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Denis Donikian

Dossiers

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Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

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Dossier

En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Points Terre : écologie et sauvegarde de la planète

Pour débattre et mobiliser autour de la question écologique et de la sauvegarde de la planète «Points Terre» une collection d'essais en poche pluraliste, engagée et interdisciplinaire. Face à l’urgence climatique, face aux défis majeurs que posent l’entrée dans l’anthropocène et la sauvegarde de la planète, la collection de poche « Points Terre » se propose d’ouvrir un espace d’échanges, d’analyse et de questionnements autour de la question écologique. 

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Dossier

Les Prix de la Porte Dorée 2024

Créé en 2010, le Prix littéraire de la Porte Dorée distingue des œuvres de fiction en français qui explorent les thèmes de l'exil, l'immigration, les identités multiples ou l'altérité en lien avec les migrations. En 2022 était lancé le prix BD de la Porte Dorée, qui honore des bandes dessinées revisitant l'histoire des migrations, questionnant les images et les stéréotypes associés, ou abordant les défis de la représentation avec une riche variété de styles et de techniques graphiques.

Extraits

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Théâtre

L'île de l'âme

L’île de l’âme : Derrière une table en demi-lune, de part et d’autre de la chaise vide du Grand Visionnaire Maître Khong, siègent des officiers en grande tenue. Ils ont pour mission de débaptiser une île conquise pour lui donner un nom à leur convenance. Mais de fil en aiguille, des imprévus vont surgir et les contrarier, réveillant des fantômes, exhumant des cadavres, et mettant sous leur nez les puanteurs de leur histoire. La nuit du prêtre chanteur : Une nuit, un journaliste en pyjama, un écrivain en robe de chambre, un attrapeur de chiens en guenilles, un boucher en tablier, mais aussi un prêtre musicologue en soutane et un homme en costume de ville vont se trouver réunis de force et gardés dans une bâtisse inconnue, pour un interrogatoire qui n’aura jamais lieu et une destination qui n’augure rien de bon. On s’interroge, on s’épie, mais on a faim aussi, et soif, soif d’eau et de vengeance, si soif qu’on en perdrait la raison.

11/2013

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Littérature française

Vidures

C’est une journée dans la vie de Gam’, une journée qui contient toute une vie. Unité de temps, unité de lieu, unité d’action, matière première de tragédie classique que Denis Donikian sculpte en roman-monde. On est au pied du mont Ararat, sous le bleu du ciel et le rire des mouettes moqueuses, les pieds dans la boue, entre la grande décharge et le cimetière, peut-être le chemin le plus court pour raconter la vie sur terre. Et tout est vrai. Poète contrarié, journaliste-pamphlétaire clandestin, vagabond magnifique, fils en fugue, orphelin inconsolable, chiffonnier de fortune dans une Arménie en ruine qui ressemble diablement à sa décharge - cette “apocalypse en sursis”, Gam’ conduit cette danse folle, dangereuse et salvatrice, épique et dérisoire : la traversée d’un jour parmi les sans-riens qui fouillent les entrailles de la ville pour en faire leur festin. Et Gam’ nous prête ses yeux, ses oreilles et ses sens pour appréhender une réalité de fable ou de mauvaise blague historique aussi invraisemblable que réaliste, aussi anachronique qu’actuelle. On est à la marge - dans l’ombre toujours vaguement menaçante d’un régime qui pour être indépendant n’en est pas moins autoritaire, mafieux, expéditif ; où la police envoie au feu ses voyous en costards à la gâchette facile, où tous les cadavres doivent disparaître. Voici Dro, le “bouseux sensuel”, le patron de la décharge, qui a baptisé son chien et ses porcs préférés des surnoms des trois caricatures de présidents qui se sont succédés aux commandes de la petite république - et qui manie le tractopelle en scénographe de la pourriture. Voici Roubo, le gardien du cimetière, son voisin-frère-ennemi, collé toute la sainte journée à son tabouret, qui biberonne sa gnôle et surveille les entrées et sorties, aussi attaché à “ses” morts que l’autre l’est à ses porcs. Et voici les chiffonniers, hommes, femmes, enfants, dont le désespoir et les épreuves n’ont jamais entamé la fierté. L’humanité en deuil d’elle-même que nous présente Denis Donikian nous colle au cœur : elle est à part égale effrayante et attachante pour ce qu’elle ravive de souvenirs autant que pour ce qu’elle promet - parce qu’elle nous pend au nez. Le regard qu’elle pose sur son absence d’horizon (de la décharge, on voit le cimetière et vice-versa) est chargé d’une lucidité acérée, d’un humour de dépossédés et d’un sens de la fête proche de l’instinct de survie. C’est un pays, un peuple, qui a tout subi, injustice des hommes et de la nature, génocide et tremblement de terre, un pays qui s’est tout juste assez relevé, construit, pour céder aux fausses sirènes d’une comédie d’Indépendance conquise de haute lutte et aussitôt gangrénée par toutes les corruptions. Dans ce contexte sans merci, Denis Donikian échappe au folklore et aux lamentations légitimes pour mieux mener la ronde des affaiblis, explorer la hiérarchie sophistiquée de la misère et sonner l’heure du réveil. Aux confins d’un pays en charpie, dans l’urgence reçue en héritage, parce que quand “on n’a plus d’avenir à offrir, on patauge dans la fatalité”, comme un chant contestataire improvisé pendant qu’il est trop tard, Vidures est un hymne à la résistance humaine (à la survivance de l’humain), fort d’un constat paradoxal qui vaut pour tout un peuple : Vivre était encore possible après qu’on avait touché le fond. Vidures est une allégorie de l’Arménie dans un miroir tendu à toute la planète. Un hymne et un appel, un hymne et un coup de tonnerre pour rallumer les âmes, secouer les corps et rendre aux esprits le seul pouvoir qui vaille : celui des mots choisis, celui des histoires transmises, pour nourrir la mémoire qui est le meilleur moyen de transport vers l’avenir. Il y a dans ce texte une puissance rare et fondamentale - et fondamentalement singulière, qui évoque des grandes voix à la pelle (on pense à Beckett, à Shakespeare, à Céline, à Hrabal…) et/mais qui ne ressemble à rien. Il y a, au-delà du souffle narratif, un texte qui fonce vent debout contre les pseudo-fatalités de l’histoire, une révolte qui creuse et qui jaillit, une rage pleine d’amour contre ses semblables si aisément vaincus, si vite démissionnaires. Il y a, enlacés, la colère et la joie de vivre, l’ordure et la poésie, le rire et l’impossible. Le “vin fou des légendes” et la honte bus d’un même trait. Il y a les messies narcissiques et les révoltés désarmés, des hommes qui font les morts et des morts qui ne lâchent rien. Der Vorghomia ! crie au petit matin Gam’, perché sur sa colline qui domine la ville. Ce sont les premiers mots de Vidures. Ils signifient : Seigneur, prends pitié ! Pourtant, après avoir résonné tout au long du roman, ils sonnent à nos oreilles comme un toast et comme un cri de guerre. Comme une improbable promesse. Comme une prière active.

11/2011

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Arménie

Petite encyclopédie du génocide arménien

L'impossibilité d'épuiser un sujet d'histoire aussi imposant que le génocide des Arméniens devait-elle pour autant interdire d'aborder les thématiques essentielles sur lesquelles se sont penchés historiens, penseurs, artistes, juristes et autres qui s'intéressent forcément au fait qu'un peuple puisse se donner pour objectif d'en supprimer un autre ? Le titre seul de Petite encyclopédie du génocide arménien suffit à exprimer l'humilité mais aussi l'ambition qui auront présidé à la synthèse d'une abomination qui dépasse l'entendement. La conception d'une telle entreprise est née du constat que l'acharnement à effacer, parla dénégation, la disparition des Arméniens par un génocide risquait de provoquer une accélération de l'oubli sur un contentieux majeur de l'histoire du XXe siècle : une impunité doublée d'amnésie et de mensonge aura par la suite encouragé d'autres crimes de masse. L'onde de choc déclenchée par le génocide des Arméniens aura ouvert en cent ans un large spectre d'études et de réflexions dans tous les domaines du savoir. Le temps était venu d'en faire le bilan pour dégager l'ampleur d'une catastrophe qui aura affecté autant les esprits que les institutions et les relations internationales. Mais pour transmettre les données et les leçons d'un phénomène aussi monstrueux encore fallait-il en rendre la complexité abordable. Cette petite encyclopédie se décline sous forme de fiches thématiques, dont la fiabilité s'appuie sur un recours constant à des spécialistes de la question génocidaire et principalement de la Question arménienne. Il reste que l'objectif d'un projet aussi sensible ne saurait avoir plus secrète ambition que de contribuer à combattre les obscurantismes qui conduisent immanquablement l'humanité aux dérèglements extrêmes.

12/2021

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Littérature française

Les dénis de denis

Quand un sexagénaire en détresse psychologique rencontre l'amour. Saura-t-il saisir sa chance ? Saura-t-il se remettre en question ? C'est un appel au secours du mal-être profond de notre siècle, sur fond de pandémie.

11/2022

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Littérature française

Denis

Denis est tueur à gage. C'est même le meilleur et ses qualités sont universellement reconnues. Il est méthodique et appliqué, ne laisse rien au hasard, bref, un grand professionnel. C'est un loup solitaire qui aime deux choses par-dessus tout : la cuisine, activité qui le stimule et pour laquelle il est doué ; et observer les gens, imaginer qui ils sont, d'où ils viennent, où ils vont. Ces deux activités lui suffisent à mener une vie équilibrée, tranquille, quasi-robotique. Mais une rencontre va faire bouger les lignes de cette vie bien organisée...

05/2020

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Littérature française

Anahide, une mémoire arménienne

Voici le récit d'une vieille dame arménienne qui raconte sa vie depuis le génocide, en 1915, auquel elle échappe alors qu'elle n'est qu'une adolescente. Son exil, avec son jeune frère et une tante, seuls rescapés de la famille, la conduira en France. De Marseille, où elle débarque, elle se retrouvera à Saint-Chamond, dans la Loire, puis à Vienne où elle finira ses jours. Elle accorde une place importante au " Kemp ", le ghetto des années 20 qui disparaîtra au début des années 60. Ses souvenirs du " Kemp " sont ambivalents puisqu'ils mêlent des difficultés matérielles et morales évidentes à une solidarité intra-communautaire très forte. Anahide dit aussi son attachement à la France, en revenant souvent à son goût pour le pain français qu'elle déguste savoureusement en le décrivant avec des mots choisis. C'est sa façon de dire son amour de la France qu'elle vénère malgré la vie souvent difficile qui aura été la sienne. Les dialogues qu'elle aura eus avec son petit-fils offrent donc une mémoire qui veut ici établir un lien entre ceux des Arméniens qui ont vécu le génocide et ceux des générations qui apparaissent aujourd'hui.

12/2010

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