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Dada

Extraits

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Poésie

Dada

Dada n'est pas un recueil de poésie comme les autres. Le lire c'est admettre une part de folie douce, une émotion en perpétuel mouvement. C'est tout d'abord la rencontre de l'auteure avec l'art moderne qui déclenchera son écriture, puis une rencontre avec des êtres sublimés et mystérieux à la fois. Le recueil est construit en quatre parties. La première est consacrée à des poèmes en prose libre dont le contrôle du rythme se frotte à l'émotion. En seconde partie, l'auteure pose son regard sur sa génération au gré d'une promenade dans le quartier Saint-Michel à Paris, où des souvenirs se sont bousculés lorsqu'elle est tombée nez à nez avec la plaque commémorant la mort de Malik Oussekine. La troisième partie est une suite de billets d'humeur nés au gré de l'écriture de ses poèmes, puisque la poésie est un sport de combat avec soi, et avec, à la fin, une victoire à chaque poème créé. Enfin, la quatrième partie est consacrée à l'amour. Elle y a développé une allégorie des sentiments en réunion. L'amour triomphe toujours !

06/2021

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Beaux arts

Dada

Au moment où toutes les valeurs de la civilisation occidentale semblaient s'être dissoutes dans l'horrible carnage de la guerre de 1914-1918, le mouvement Dada fit souffler un vent de fronde et de révolte. Il créa son propre mythe en affichant un esprit purement subversif et terroriste. Il voulut détruire encore et toujours et s'en donna les moyens, que ce fût en matière d'art, de littérature, de morale sociale et individuelle. La négativité de principe représente l'attitude commune à tous ceux qui se lancèrent dans l'aventure dadaïste. Cette unanimité dans la révolte pouvait cependant recouvrir des démarches fort différentes : pour les uns, la destruction se suffisait à elle-même; pour d'autres, elle ne constituait qu'une étape indispensable pour favoriser l'émergence d'un ordre nouveau. Henri Béhar et Michel Carassou retracent moins l'histoire de Dada qu'ils en présentent les multiples visages, sans atténuer ses traits contradictoires, en donnant la parole à tous les protagonistes, en recueillant leurs gestes, leurs écrits, leurs réflexions. Ainsi montrent-ils que Dada représente l'expression la plus pure et la plus brutale de la poésie en ce vingtième siècle, l'un des épisodes essentiels de la révolution artistique qui marqua la période contemporaine. Si Dada est mort vers 1924, l'état d'esprit qu'il a fait naître n'a pas fini de se manifester...

09/2005

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Poésie

DADA EST TATOU. TOUT EST DADA

"Pour faire un poème dadaïste. Prenez un journal. Prenez des ciseaux. Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème. Découpez l'article. Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac. Le poème vous ressemblera. Et vous voilà un écrivain infiniment original et d'une sensibilité charmante, encore qu'incomprise du vulgaire." Tristan Tzara.

04/2016

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Autres collections (6 à 9 ans)

Dada blues

Dada Blues est avant tout un spectacle écrit et interprété par Thomas Milanese, comédien et musicien de la Compagnie Mélocoton. Dada Blues nous raconte l'épopée d'un homme qui a vécu plus de trois cents ans et qui a traversé les époques de la grande histoire des noirs américains. Un livre aux illustrations originales qui fera voyager le lecteur dans l'histoire d'une musique aux multiples influences : le blues.

12/2014

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Beaux arts

Dada Africa

La révolte artistique Dada qui naît à Zurich au coeur de la tourmente de la Grande Guerre en 1916 exprime un rejet des valeurs traditionnelles de la civilisation qui auraient conduit au désastre de cette période. Dans ce cadre, une réévaluation d'autres systèmes de pensée et de création s'opère et conduit de nombreux artistes d'avant-garde à se pencher et à s'approprier des types de productions artistiques radicalement autres. Pour la première fois, et en coopération avec le Musée Rietberg de Zurich et la Berlinische Galerie, une exposition est consacrée à la confrontation des dadaïstes avec l'art et la culture de pays extra-européens. Les mises en scène des "Soirées nègres" au Cabaret Voltaire, faisant appel à tous les sens, associant musique, poésie et danse, s'attaquent à la notion même de l'art et remettent en cause les valeurs artistiques ayant cours jusqu'alors. Dès 1917, la galerie Coray à Zurich expose côte à côte des objets africains avec des oeuvres  dadaïstes. La  même  année,  Tzara écrit sa "Note sur l'art nègre", publiée dans la revue SIC où il affirmait "du noir puisons la lumière". Les masques de Marcel Janco, les costumes de Sophie Taeuber-Arp, les collages de Hannah Höch ou encore les oeuvres collectives refusant la notion d'auteur témoignent de ces recherches pour un nouveau langage formel. Cette exposition pluridisciplinaire permettra de confronter des oeuvres extra-occidentales à la fois africaines mais aussi amérindiennes ou encore asiatiques aux productions dadaïstes mettant en lumière des processus d'échanges et d'appropriation par ces artistes. Les peintures, sculptures, photocollages, photographies dada seront mêlés aux sculptures extra-occidentales dans des jeux de résonnances appuyés par la mise en scène scénographique de l'exposition. L'étape parisienne mettra également en lumière le terreau fertile préexistant dans la capitale française pour les arts extra-européens et la manière dont cela a pu nourrir le mouvement. Ainsi, l'exposition trouve-t-elle toute sa place au musée de l'Orangerie, en mettant en avant les liens du galeriste Paul Guillaume avec les acteurs gravitant autour de dada et autour de l'art africain à cette époque. L'étape de l'Orangerie ouvrira d'ailleurs sur l'importance que ce sujet a pu revêtir dans la genèse des liens du mouvement surréaliste avec les arts extra-occidentaux.

10/2017

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Beaux arts

Archives Dada. Chronique

Dada désigne plus que des personnes, des événements, des attitudes, des procédures, des lieux et des moments éphémères, volatiles, insaisissables avec une seule base d'entendement, l'art comme arme contre la société c'est-à-dire la mort. Propos de ces Archives : montrer à quel réservoir puisent des œuvres " droites, précises et à jamais incomprises ", divulguer Dada comme une création continue de pensées et de concepts et non pas des images récupérables alors qu'elles appartiennent à la plus formidable protestation, la plus intense affirmation. Ces Archives, augmentées d'une chronique détaillée, dressent une topographie des circonstances, pensées, images, manifestes, histoires d'individus et de groupes. intensités collectives. Solitudes, amitiés, exclus, élus et disparus. Dada : révolution absolue, soustraction intégrale à la folie de son temps, " défiance envers la communauté ", refus de " l'anéantissement prochain de l'art " en faveur " d'un art plus art ". Marc Dachy met à la disposition du lecteur les textes originaux, déclarations théoriques et manifestes, souvenirs et témoignages, qui permettent de lire dans les mots mêmes des protagonistes l'histoire de ce mouvement, et de voir se dessiner le territoire de dada à partir de témoignages et de nombreux inédits, hors d'atteinte, épars, complétés par une impressionnante chronologie commentée de 1915 à 1968. Ces Archives sont une arme " contre l'oubli organisé ", pour la vie et la liberté à réinventer.

10/2005

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