Recherche

Fiona Kidman

Extraits

ActuaLitté

Cinéma

Nicole Kidman

Vingt ans après ses débuts à Hollywood, Nicole Kidman n'en finit pas de surprendre. La belle Australo-Américaine collectionne les distinctions comme les échecs : des blockbusters aux films d'auteurs, cette grande rousse au regard énigmatique s'est construit un parcours hors norme. Les films qui jalonnent sa carrière résonnent en écho aux événements les plus marquants et les plus tragiques de sa vie : coup de foudre, maternité contrariée, séparation... Dirigée par les plus grands réalisateurs (Gus Van Saut, Baz Luhrmann, Jane Campion, Lars Von Trier, Stanley Kubrick ou encore Rob Marshall), Nicole Kidman est une perfectionniste. Elle n'a pourtant jamais su résister aux sirènes des grosses productions. Aujourd'hui, celle qui figure toujours parmi les actrices les mieux pavées d'Hollywood, ne serait plus rentable... De ses débuts à la télévision australienne à son mariage, puis son divorce, avec Tom Cruise, de Prête à tout à une nouvelle vie de famille, c'est le parcours d'une actrice tout à la fois timide, audacieuse et ambitieuse qui est ici retracé. Le portrait d'une femme complexe. Fille et soeur dévouée, actrice passionnée, épouse exigeante, mère inaccomplie... A 40 ans passés, la plus hitchcockienne des actrices contemporaines découvre finalement la maternité. Ce rôle, elle veut le jouer à la perfection en attendant son retour en grâce dans les salles obscures.

01/2010

ActuaLitté

Littérature française

Fiona

1307, ce contexte moyenâgeux intolérant et misogyne n'est pas favorable à Fiona, la descendante de la famille d'initiés que nous suivons depuis la préhistoire, dans la saga anthropologique "Des Lumières dans la Nuit" . Elle a la malchance de rencontrer un moine vicieux et vindicatif qui va la persécuter ainsi que sa fille Flore. Nous vivrons avec elle dans cette Provence si différente de la France du nord : les villageois se sont déjà regroupés en communautés prêtes à défendre leurs droits et à en découdre avec leurs seigneurs, même devant la justice comtale. Elle va vivre des aventures où elle côtoiera des moines éclairés, des Templiers, des prostituées, de riches bourgeois, l'injustice, la maladie, la mort, ... Mais où l'amitié et l'amour garderont toujours autant d'importance. Même dans les moments les plus sombres, brillent toujours des lumières dans la nuit. N. B.) Chaque roman de la série "Des lumières dans la nuit" , peut se lire isolément. Nous retrouvons la même famille au cours des millénaires mais les histoires sont indépendantes.

11/2014

ActuaLitté

Littérature française

Retrouver Fiona

" Le 12 mai 2013, Fiona, 5 ans, disparaît à Clermont-Ferrand, juste à côté de chez moi. Quatre mois plus tard, sa mère, Cécile Bourgeon, avoue en garde à vue que l'enfant est enterré près d'un lac de la région. Elle accuse son compagnon, Berkane Makhlouf, d'avoir frappé sa fille. Le corps ne sera jamais retrouvé. L'affaire Fiona commence là, suit un procès, puis un autre, un autre et encore un autre. La presse s'en est emparée, la vox populi aussi : le mal accompli n'a pas de sens, on en cherche quand même. Les derniers jours de Fiona font l'objet d'enquêtes, de fantasmes, d'interrogations sans fin. L'affaire m'intrigue d'abord comme n'importe quel Clermontois. Quand l'aveu vient briser l'image de la mère éplorée et la remplace par celle d'une mère soupçonnée de coups et de meurtre, je me sens touchée de façon singulière. Ces vies résonnent avec la mienne. Fascinée, j'assiste aux procès, je prends des notes, puis au fil des séances, je me rends compte que je fais partie de cette histoire. Depuis ma propre survie aux coups que j'ai reçus, depuis mes embarras à être mère, je perçois le processus qui mène à la mort de Fiona. Depuis neuf ans je vis avec ce drame. J'essaie de comprendre les mères, comprendre la violence, comprendre l'enfance vulnérable et le huis clos de vies qui semblent condamnées à souffrir ou à faire souffrir si personne ne vient rompre cette fatalité. Car l'affaire révèle aussi comment le mal échappe autant à ceux qui le jugent qu'à ceux qui le commettent. " Dalie Farah Autour d'un des pires faits-divers de ces dernières années, une enquête littéraire et personnelle qui plonge aux racines de la violence. On ne pourra pas Retrouver Fiona, mais on ne pourra jamais l'oublier.

03/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Comme au cinéma

Quand Irene Sandle, une jeune bibliothécaire dont le mari aviateur est mort à la guerre, quitte Wellington en 1952 avec sa petite fille, Jessie, pour aller travailler dans les champs de tabac, elle espère un nouveau départ. Mais l'homme prévenant et doux qu'elle rencontre sur la plantation disparaît accidentellement, et le choix de la raison s'impose : sa décision d'épouser en deuxièmes noces le gérant de l'exploitation, l'inquiétant Jock Pawson, pèsera sur toute la descendance d'Irene, bien après sa disparition précoce en 1963. Si Jessie, dix-huit ans au moment du décès de sa mère, a déjà fui le domicile familial, les trois enfants Pawson subissent eux la désastreuse influence de leur marâtre. Chacun à sa manière, les quatre membres de la fratrie essayent d'avancer dans la vie : Belinda, la cadette, finira par épouser l'étudiant météorologue avec qui elle a eu un enfant, encore adolescente. Devenue cinéaste, c'est elle qui, au fil des années, se préoccupera des deux puînés, dont les tentatives d'échapper à un destin contraire s'avéreront plus chaotiques. Les accompagnant sur plus d'un demi-siècle, Fiona Kidman suggère, avec sa subtilité coutumière, la complexité de ses personnages, lève le voile des apparences, effleure de lourds secrets de famille, et nous conduit avec maestria dans les arcanes d'une société des antipodes en pleine mutation. Après Le Livre des secrets, la grande dame des lettres néo-zélandaises nous livre encore une éblouissante saga, où les femmes, fortes et attachantes, menant de front combats intimes et politiques, donnent matière à d'inoubliables portraits.

05/2019

ActuaLitté

Littérature étrangère

Fille de l'air

Née en 1909, Jean Batten était une aviatrice néozélandaise mondialement célèbre dans les années 1930 : en quatre ans à peine, elle battit plusieurs records, notamment entre l'Angleterre et l'Australie, qu'elle rejoignit en quatorze jours et vingtdeux heures dans son petit avion de tourisme, un Gipsy Moth. Fiona Kidman, dans ce nouveau roman, se penche sur le destin de celle qui fut surnommée la "Garbo des airs". Derrière la légende d'une femme séductrice et prête à tout pour la gloire, la romancière traque une vérité plus complexe : celle d'une enfant jolie, douée et gracieuse, dont la mère, passionnée d'aviation, détermina certainement les choix – au-dessus de son berceau, elle avait accroché une photo de Louis Blériot –, et qui acheva sa vie solitaire en 1982, après avoir volé pour la dernière fois en 1939. Malgré les incessantes bagarres entre son père, un dentiste volage, et sa mère, ancienne comédienne, l'enfance de Jean, à Rotorua, puis à Auckland, est idyllique : tout sourit à cette gamine dégourdie que les cartes fascinent, qui apprend à communiquer en morse en observant son frère et qui, sur sa balançoire, veut encore s'envoler plus haut. Envoyée en Angleterre sous le prétexte d'étudier la musique, elle y suivra en réalité, et toujours avec la complicité de sa mère, des leçons de pilotage. Son talent, sa détermination, feront le reste : plusieurs pilotes de renom, fascinés, financeront ses premiers vols. La gloire, pourtant, sera de courte durée : quatre années haletantes, que Fiona Kidman met en scène sans rien cacher des péripéties – une succession de records, mais également deux crashs, dont un dans le désert irakien –, des déboires sentimentaux et des doutes de son héroïne. Le sort bascule pour elle en 1937, quand l'homme qu'elle aime disparaît corps et biens dans l'avion qu'il pilotait. Elle poursuit vaillamment sa carrière, étrangement indifférente à la guerre qui vient. Le 27 août 1939, malgré l'interdiction formulée par le Foreign Office, elle obtient – de la part d'un ami de la femme de Göring – un passe-droit pour survoler le territoire allemand. Sa naïveté – ou son inconscience – lui coûtera cher : aucune de ses propositions de servir dans les airs ne sera entendue, et son avion sera réquisitionné. Après la guerre, Jean sombre dans un profond détachement. Elle ne cherche plus à voler, part s'installer à la Jamaïque, voyage en Europe et, quand sa mère meurt à la fin des années 1950, reste définitivement seule. Avec ce portrait passionnant et perspicace d'une pionnière assoiffée de liberté qui, au fond, n'est elle-même que dans les airs, Fiona Kidman donne une nouvelle preuve de son talent à raviver la mémoire de ces héroïnes féminines dont l'audace fut déterminante pour le destin de son pays.

04/2017

ActuaLitté

Littérature étrangère

Le livre des secrets

En 1953, quand s'ouvre le roman, Maria vit depuis plus de cinquante ans seule dans la maison de famille délabrée. On la surnomme "la sorcière de Waipu", elle qui très jeune se rebella contre sa mère pour vivre sa passion avec un cantonnier. Mise au ban d'une communauté encore très respectueuse des strictes règles morales édictées par son sourcilleux fondateur - l'autoritaire et charismatique Norman McLeod, avec qui sa grand-mère Isabella quitta l'Ecosse en 1817 -, elle a tout le temps de se pencher sur le passé. Après plus de trente-cinq ans de voyage à travers le vaste monde et quelques longues étapes, en Nouvelle-Ecosse et dans l'île de Cap-Breton, sur les côtes d'Amérique du Nord, McLeod, que ses disciples appelaient l'"Homme", décida, en 1854, que leurs tribulations prendraient fin sur cette côte du Nord de la Nouvelle-Zélande où Maria vit le jour bien des années plus tard. L'Homme qui guida là son peuple, convaincu de le conduire sur le droit chemin, reposait depuis vingt ans déjà dans le cimetière près de l'océan. Le journal tenu par sa grand-mère tout au long de sa vie aventureuse, et sur lequel Maria met la main, lui révèle l'envers du décor : s'y dessine non le portrait d'une diablesse dont elle aurait hérité les penchants pervers et indociles, comme sa propre mère tentait de l'en convaincre, mais celui de l'héroïne indépendante et téméraire que fut Isabella. Il fallait bien du courage en effet pour s'imposer face à un McLeod peu enclin à accepter chez ses ouailles des opinions individuelles, surtout quand celles-ci étaient des femmes. Et l'on comprend, au fil de cette formidable saga, que Le Livre des secrets est celui de ces femmes qui, pour exister dans une communauté masculine et rétrograde, n'avaient d'autre choix que d'en contourner les préceptes.

05/2014

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté