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Collectif, Yann Moix

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Dossier

Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Dossier

Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Dossier

Le Prix des Libraires

Créé en 1955, le Prix des Libraires est porté par une association réunissant des libraires indépendants. Chaque année, la récompense, décernée au mois de mai ou juin, vient saluer un roman écrit en français. La particularité du prix est de permettre à tous les libraires indépendants de faire entendre leur voix...

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

Rentrée littéraire 2019 : une nouvelle cuvée de 524 romans à découvrir

Dès la fin du mois d’août débutera le grand rendez-vous français de la Rentrée littéraire. Cette année, une production en légère diminution, puisque “seuls” 524 romans sortiront contre 567 l’année passée. On passe donc de 9,78 livres à engloutir durant les deux mois et demi, à simplement, et plus digestement, 9,03.

Extraits

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Revues

Année zéro Charles Péguy (1873-1914) - N° 2 Charles Péguy (1873-1914)

Cette nouvelle revue dirigée par Yann Moix entend désensabler des auteurs du patrimoine littéraire et porter sur leur oeuvre un regard vierge de tout a priori - comme si elle venait de paraître. Ce deuxième numéro est consacré à Charles Péguy. Un peu partout, au sein de maintes chapelles, souvent antagonistes, le spectre de Péguy remue : de l'extrême gauche à la droite souverainiste, on agite son oeuvre comme si on l'avait lue, ce qui n'est pas le cas. Année Zéro souhaite épargner à ses lecteurs la comptabilité, fastidieuse, de ces récupérations politicardes, idéologiques, médiatiques qui entretiennent avec l'oeuvre de l'Orléanais un douteux commerce. Ce qui nous intéresse, c'est la littérature : Péguy lu " d'homme à homme ", comme il eût tant souhaité qu'on envisageât la géniale somme qu'il nous laisse.

11/2022

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Revues

Année zéro N° 3, octobre 2023 : Sacha Guitry (1885-1957)

La revue Année Zéro dirigée par Yann Moix entend réhabiliter ou revisiter des auteurs du patrimoine littéraire et porter sur leur oeuvre un regard vierge de tout a priori - comme si elle venait de paraître. Ce troisième numéro, riche d'inédits et de révélations, est consacré à Sacha Guitry. La postérité de Sacha Guitry est contradictoire. Alors que son théâtre continue de se jouer, alors que ses films continuent d'être diffusés et ses textes d'être lus, son nom, lui, suscite indifférence ou répulsion. Les plus snobs le réduisent à un humour de comique croupier, en oubliant que son cinéma totalement novateur aura servi de modèle à la Nouvelle Vague. Les mieux pensants lui taillent une réputation de misogyne, en lui prêtant des aphorismes douteux, souvent apocryphes, et en écartant tous les grands rôles féminins que son théâtre aura offerts. D'autres, encore, le jugent trop peu profond, exagérément bavard, d'une superficialité telle qu'elle le condamnerait à rester en marge de la littérature. Certains, enfin, agitent le spectre de la collaboration, sans tenir compte de l'Histoire et de sa vérité. Au fond, la postérité de Sacha Guitry se résume à un grand malentendu et, surtout, à de fausses, à d'insincères relectures. Année Zéro s'épargnera l'inventaire de tous les griefs qui ont défait la légende de ce Molière du XXe siècle, pour ne s'intéresser qu'à l'essentiel : son oeuvre. Guitry, lu et vu comme s'il venait de composer ses pièces ou de tourner ses films. Guitry, lu et discuté par ceux qui continuent de le jouer au théâtre, ce lieu qu'il considérait comme celui de la vie véritable. Guitry lu et vu intégralement, sans prisme ni coloration particulière. Guitry lu et vu tel qu'il était : un homme libre, hors de son temps, tout à la fois dessinateur, philosophe, moraliste, amuseur et mélancolique, vivant d'art - ne vivant que pour cela -, et dont la superbe somme qu'il nous laisse ne plie à aucune catégorie, sinon à celle du génie.

10/2023

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Littérature française

Orléans

Qui a lu l'oeuvre publiée de Yann Moix sait déjà qu'il est prisonnier d'un passé qu'il vénère alors qu'il y fut lacéré, humilité, fracassé. Mais ce cauchemar intime de l'enfance ne faisait l'objet que d'allusions fugaces ou était traité sur un mode burlesque alors qu'il constitue ici le coeur du roman et qu'il est restitué dans toute sa nudité. Pour la première fois, l'auteur raconte l'obscurité ininterrompue de l'enfance, en deux grandes parties (dedans/dehors) où les mêmes années sont revisitées en autant de brefs chapitres (scandés par les changements de classe, de la maternelle à la classe de mathématiques spéciales). Dedans : entre les murs de la maison familiale. Dehors : l'école, les amis, les amours. Roman de l'enfance qui raconte le cosmos inhabitable où l'auteur a habité, où il habite encore, et qui l'habitera jusqu'à sa mort, car d'Orléans, capitale de ses plaies, il ne pourra jamais s'échapper. Un texte habité, d'une poésie et d'une beauté rares, où chaque paysage, chaque odeur, chaque mot, semble avoir été fixé par des capteurs de sensibilité saturés de malheur, dans ce présentéisme des enfants martyrs. Aucun pathos ici, aucune plainte, mais une profonde et puissante mélancolie qui est le chant des grands traumatisés.

08/2019

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Littérature française

Naissance

Ce roman est si particulier, si original, si multiple, qu’il sera préférable de le présenter pédagogiquement, et point par point… 1/ Ce roman s’intitule donc Naissance et il est gros, voire « hénaurme ». Il est gros, et non pas gras. L’auteur précise : « ce livre est gros comme une femme enceinte de neuf mois ». 2/ Ce roman raconte comment son narrateur est venu au monde : il naît, déjà circoncis, dans une famille qui ne veut pas de lui. Ses parents lui font recoudre un prépuce - mais le mal est fait : ce personnage sera, en permanence, un bouc-émissaire. 3/ Roman d’initiation, Naissance raconte comment un enfant devient peu à peu, à l’insu de sa famille, un écrivain. Rejeté par sa famille, il sera influencé en ce sens par un personnage incroyable, un certain Marc-Astolphe Oh, hurluberlu hilarant et collectionneurs de… collections. 4/ Ce roman contient et prolonge tous les précédents livres de Yann Moix : Jubilations vers le ciel pour l’enfance ; Les cimetières sont des champs de fleur pour la folie ; Anissa Corto pour les sentiments ; Podium pour la province et la vie française des années 1970 ; Partouz pour la mystique et pour Charles Péguy ; Panthéon pour l’enfance maltraitée ; Mort et vie d’Edith Stein pour ses pages sur le judaïsme et le christianisme. Naissance est le roman de tous les romans de Yann Moix. 5/ Naissance est aussi un hommage absolu à la littérature. Il contient des chapitres sur Stendhal, Faulkner, Gide, Georges Bataille. Il insiste également, et ceci est en rapport avec cela, sur la mort de Charles Péguy et celle de Brian Jones. 6/ Ce livre évoque aussi les milieux de l’édition dans les années 1970. Ledit Marc-Astolphe Oh, auteur d’un Que sais-je ? sur la photocopie et la reprogravure, est désireux de se faire éditer chez Grasset. Il passe par Franz-André Burguet, venu écrire l’un de ses romans à Orléans, et qu’il harcèle pour que ce dernier lui présente Jean-Claude Fasquelle (autre personnage du roman). 7/ On l’aura compris : ce roman est fou, désopilant, grave, métaphysique, étincelant, loufoque, rabelaisien. Naissance sera… l’heureux événement de la rentrée !

08/2013

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Littérature française

Jubilations vers le ciel

"Oh oui, me voilà, l'homme d'autrefois : Nestor. Je suis de nouveau lui, il n'a jamais vers le ciel cessé d'être moi durant toutes ces années, quarante-deux, quarante-deux années de filature d'Elle. Je n'ai jamais cessé d'être lui et pour cause. Me revoilà, celui qui a été, par la disgrâce de ton regard edelweiss, rabaissé plus bas que terre. Je fais remonter la vieille blessure en moi pour mieux la béatifier dans le spectacle que tu m'offres. Tu es là-dessous, Hélène. Là-dessous. Que sont tes atours devenus ? Tes seins fermes des jours de juin de ta jeunesse, c'est maintenant comme s'ils n'avaient jamais été." Ce premier roman est tout simplement une histoire d'amour. Yann Moix emploie tous les styles, joue de toutes les gammes. Dans une langue inventive, bruissante, épicée, il implore la femme qu'il aime. On passe du rire aux larmes, de la caresse à la jubilation, de la vie au cercueil. Ce livre magnifique se lit comme une offrande.

12/2015

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Littérature française

Reims

Reims constitue le deuxième volume de la tétralogie, ou du quatuor, que l'auteur a intitulé "Au pays de l'enfance immobile", dont Orléans paru en aout 2019 était le premier opus, et dont Verdun et Paris seront les troisième et quatrième. Le narrateur s'est enfin échappé du cauchemar familial d'Orléans, il aspire aux plus grandes écoles pour "monter à Paris" mais ses résultats médiocres aux examens de mathématiques le font atterrir à l'Ecole supérieure de commerce de Reims, vécue par lui comme une relégation en troisième division. Ici tout n'est qu'ennui, impuissance, obsession sexuelle jamais assouvie, dérive alcoolisée, débâcle progressive avec une petite bande de paumés masturbateurs et suicidaires qui tournent le dos à la compétition scolaire pour mieux affirmer leur différence. Dans cette course à la vanité paradoxale de l'échec, avec les mots brandis contre les chiffres, la littérature contre les mathématiques, le déclassement contre le classement, la révolte contre le conformisme, la provocation contre la convocation, il va s'agir, à défaut de briller par le succès, de se distinguer par l'ignominie. C'est dans ce volume qu'apparait, chronologiquement, la bande dessinée antisémite infâmante à l'origine de "l'affaire Moix" qui a défrayé la chronique médiatique après la parution d'Orléans. Sur cette bande de pieds nickelés travaillés par la chose littéraire qu'ils ne travaillent pas, plane l'ombre des "Simplistes" qui étaient parvenus à produire des oeuvres belles et profondes à partir de Reims : René Daumal, Roger Gilbert-Lecomte, Roger Vailland et d'autres qui ont illuminé la revue littéraire Le Grand Jeu, là où leurs pâles successeurs ne sont plus capables que d'un tout petit jeu grinçant et misérable. Reims, ou la prolongation de la haine de soi quand la haine des vôtres vous a définitivement incarcéré au "pays de l'enfance immobile"...

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