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Correspondance avec le mur

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

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Dossier

Montpellier : de la culture en plein air, avec la Comédie du Livre

Depuis 1986, La Comédie du livre créée par des librairies indépendantes fait bouillonner les rues montpelliéraines. Nous voilà donc partis pour 10 jours de manifestations littéraires à Montpellier et dans les territoires avoisinants. Au rendez-vous : rencontres, lectures, musique, ateliers et expositions.

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Dossier

Lire avec Kobo : une bibliothèque qui tient dans la main

Fondée en 2009 à Toronto, Kobo s'est rapidement imposée comme une figure emblématique dans le monde des liseuses. Bien que le marché des e-readers soit dominé par quelques géants, Kobo a su trouver sa place grâce à une combinaison gagnante d'innovation, de qualité et d'ouverture.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

Extraits

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Littérature française

Correspondance avec le mur

- Oui, je n'ai pas écrit le livre de Jérusalem. C'est terrible de commencer une page, peut-être la première page d'un livre, en s'arrachant un aveu et c'est ce que j'ai décidé de faire, après m'avoir vue moi-même me fuir moi-même trop de fois. Je n'ai pas pu faire autrement Il y a un an quand j'arrêtai le livre d'Osnabrück j'étais juste en face du mur du Mont Moriah. J'étais devant le mur de la première page. J'ai peut-être senti, ai-je senti ?, que j'étais devant le mur, je n'en suis pas sûre. Déjà j'étais coupable ou j'allais l'être. Il n'y avait rien sur le mur blond, c'est moi qui ai eu la vision d'une tombe debout et qui ne me disait pas un mot. Il me semble que je me poussais moi-même à croire ce que je ne croyais pas, j'avais une âme d'âne. Une fois en Algérie ma mère n'a pas pu passer un pont, l'âne était prêt à mourir plutôt que de renoncer à son pont. Il y a une volonté plus grande que toutes nos volontés. Ce mur était aveuglant, je le lus, je contemplai son néant, c'était le portrait du futur. - J'ai constaté concernant le rôle de Jérusalem en réalité dans mon histoire, qu'il y a là dans l'air, circulant invisibles comme des radiations magnétiques, des volontés plus fortes que ma volonté de visiteuse. On y arrive trop tard, on vient après les dieux. En mai 2015, je sais que j'étais debout sur la très petite terrasse au faîte du Mont des Oliviers, avec à ma gauche un chameau debout tenu en laisse par un licol très serré, l'incarcéré du Mont des Oliviers, l'âme immobilisée pendant toutes les heures d'une journée, et toute la liberté concédée était logée dans les pattes que l'être avait le droit de soulever et de reposer sur le même carré de sol. Du haut du Mont des Oliviers sans oliviers, j'ai vu le monde, j'ai vu son Prisonnier, et j'ai maudit l'Humanité. Ca ne se voyait pas. Même sur la photo. J'ai enfermé mes larmes de pitié dans la page de garde du livre de Jérusalem. Dans la page voisine le tribunal siégeait. Tu pleures pour un chameau. - Elle pleure pour un chat. - Voilà quelqu'un qui pleure pour un mot. Le livre de Jérusalem avait déjà commencé, juste en face du mont Moriah. Moi, depuis le mont, je voyais Moïse regarder commencer la Terre Promise. Et devant lui il vit bouger avec une lenteur folle la vie d'un chameau enchaîné. - Dire qu'il y en a qui sont enterrés dieu-sait-quoi comme mon père, dit ma mère, Moïse comme mon père, à Baranovici, tout seul. Quel avenir ! C'est drôle l'homme, toute cette création, c'est vraiment incroyable ! dit ma mère - Baranovici, tu connais ? Un habitant, Michael Klein, juif mort pour l'Allemagne. Puis ma mère rit et se tait.

01/2017

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Philosophie

Lettres sur le mal. Correspondance avec Blyenbergh

Dans Folioplus philosophie, le texte philosophique, associé à une oeuvre d'art qui l'éclaire et le questionne, est suivi d'un dossier organisé en six points : Les mots du texte : Dieu, mal, liberté L'oeuvre dans l'histoire des idées La figure du philosophe Trois questions posées au texte : Dieu est-il cause de tout ? Qu'est-ce qu'une imperfection ? Tout est-il permis ? Groupement de textes : L'homme méchant Prolongements.

06/2006

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Correspondance

Correspondance avec La Mouette

Cette correspondance croisée est avant tout une histoire d'amour qui traverse la vie d'Anton Tchékhov et de Lydia Mizinova. C'est aussi une histoire sublime et tragique de la création, indissociable du mouvement de la vie, de ses passions, de ses joies en exaltations et de ses tragédies. Lydia Mizinova inspira le personnage de La Mouette. Avant d'être une correspondance, ce livre est avant tout une histoire d'amour qui traversa à divers titres toute la vie d'Anton Tchékhov et de Lydia Mizinova. Et c'est aussi une histoire sublime et tragique de la création, indissociable du mouvement de la vie, de ses passions, de ses joies en exaltations et de ses drames. Lydia Mizinova inspira le personnage de La Mouette. Si d'évidence nous retrouvons chez Tchékhov épistolaire les mêmes qualités d'écriture que chez Tchékhov auteur (concision elliptique, ironie, sens de la formule, humour, force d'évocation, puissance d'analyse), il n'en reste pas moins que Lydia Mizinova exprime elle aussi, avec une belle force et une grande justesse, le désir et la détresse. Cette correspondance croisée, l'histoire qu'elle nous fait partager, son rythme même, nous font penser de façon saisissante à une nouvelle de Tchékhov. Leur histoire, ce qu'ils se disent, ce qu'ils se taisent, l'exil parisien de Lydia, la mort de son enfant, son courage, leur humour, tout ce petit théâtre de séduction et d'indifférence qu'ils mettent en place, a beaucoup à voir avec la façon que Tchékhov a de nous emporter dans son oeuvre - à " bas-bruit ", incidemment - et de nous faire vivre le " drame (parfois heureux) de l'existence ".

01/2022

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Mystique

Correspondance avec le père Migliorini

Romualdo Maria Migliorini, ancien missionnaire au Canada et préfet apostolique en Afrique du Sud, puis prieur de la communauté des Servites de Marie à Viareggio, fut le directeur spirituel de Maria Valtorta à partir de 1942. Dans une lettre du 21 février 1943, Maria Valtorta écrit : "Loués soient Jésus et Marie qui, en ce beau mois de juin [1942], vous ont amené à moi et ont fait de vous mon confesseur le jour de la Visitation [le 2 juillet 1942]". Ce fut le père Migliorini qui invita Maria à écrire sa biographie, qui lui fournit les cahiers manuscrits et les transcrivit sur des copies dactylographiées. Après peu de temps, Maria apprit tristement que le père commençait à distribuer des fascicules avec des extraits des visions et des dictées. Ce fut le début d'un conflit spirituel qui les a amenés à interrompre leur relation en 1946.

02/2023

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Critique littéraire

Correspondance avec Camille Pissarro

"Le plus grand peintre de tous les temps." C'est en ces termes qu'en 1891 Octave Mirbeau célèbre Camille Pissarro, dont il chante "l'oeuvre de joie, d'amour, de vérité et de beauté". Mais autant que l'artiste exceptionnel, "chercheur éternel de mieux", il admire, aime et vénère l'homme dont l'âme, "si douce et si ardente", rayonne "sur un des plus absolument beaux visages qui aient illustré l'humanité". Pour ce père idéal, il déborde d'une affection toute filiale. Un malentendu stupide, la veulerie de Mirbeau, l'entêtement de Pissarro, vont malheureusement mettre leur amitié entre parenthèses pendant des années. Jusqu'à ce que le grand polémiste se mette passionnément au service de la gloire de son aîné. Pendant les trois années qu'a duré l'essentiel de leur correspondance, à travers leurs effusions et leurs échanges intellectuels, c'est toute la vie de la France de l'époque qui transparaît : vie artistique et littéraire (impressionnisme et post-impressionnisme, symbolisme en littérature et en art), aussi bien que vie politique et sociale (revendications ouvrières, attentats anarchistes). Le vieux monde est en train de craquer, et les deux amis, idéalistes impénitents, communient dans le même rêve d'une société pacifiée, sans classes et sans Etat.

03/1990

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Religion

Correspondance avec Sulpice Sévère

Illustre aristocrate et poète de talent, Paulin prend la décision, avec l'accord de son épouse Therasia, de renoncer à ses biens et de partir mener une vie d'ascète à Nole en Campanie. Son ami, Sulpice Sévère, jeune avocat réputé, choisit la même voie du renoncement et se fixe à Primuliacum, près de Toulouse. Voici la première traduction complète en français de leur correspondance. Nourrie des dernières recherches universitaires, elle montre en quoi l'échange épistolaire de ces deux Pères de l'Eglise reflète le passage entre la culture antique et la culture chrétienne. La conversion à l'ascétisme, le culte rendu aux martyrs, le sens de l'amitié spirituelle, le goût des lettres, mais surtout le dépassement de la morale par l'appel à une existence réellement vécue, tels sont les grands thèmes qu'éclairent cette relation singulière. Un témoignage passionnant parce que passionné. Bordelais d'origine, Paulin de Nole (353-431), moine puis évêque, est un écrivain latin, contemporain d'Augustin d'Hippone. Sulpice Sévère, originaire également du Sud-Ouest, est connu pour avoir rédigé la Vie de Martin de Tours et des Chroniques. Correspondance traduite et annotée par Janine Desmulliez, Cédric Vanhems et Jean-Marc Vercruysse Collection dirigée par Marie-Anne Vannier

01/2016

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