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Eugène Dabit

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Littérature française

L'Hôtel du nord. Un roman d'Eugène Dabit

Lecouvreur et sa femme achètent l'Hôtel du Nord, situé au bord d'un canal, près de l'écluse. L'auteur brosse une galerie de portraits des gens demeurant à l'hôtel, ou de passage, vies d'ouvriers, de gens pauvres, avec leur bons et leurs mauvais moments. Puis vient l'expropriation...

01/2023

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Critique littéraire

Faubourgs de Paris

Déroulant le fil de son enfance et de sa jeunesse, depuis les années précédant la Grande Guerre, Eugène Dabit nous fait visiter les faubourgs de Paris, du temps des jardinets entourés de grillages, du funiculaire de Belleville, du temps des artisans et des marchands de lacets place des Fêtes.

04/1990

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Littérature française

Contes de Paris-soir

Entre 1933 et 1936, le journal Paris-soir a publié douze contes modernes d'Eugène Dabit édités dans le présent recueil. Douze univers sur le dénuement, la pauvreté, la solitude... sur les petites joies tristes et poignantes des gens très ordinaires. Douze univers sur la condition humaine avec une écriture sobre, sans faux-semblant qui s'intéresse au coeur humain. La presse écrite est à son apogée à cette période qui précède la seconde guerre mondiale, même si la TSF se développe avec les actualités diffusées sur les ondes. Les journaux sont de véritables lieux de vie et leurs pages s'ouvrent à la culture et aux feuilletons en tout genre.

02/2019

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Littérature française

UN MORT TOUT NEUF

Dans les décors du Paris populaire des années trente, "des petits-bourgeois réunis autour d'un mort, dans une ville étouffante". C'est ainsi qu'Eugène Dabit a résumé son propre roman tout en rendant compte, dans Europe du 15 octobre 1934, de Tandis que j'agonise de William Faulkner. Car il a le sentiment d'avoir, un an plus tôt, traité du même sujet, d'avoir écrit un Tandis que j'agonise à la française, en retraçant la vie d'un homme à travers sa mort. "Ses parents, ses amis, sa maîtresse, les lettres, les meubles, son argent, les souvenirs qu'il laisse, le font revivre. Lui, on ne le voit pas, on ne l'entend pas. Le livre commence avec sa mort ; et se termine avec son ensevelissement, le quatrième jour." Lorsqu'il écrivait ces mots à Roger Martin du Gard, le 31 janvier 1933, Dabit était en train de mettre en forme les notes qu'il avait prises du 2 janvier, à la mort de son oncle maternel, Auguste Hildenfinger, au 5 janvier, jour de son enterrement. En passant de la réalité à la fiction, Eugène Dabit a fait le portrait d'un homme ordinaire dont il reconstitue d'une manière impartiale toute l'existence, avec ses secrets dérisoires, sa banalité exemplaire. Le romancier de L'Hôtel du Nord a réussi là un tour de force, sans cesser d'être vrai et émouvant.

05/1990

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Littérature française

Petit-Louis

"Nous vivions tranquilles, sans gros soucis. Mon père ne votait pas, ne lisait pas le journal. Le Monde ? Une catastrophe ou un grand crime nous y faisaient penser. Puis nous n'y songions plus". Ainsi parle Louis Decamp, dit Petit-Louis. En toile de fond de ce roman d'apprentissage, Eugène Dabit décrit la vie à Paris pendant la guerre, la vie au front ensuite. Sa plume est toujours allusive, économe, d'une extrême pudeur.

04/1988

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Littérature française (poches)

Villa Oasis ou Les faux bourgeois

Une belle et forte peinture des petits-bourgeois des années trente: les faubourgs, les guinguettes, les "nouveaux riches", leurs espoirs et leur déchéance. Un récit plein de vivacité et de sensibilité.

10/1998

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