Recherche

Combat et création. Zbigniew Herbert et le cercle de la revue Kultura (1958-1998

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

ActuaLitté

Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Michel Houellebecq

Romancier, essayiste, poète, considéré par de nombreux critiques comme l’écrivain français le plus marquant de notre époque, il est lu dans le monde entier depuis Extension du domaine de la lutte (1994). Michel Houellebecq a reçu le prix Goncourt pour son roman La Carte et le territoire, en 2010.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Ray Bradbury

Né le 22 août 1920, Ray Bradbury est un des grands noms de la littérature de science-fiction américaine, particulièrement réputé pour la qualité de ses nouvelles, notamment grâce à ses recueils L'Homme illustré (1951), Un remède à la mélancolie (1958) ou encore les Chroniques martiennes (1950). 

ActuaLitté

Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

ActuaLitté

Dossier

Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

ActuaLitté

Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Combat et création. Zbigniew Herbert et le cercle de la revue Kultura (1958-1998

Ce choix de lettres entre le poète Zbigniew Herbert et cinq brillants intellectuels polonais de l'émigration offre au lecteur un panorama de la vie culturelle et politique de la seconde moitié du XXe siècle, de part et d'autre du rideau de fer. Si les oeuvres de Herbert sont célèbres, la discrétion de l'homme fait qu'il reste mal connu. Or, chacun des correspondants étant doté d'une forte personnalité, ces échanges privés se déploient en de multiples directions ; ils concernent l'art avec Czapski et Herling, les questions éditoriales avec Giedroyc, le "rédacteur" de la célèbre revue Kultura, le voyage et l'histoire avec Jelenski, l'économie, la politique... et les potins avec Hertz. Deux constantes, pourtant, dans ces dialogues : l'amitié et l'ironie. Tous ces personnages, qu'ils aient ou non choisi l'exil, ont été confrontés à une forme de perte, du fait de la guerre et du totalitarisme, et ils s'en sont défendus avec des livres. Et c'est aussi cette histoire que raconte le présent recueil.

10/2017

ActuaLitté

Critique littéraire

Correspondance 1938-1958

Quelle place la tauromachie a-t-elle réellement occupée dans la vie de Michel Leiris ? Fut-elle uniquement, pour l'autobiographe, une métaphore de l'écriture ? L'arène devint-elle le lieu où se conjuguèrent ses intérêts pour l'ethnographie, la poésie, le mythe, l'éthique et le langage ? A ces questions, les 186 lettres de sa correspondance croisée avec celui qui fut son mentor dans la "planète des taureaux", André Castel — oenologue nîmois que ses contemporains appelaient "Don Misterio" — apportent une réponse circonstanciée et inédite... Les deux hommes font connaissance en 1938 alors que Leiris, encore jeune ethnographe, s'apprête à publier une série de poèmes tauromachiques, Abanico para los toron. Depuis 1926, année de son mariage, Leiris assiste en effet à des corridas (il en verra près d'une quarantaine jusqu'en 1965), mais ce n'est qu'en 1935 qu'il éprouve une véritable "révélation", lors d'une faena de Rafaellilo Ponce : "[...] je n'ai jamais trouvé, dans aucune oeuvre artistique et littéraire, l'équivalent de ce que j'ai ressenti à Valence en voyant toréer Rafaelillo, très peu de temps avant qu'il reçoive l'alternative", écrit-il à Castel. Révélation confirmée par la première corrida à laquelle ils se rendent ensemble, à l'automne 1938 : encore sous le coup de l'émotion, Leiris en rédige le compte rendu pour La NRF : "Rafaelillo le 9 octobre à Nîmes"... Après la guerre, André Castel veille à introduire Michel Leiris lequel court les arènes pour voir toréer Fermin Rivera ou Luis Miguel Dominguin — dans le "mundillo" : il lui fait découvrir les " terres à taureaux" de Camargue, l'emmène chez des manadiers, l'invite à des "tientas", lui fait rencontrer des toreros et des aficionados. Et par lettres, ils rivalisent d'érudition tauromachique en évoquant les écrits de Garcia Lorca, Bergamin, Hemingway, Montherlant, Stendhal, Melville ou Alarcon... En Castel, Leiris trouva non seulement un spécialiste avec lequel partager une précieuse conversation sur "l'art tauromachique", mais également un "ordonnateur de plaisirs" qui sut accueillir généreusement ses invités : dès le lendemain de la guerre, se sont ainsi retrouvés, dans la cour de son "labo" au coeur de Nîmes, des toreros célèbres et des chanteurs de flamenco, ainsi que Pablo Picasso (compagnon d'aficit6n avec lequel Leiris vit sa première et sa dernière corrida), Georges Bataille, Blaise Cendrars, Elie Lascaux, André Masson, Jean Paulhan, Jean Hugo, Jean Dubuffet... Mais en 1955, le départ brutal d'André Castel pour l'Espagne annonce la fin de ce commerce amical, tout entier tendu vers l'"image même de notre émotion", que Michel Leiris avait reconnue dans Miroir de la tauromachie.

05/2002

ActuaLitté

Criminalité

Affaires classées en Béarn et Pays basque. 1981-2001

1. Le Jour le plus Long (André Blasco. Mazères-Lezons, 1978) /// 2. Meurtre en Stop (Jean-Marc Dallon. Bougarber, 1982)/// 3. Emile et Dominique (Emile Vial-Dominique Redon. Bayonne, 1983) /// 4. Peur sur la Ville (Le drame du Monbar. Bayonne, 1985) /// 5. Tueur Né (Coppola. Pau, 1986) /// 6. Richard, Coeur de Pierre (Richard Boutin. Pau, 1987) /// 7. Des Dollars, comme s'il en pleuvait (Jean Breuil. Biarritz, 1988) /// 8. Dans le Pétrin (Pierre Hiriart. Urcuit, 1991) /// 9. D'une Pierre, Deux Coups (Maurice Dussarat. Castétis, 1990) /// 10. L'Homme qui valait un Milliard (Jacques Milési. Pau, 1990) /// 11. Sacrifice (Patrick Léger. Sendets, 1992) /// 12. Pour un Autoradio (Jacques Brouste. Pau, 1994) /// 13. L'ombre d'un Doute (Christophe LAEK. Bayonne, 1995) /// 14. Le meurtrier court toujours (Les soeurs Nougué-Cazenave. Pau, 1995) /// 15. Gardez-moi de mes amis (Bernard Errandonéa. Sare, 1995) /// 16. Mauvaises Rencontres (Pierre Saunier. Chéraute, 1997) /// 17. Crimes à tiroir (Jean-Etienne Subercaze. Bayonne, 1992-1998) /// 18. Dans un moment de délire... (André BOUR. Lahonce, 1999) /// 19. Secret de Famille (Le bébé Momifié. Biron, 1999) /// 20. L'Assas-saint Valentin (Christophe Dubarry. Hendaye, 2004) /// 21. Pour un mauvais regard (Yannic Mas. Biarritz, 2004) /// 22. La Nuit du Long Couteau (Sébastien Khélifa. Pau, 2005).

11/2022

ActuaLitté

Critique Poésie

Zbigniew Herbert et la poétique du don

Après avoir publié l'édition complète, bilingue, des poèmes de Zbigniew Herbert, ainsi que ses trois volumes d'essais, le Bruit du temps offre maintenant à ses lecteurs Zbigniew Herbert et la poétique du don, exploration synthétique de son oeuvre, de sa biographie et de ses traductions en anglais et en chinois. Cette somme originale est le fruit de la collaboration de chercheurs de trois continents : comparatistes, linguistes, musicologues, spécialistes d'art pictural et de littérature, traducteurs. Avec leur sensibilité et leurs outils propres et dans un langage intelligible, ils projettent une nouvelle lumière sur un poète et essayiste dont l'écriture vibrante, l'ironie, la plurivocité, l'approche historique et philosophique séduisent des lecteurs internationaux. Ces études fouillées posent le contexte historique de l'Europe du xxe siècle, analysent le processus de création et la vision inédite du totalitarisme de l'auteur. La perspective du don : don du poème, dédicace qui appelle une signification supplémentaire, démarche esthétique, don de liberté et de pensée, don fait au lecteur, instaurant un lien social et spirituel, enraciné dans une tradition humaniste et retrouvant le rite grec antique, permet de revisiter cette oeuvre foisonnante qui n'a pas encore livré tous ses secrets. Ainsi que le résume l'un des auteurs : "D'un même mouvement, il s'agit de faire un don aux vivants et aux morts une restitution". L'édition est enrichie de multiples renvois, de dessins de Herbert et de reproductions de tableaux. Récemment traduit et publié en Pologne, l'ouvrage a été salué comme "un livre important et nécessaire qui complète de manière essentielle les recherches herbertologiques, en élargissant le champ de leur problématique et de leurs perspectives de recherche, et est en outre, une précieuse contribution aux études littéraires" . Aux lecteurs qui ne connaîtraient pas encore l'oeuvre de cet écrivain polonais majeur, ce volume propose une découverte de son univers dans toute son épaisseur intellectuelle et sensuelle. A l'égal de ses maîtres, Eliot et Rilke, Herbert réenchante la littérature, pour qu'elle soit plaisir, réflexion et vecteur de vie.

12/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

Correspondance 1928-1968

En 1928, un autodidacte de 28 ans adresse à La NRF le manuscrit d'un roman, Zig-Zag. L'auteur, abandonné par son père, a couru les rues d'une très vieille ville du Midi pour y épier la vie et l'amour, a perdu sa mère à 12 ans et a dû faire toutes sortes de petits métiers pour survivre. Il est passé aussi par le syndicalisme, le Parti communiste et vient de faire son entrée à Monde, hebdomadaire de gauche dirigé par Henri Barbusse... "Considérez-vous comme accueilli à la NRF", lui répond d'emblée Jean Paulhan. Il est vrai que Jean Paulhan et Marc Bernard sont nés à Nîmes à seize ans de distance : 1884 et 1900. Le premier, dès 12 ans, a été emmené vers Paris par son père, bibliothécaire et philosophe, et ne retrouve le Gard de son enfance que de loin en loin. Le second est presque prisonnier de sa ville natale, vers où les difficultés matérielles, les contraintes de l'Histoire, mais aussi le goût de la vie simple le font toujours revenir : même après ses prix Interallié en 1934 (Anny), Goncourt en 1942 (Pareils à des enfants), Marc Bernard garde en ligne de mire les Nîmois, dont il observe les ambitions et les illusions (Les Exilés, 1939 ; La Cendre, 1949 ; Une journée toute simple, 1950). A Paulhan qui lui avoue "Je donnerais cher pour qu'il y ait beaucoup de révolutionnaires comme toi", il ne cache guère certaines conversions radicales : "Je crois qu'il faut en finir avec ce chantage sentimental sur la Russie. Il ne leur reste plus qu'à accumuler toutes les saloperies possibles et imaginables pour dire ensuite : si vous publiez la moindre ligne contre nous, vous attaquez la révolution". Passent Romain Roland, Henri Calet, Jean Blanzat, Jacques Chardonne, Gaston Gallimard... Viennent Madrid et Barcelone dans les années trente, puis la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle les errements de Bernard sont patiemment raisonnés par Paulhan. Avec sa "bien-aimée" Else, juive autrichienne, Marc Bernard doit se cacher en Limousin, où il se lie avec le photographe Izis : les portraits que celui-ci réalise en 1945 figurent dans ce livre (grâce à son fils, Manuel Bidermanas). "Mon petit Marc", "Mon petit Jean" : c'est ainsi que les deux écrivains s'interpellent encore à 84 ans et 68 huit ans passés. Le plus âgé n'a jamais renoncé à être le conseiller littéraire de l'autre, qui, de son côté, l'a toujours lu avec attention : "C'est terrible, ces grands sujets, écrit Jean Paulhan en janvier 1965. Il me semble que les gens modestes (comme nous) devraient se demander, avant de se lancer : "Mais moi, qu'est-ce que je puis apporter de différent, que je sois seul à dire?" et n'en pas démordre". Toutes leurs lettres n'ont pas été retrouvées, mais les 461 présentées ici montrent la courbe de leur amitié : une amitié différente, et qu'ils ont été les seuls à dire ainsi.

11/2013

ActuaLitté

Littérature française

Ho ! Marcel ! Paris, 1968-1998

"C'est étonnant... un récit-témoignage, une fiction, une pièce de théâtre, une peinture sociale, tout un univers pour une aventure humaine de toute histoire, à travers laquelle se croisent, dialoguent, se brouillent, se connectent, se déconnectent l'informatif, le poétique, le lyrique, le tourisme littéraire, la rigueur analytique, politique, psychologique... et pour autant ce ne sera jamais un fatras. Un nouveau roman ? Ou un autre roman ? Un récit autrement... celui d'un autrement approcher la réalité, une époque, sans doute toucher le réel de la pointe de ses actualisations... bref, un événement... dans l'espace littéraire". Philippe Tancelin.

07/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté