster. Ce dernier, évoquant ses résultats financiers, avait laissé comprendre à qui voulait prendre la balle au vol, que le livre numérique était particulièrement rentable.

Les livres restent une force dans l'économie culturelle française