Editions Universitaires du Sud

Les éditions Eyrolles piratées par des universitaires du Maghreb

Les Presses Universitaires de Grenoble  lance leur nouvelle collection : P@ss’ SUP. Cette nouvelle formule pédagogique propose d’aider les étudiants à surmonter le choc que représente pour beaucoup l’arrivée dans les études supérieures. 

Le marché du livre universitaire souffre. En tout cas, il alarme, selon les curseurs dévoilés par une étude Ipsos réalisée avec le groupement des éditeurs universitaires du SNE.

Bien éloignés et protégés des contingences américaines, les étudiants français ne savent presque pas leur chance. L’industrie du livre, côté éducation, est l’un des pans les plus rentables au monde, sur le territoire nord-américain. Et ailleurs dans le monde, les subsides publics permettent d’assurer une trésorerie inédite dans le monde de la fiction. Les manuels scolaires, une vraie mine d’or...

Les presses de l'Université du Missouri vont bientôt se taire, après 54 années d'activités qui auront vu naître environ 2000 titres, qui vont de l'histoire à la littérature, en passant par la philosophie, les sciences politiques ou encore des biographies. Cette fermeture rappelle la condition financière plus que délicate des universités américaines, aux budgets sans cesse plus réduits.

Une centaine de bibliothèques universitaires gratuites sur Internet

Les technologies éducatives françaises s’exportent bien. La plateforme Gutenberg Technology annonce avoir signé un nouveau contrat, à 7 chiffres, avec « le numéro 2 de l’édition universitaire aux États-Unis » au chiffre d’affaires de plus de 1,5 milliard de dollars. 2000 auteurs de Cengage Learning basculent ainsi sur la plateforme Gutenberg Technology.

Ce dimanche 18 avril, un important incendie s'est déclaré sur la montagne de la Table, massif qui surplombe la ville du Cap, en Afrique du Sud. Des vents violents ont dirigé les flammes vers la ville et la bibliothèque de l'université du Cap en a fait les frais : « Des trésors de la littérature ont disparu de manière tragique », a confirmé la ville.

Et si, en un coup de glisse, on se retrouvait face à ses livres préférés ou manuels scolaires ? Une idée farfelue, mais des plus esthétiques qui est sortie de l’imaginaire d’un architecte sud-coréen. Grâce à lui, l’université de Hoseo a vu sa bibliothèque ornée d’un toboggan chromé géant. 

Les chiffres de l’AIE (Association des éditeurs italiens) sur l’édition universitaire sont plus que surprenants : 220 millions € de chiffre d’affaires réel et 230 millions € perdus à cause du piratage. Tout cela doit être mis en perspective avec un autre chiffre : le marché potentiel — celui qui existerait si chaque étudiant universitaire achetait les textes des programmes universitaires — atteindrait 600 millions €.

Les 17 et 18 février derniers, des représentants des 17 universités d'Île-de-France et du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) ont participé au séminaire « Approche compétences et formation tout au long de la vie dans une configuration territoriale spécifique ». Organisé par les coordonnateurs de la formation continue universitaires des académies de Paris, Créteil et Versailles et soutenu par l'Initiative d'Excellence en Formations Innovantes (IDEFI) IDEA d'Université Paris-Est, l'événement a rassemblé plus de 70 personnes spécialisées dans la thématique.

Comme chaque printemps, les hirondelles reviennent, et avec elles, les rapports annuels de l’inspection générale des bibliothèques. Le point commun ? Le noir et blanc. Au cours de l’année 2016, l’IGB a accompli 23 missions, qui ont abouti à des observations spécifiques, tant dans le secteur des bibliothèques universitaires que de la lecture publique.

Tandis que les jours des DRM seraient comptés, ces derniers mois, Piracy.lab, une étude collective menée au sein de l'université de Columbia s'est intéressée à la question du piratage d'oeuvres numériques. Si diverses plateformes de diffusion d'ebooks se sont mises à la production de titres non protégés par DRM, sous la direction du professeur du département littéraire Dennis Tenen, l'enquête visait notamment à comprendre les facteurs conduisant au piratage tout comme l'impact des contenus informatifs « sous-terrain ». Non pas dans le milieu des lecteurs à titres de loisirs, mais dans la sphère universitaire.

De l'incidence de Michael Jackson sur la littérature universitaire

Sur le marché anglophone, les éditeurs écossais, irlandais et britanniques luttent âprement contre les forces américaines. Et à ce titre, Edinburgh University Press (EUP), premier éditeur universitaire du pays, vient de signer un accord de distribution avec Oxford University Press (OUP). De quoi assurer une présence en Amérique du Nord et du Sud. 

Une analyse du projet de réforme du statut des universitaires

Malgré les premières informations communiquées et la surprise des professionnels, le ministère de l'Enseignement supérieur a ordonné la réouverture des bibliothèques universitaires, à compter du 2 juin 2020. Pour accompagner le déconfinement, toutefois, le ministère propose un vadémécum pour préciser quelques points et les conditions d’ouverture de certains services des bibliothèques à la fin de l’année universitaire 2019-2020.

Une nouvelle tentative dans le domaine de la participation à l'édition de livre vient d'être lancée par Les éditions du public, ouvertes vendredi 29, qui propose un système très simple d'engagement des internautes. Ces derniers, sont sollicités à la hauteur de 11 €, investis dans un livre auquel ils croient.

Passée il y a un an, la loi sur l’Enseignement supérieur et la Recherche a fortement poussé les universités françaises à tisser des liens entre elles afin d’être plus fortes, notamment face aux institutions étrangères. Trois solutions s’offraient aux établissements français : la fusion, l’association ou la communauté.

Grandes écoles : des universitaires répondent au gouvernement

Vendre ou acheter des livres universitaires ? FacBooks

L'enTourage eDGe Reader se focalise sur le marché des universitaires

Alors qu'un libraire se révoltait récemment de ce que l'on dispensait des cours sur le livre numérique dans le cadre d'une formation à l'Institut National de Formation des Librairies, un point sur les cadres universitaires s'impose. Voici donc une liste non exhaustive des solutions universitaires qui s'offre pour qui souhaite faire du livre numérique son avenir.

Vendre des livres édités en presses universitaires semble être un défi plus difficile à relever que dans le domaine de l'édition purement commerciale. Une seule solution, prometteuse mais dangereuse pour le livre papier : la numérisation des œuvres.

Année universitaire perdue, il vend sa carte étudiante sur eBay

Apple, concurrent d'Amazon à battre sur le marché universitaire

Google Livres propose déjà des millions de titres numérisés provenant des fonds de bibliothèques universitaires, et leurs contenus dûment indexés afin que les utilisateurs puissent effectuer leurs recherches en ligne. Dans le cadre d'un contrat passé entre Google et le Committee on Institutional Cooperation (CIC), un consortium d'universités du Midwest américain, ce sont désormais près de 50.000 titres supplémentaires, issus des bibliothèques des universités de l'Etat du Michigan, qui sont voués à être scannés par le géant de la Silicon Valley.

À Bologne, cinq gérants de boutiques proposant de la photocopie, dans la zone universitaire de la ville, ont été interpellés, grâce à l’intervention de la Guardia di Finanza. Une opération menée pour la protection des droits d’auteur sur les textes universitaires, indiquent les autorités. Et surtout, un coup de filet de grande ampleur de la part des forces de police.

L'universitaire Michel Raimond, très connu pour ses travaux sur le roman, vient de s'éteindre, rapporte Fabula. Professeur émérite de Littérature française de l'université Paris-Sorbonne, il avait notamment signé chez l'éditeur José Corti La crise du roman : des lendemains du Naturalisme aux années vingt.

Le groupe Hachette vient de trouver un terrain d'entente avec la librairie Guerfi de Batna, en Algérie afin de proposer son catalogue de publications universitaires à des prix étudiés, avec des tarifs inférieurs de 20% à 60% par rapport aux prix publics français, rapporte le site Liberté.