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Colin Salter, Paul Walton

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Dossier

Romans, essais, théâtre : tous les livres de Paul Auster

Né en 1947 à Newark dans le New Jersey, Paul Auster étudie de 1965 à 1970 les littératures française, anglaise et italienne à Columbia University, où il obtient un Master of Arts. Il publie à cette époque des articles consacrés essentiellement au cinéma dans le Columbia Review Magazine, et commence l’écriture de poèmes et de scénarios pour films muets qui deviendront ultérieurement Le Livre des illusions.

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Dossier

Les prix littéraires de la rentrée

Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Le Prix des Libraires

Créé en 1955, le Prix des Libraires est porté par une association réunissant des libraires indépendants. Chaque année, la récompense, décernée au mois de mai ou juin, vient saluer un roman écrit en français. La particularité du prix est de permettre à tous les libraires indépendants de faire entendre leur voix...

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Dossier

Les Prix Landerneau

Remis pour la première fois en 2008, le Prix Landerneau s'est décliné, depuis, en plusieurs récompenses : on compte ainsi le Prix Landerneau BD, le Prix Landerneau Album Jeunesse, le Prix Landerneau Polar et le Prix Landerneau des Lecteurs... Ces récompenses fédèrent l'ensemble des libraires des quelque 220 Espaces culturels E. Leclerc.

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Dossier

Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

Extraits

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Sports

Jaguar. Modèles d'exception

" C'est la plus belle voiture de tous les temps ", Enzo Ferrari à propos de la Jaguar type E. De toutes les marques qui incarnent dans l'après-guerre l'esprit de la sports car anglaise - Austin-Healey, Hillman, Lotus, MG, Morgan, Triumph - Jaguar est incontestablement celle qui aura le plus fait rêver des générations entières. Née sous le signe des premières Standard Swallow au début des années trente, Jaguar se métamorphose à partir des années 50 et 60 pour offrir des roadsters, coupés et cabriolets dont la ligne féline et la performance sportive scellent définitivement la réputation d'excellence de la marque. La renommée des modèles XK 120, 140 et 150 feront le succès de Jaguar aux Etats-Unis, premier marché automobile de l'époque, aboutissant en 1961 à la mythique Type E, véritable icône des swinging sixties. Grâce à son impressionnant palmarès obtenu en compétition, notamment aux 24 Heures du Mans, Jaguar n'a jamais perdu cette connotation sportive, même si son nom évoque également toute une lignée de berlines haut de gamme au confort " so British " telles la fameuse Mk2 ou les séries XJ qui marquèrent les années 70 et 80. Sous l'égide de Paul Walton, rédacteur en chef de Jaguar World magazine, Colin Salter, historien de l'automobile, réunit dans cet ouvrage les 30 modèles les plus emblématiques de la marque, de la SS1 de 1931 à la toute nouvelle XKSS qui sortira l'an prochain au Salon de Genève. Il a pu rassembler une iconographie exceptionnelle pour présenter chaque modèle en faisant appel à des photographes spécialisés et en obtenant des documents en avant-première directement auprès de la marque. Il nous invite à plonger dans l'univers incomparable de classe et de raffinement qui caractérise cette marque d'exception.

10/2016

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Critique littéraire

1916 - Chronique familiale de Paul Wallon - Correspondances

A la suite des précédents ouvrages sur 1914 et 1915, celui-ci porte sur les échanges épistolaires de la famille de Paul Wallon, père, pendant l'année 1916, une année tout en surprises, tant sur les plans politiques et militaires que familiaux. Personne ne doute, chez Paul Wallon, père, de l'issue victorieuse de cette guerre si longue, si éprouvante et si angoissante pour l'arrière. Familialement, cette année 1916 va apparaître comme une année de répit, ponctuée de quelques jours heureux avec la naissance de Paul Giard, les mariages de Thérèse Rabut, Henriette et Marguerite Rivière et la libération de Paul Wallon (fils de Paul Wallon, père), interné en Allemagne depuis le début du conflit. Nous allons ainsi poursuivre notre accompagnement des membres de cette famille dont l'affection mutuelle sert de rempart à la brutalité de cette guerre et chez qui, comme chez tous les français, on vit dans l'attente du dénouement et l'inquiétude pour ceux qui servent au front. Sur le front, les allemands échouent à Verdun devenu le symbole d'une guerre d'usure avec l'emploi massif de l'artillerie. Henri, Emile et Georges Wallon sont au coeur de cette grande victoire défensive de l'armée française alors que, parallèlement, de juillet à novembre 1916, les armées britanniques et françaises sont engagées dans la bataille de la Somme, tout aussi sanglante. On veut croire à une fin rapide des hostilités mais les succès militaires ne semblent pas suffire à l'assurer dans l'immédiat.

12/2014

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Critique littéraire

1918 - CHRONIQUE FAMILIALE DE PAUL WALLON - Correspondances.

C'est une émouvante lecture que nous propose l'auteur avec cet ouvrage "1918 - Chronique familiale de Paul Wallon - Correspondances" qui clôt cette saga épistolaire ouverte en 1914. Six ouvrages auront été nécessaires pour découvrir la vie de ceux appelés sous les drapeaux et celle de ceux restés à l'arrière. Heureusement, pour cet arrière vouée à l'inquiétude et l'angoisse, l'acheminement du courrier fonctionne bien et permet, malgré la censure, d'être mieux informé que par la presse et les communiqués. Ce dernier ouvrage nous apporte, en outre, un bien curieux éclairage. Alors que le premier semestre de cette année 1918 pouvait faire craindre le pire, la fortune des armes va se retourner et, en définitive, la guerre va être gagnée par les Alliés sans autres années supplémentaires de sacrifices. Cette victoire, Paul Wallon, père, qui s'éteindra le 1er février 1918, ne pourra en jouir ni participer à la grande exaltation de l'armistice du 11 novembre 1918. Sous son magistère, malgré les décès occasionnés par la guerre, la famille sera restée debout, puisant ses ressources dans la profonde affection qui lie tous ses membres. Henri, un de ses fils, prédisait en 1914, lors de la mobilisation générale : "Nous partons 7 mais nous ne reviendrons pas tous, une famille comme la nôtre sera forcément touchée" . Ce fut, hélas, vrai. La victoire est totale mais le tribut est lourd. Le soulagement et la joie sont teintés d'amertume et de tristesse face aux coûts humains et matériels qui ont meurtri cette famille durement éprouvée comme l'ensemble du pays. La guerre finie, ils vont continuer de pleurer les disparus et se tourner vers l'avenir pour reconstruire la nation et tenter d'épargner à leurs enfants pareil drame national...

02/2015

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Critique littéraire

1914 - Chronique familiale de Paul Wallon - Correspondances

Didier Wallon vous invite à partager l'intimité d'une famille bourgeoise parisienne confrontée, comme tous les français, à cette incroyable guerre qui se dessine et dont le déroulement n'avait été imaginé par personne. Incrédulité, inquiétudes et angoisses se succèdent, heureusement ponctuées de jours heureux. Les échanges épistolaires nombreux révèlent comment, à "l'arrière" , les pères, femmes, frères et soeurs doivent se substituer au "poilu" engagé dans un conflit que l'on pensait bref. La lecture de ces Lettres nous révèle l'importance de la correspondance dans le quotidien de chacun, au front comme à l'arrière où les femmes vont prendre en main la gestion familiale et parfois professionnelle. Ces lignes sont émouvantes et captivantes. L'affection et l'amour apprennent à vivre avec l'éloignement et l'attente de la prochaine permission. Chacun veille à rester fort car "on les aura ! " Mais quand ? A quel prix ?

02/2014

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Critique littéraire

1915 Chronique familiale de Paul Wallon - Correspondances **

Avec son précédent ouvrage sur 1914, l'auteur a invité le lecteur à vivre le désarroi de la famille de Paul Wallon, emportée dans la tourmente de ce conflit qu'on pensait, sans cesse, repoussé. La riche correspondance échangée témoigne de l'inquiétude et de l'angoisse qui s'installent dans les esprits. Cet ouvrage, qui couvre le second semestre de l'année 1915, permet de poursuivre l'accompagnement de la nombreuse famille de Paul Wallon dont un grand nombre des siens est sur le front, prisonnier ou dont on est sans nouvelles. Une soeur a perdu un gendre ; une autre, un fils ; un frère, un fils et Paul Wallon, père, ne va pas être épargné... En 1915, la guerre semble s'enliser et la presse est bien muette sur le déroulement effectif des opérations. Seules les lettres et les conversations, lors des permissions si attendues, peuvent renseigner l'Arrière. La famille de Paul Wallon n'échappe pas à la crainte de la mauvaise nouvelle. Dès le début du conflit, Henri Wallon, fils de Paul Wallon, père, avait averti : "Nous partons 7 mais nous ne reviendrons pas tous ; une famille comme la nôtre sera forcément touchée" . Cette terrible phrase prémonitoire va s'avérer cruellement exacte. Cette année 1915, si riche en évènements et en correspondances, a nécessité l'édition de deux tomes dont celui-ci est le second.

07/2014

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Littérature française

1917 - Chronique familiale de Paul Wallon - Correspondances

Après ses ouvrages sur 1914, 1915 et 1916, l'auteur vous invite à continuer d'accompagner, par leurs correspondances, les membres de la famille de Paul Wallon, père, au cours de cette année 1917 qui va apparaître comme une année très contrastée. Au niveau familial arrivent des bonnes nouvelles mais on reste très angoissé pour ceux qui sont au front. Au niveau national, il faut être pétri de certitudes en la victoire, comme l'est Paul Wallon, père, pour ne pas être, pour le moins, dubitatif face au déroulement de cette guerre qui n'en finit pas. La stratégie de "rupture" du général Nivelle s'avèrera un échec dont les poilus auront à payer un très lourd tribu. Limogé, le général Nivelle sera remplacé par le général Pétain qui reprendra en main cette armée secouée par des actes de mutineries causés principalement par les pertes humaines pour des gains territoriaux faibles. L'Allemagne n'arrive pas à ses fins et la guerre change encore d'aspect avec l'usage de l'aviation pour bombarder et non plus seulement pour observer et photographier et l'utilisation massive de "tanks" . Enfin, l'Amérique entre en guerre, le 4 avril 1917. Avec elle, au-delà du regain d'optimisme occasionné, arrive un formidable apport humain et matériel. Néanmoins, les correspondances de 1917 nous révèleront une certaine lassitude générale même si personne ne doute de la victoire finale. Simplement, on se rend compte que cela prendra encore du temps, d'autant que certains, comme Paul Wallon, père, veulent l'écrasement total de l'Allemagne.

12/2014

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