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Claude Forest

Dossiers

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Dossier

Des essais pour comprendre un monde labyrinthique

Le genre de l'essai est une mosaïque, où chaque partie est un fragment de pensée, de réflexion, d'argumentation. Comme une forêt ancienne, il est dense et diversifié : philosophie, sociologie, histoire, économie, politique, science... Un voyage, une exploration sans fin de la connaissance et de la compréhension.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Boris Vian

Né le 10 mars 1920, Boris Vian fut un artiste touche-à-tout, dont la variété des modes d'expression n'est égalée que par le nombre de ses pseudonymes : Vernon Sullivan, Bison Ravi, Odile Legrillon, Gilles Safran, Boriso Viana ou encore Claude Varnier. Outre ses romans, comme J'irai cracher sur vos tombes ou L'Écume des jours, a signé des poèmes, des essais, des scénarios de films et a même enregistré des chansons.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Joyce Carol Oates

Née le 16 juin 1938 aux États-Unis, dans l'État de New York, Joyce Carol Oates a publié plus de 70 ouvrages en quelque 50 ans de carrière : ses romans croisent plusieurs univers et influence, et s'inspirent parfois de faits réels comme Blonde, publié en 2000, qui s'appuie sur la vie de Marilyn Monroe.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Valérie Perrin

Valérie Perrin est née en 1967 à Remiremont dans les Vosges. Elle grandit en Bourgogne et s’installe à Paris en 1986, puis en Normandie en 1995. En 2015, elle publie son premier roman Les oubliés du dimanche chez Albin Michel. Traduit dans une dizaine de pays, il obtient 13 prix littéraires dont le Choix des Libraires 2018 et se classe depuis parmi les meilleures ventes au livre de poche.

Extraits

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Littérature française

Claude

" Si les lois de la nature s'appliquaient aux hommes, je n'aurais probablement pas survécu. Je ne tiens aucun rôle dans la société et pourtant c'est elle qui m'a fait. Le résultat n'est pas terrible, j'en conviens, pourtant, j'arrive à être joyeux car je suis insouciant et je n'aime pas les grincheux. De la vie, je n'ai retenu aucune leçon. J'ai fait fuir toute notion de progrès. Je dis je, mais je ne sais finalement pas de qui je parle, en vérité, je ne m'intéresse pas à moi-même. J'ai déçu les femmes, ça oui, mais ce n'est qu'un détail. J'ai déçu mon père et ma mère, qui pourtant m'aimaient beaucoup. J'ai déçu la société qui assez vite ne me prêta plus rien. Ceux qui ont attendu des choses de moi et me firent confiance, comme on fait confiance à un ami, me haïssent maintenant. Ils ont compris qu'ils en ont été pour leurs frais. N'exigez plus rien de moi, qui que vous soyez, car sachez-le, je possède encore assez de liberté pour vous décevoir aussi. "

08/2000

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Littérature française

Claude

Claude, le onzième livre de Nathalie Rheims, est une évocation de Claude Berri, mort le 12 janvier 2009, après quarante-trois ans d'une carrière d'acteur, scénariste, metteur en scène et producteur qui aura marqué à jamais l'histoire du cinéma français. Nathalie n'avait qu'une manière d'affronter ce deuil : écrire, réveiller ses souvenirs, restituer la vérité de cet homme hors du commun, le retrouver, par-delà l'absence, tel qu'il fut.

11/2009

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Cinéma

Festivals de cinéma en Afriques francophones

Les festivals de cinéma constituent un phénomène en forte croissance, tant dans le monde entier que sur le continent africain, ici spécifiquement dans les pays francophones. En s'appuyant sur de nombreux cas concrets, la variété des situations et contraintes transparaît nettement. Puisqu'il n'existe pas de norme internationale pour les encadrer ou les protéger, n'importe qui peut utiliser cette appellation de festival comme il l'entend. Et pourtant certains pays, comme l'Algérie, en réservent strictement l'intitulé à ceux initiés par l'Etat, tandis qu'au contraire, son voisin immédiat, le Maroc, les facilite et en soutient financièrement l'implantation à travers tout le pays, des plus grandes villes aux villages reculés. A contrario, dans la quasi-totalité de l'Afrique sud saharienne francophone, des pays sans cinématographie constituée, sans industrie et qui souvent n'abritent plus de salle de cinéma, sans aucun soutien de leurs Etats, les festivals sont initiés par des cinéphiles ou des professionnels soucieux de, simplement, pouvoir montrer leurs oeuvres. Les enjeux sont nettement moins symboliques que dans les festivals prestigieux du nord et beaucoup plus pragmatiques : ils sont souvent vitaux pour les films et leurs auteurs pour lesquels il s'agit d'abord de se montrer et exister, avant de tenter d'émerger si ce n'est de vivre de leur métier. Mais dans ces pays qu'est-ce qu'un festival de cinéma ? Ne doit-on pas s'interroger sur ce qu'est aujourd'hui le cinéma dans une région du monde qui ne possède pas, ou plus, de salles de cinéma, pas plus que d'industrie de l'audiovisuel, ni de législation l'encadrant voire le définissant ?

02/2020

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Cinéma

Les salles de cinéma en Afrique sud saharienne francophone. (1926-1980)

L'apparition et le développement du cinéma en salles dans les colonies d'Afrique occidentale et équatoriale française sont essentiellement du fait de Français, notamment à la direction de l'entreprise qui a rapidement su dominer toute la filière cinéma, la Comacico. Son histoire se confond largement avec celle de son fondateur et dirigeant, Maurice Jacquin, qui bâtit cet empire cinématographique multinational, usant avec ingéniosité de l'organisation commerciale comme de l'optimisation fiscale pour son réseau de sociétés africaines de cinéma durant la colonisation, puis encore une douzaine d'années après les indépendances. Dominant l'importation et la diffusion des films avec un autre groupe d'entreprises, la Secma, la connaissance précise de ces deux circuits, ici révélée pour la première fois, s'avère indispensable pour comprendre leurs fonctionnements et ce qui s'est véritablement produit sur ces marchés, vastes comme treize fois la France. Sur ordre de Valéry Giscard d'Estaing, elles finiront par être rachetées en 1973 par un groupe conduit par l'UGC, avec le soutien politique et financier de l'Etat français, les trois centaines de salles étant ensuite rapidement revendues aux Africains. Sept ans plus tard, ce sera au tour de la distribution de la totalité des films, hélas prélude immédiat à un effondrement extrêmement rapide de l'ensemble de la filière cinéma sur la zone. Néanmoins la compréhension des évènements de cette décennie cruciale, ici décrits avec détail et précision, permet seule de savoir pourquoi la disparition des intérêts français, réclamée véhémentement par les réalisateurs africains, signera en réalité la mort des salles de cinéma dans tous leurs pays, et l'impossibilité d'amorcer une production pérenne de films. Leur fédération, la Fepaci, sera sur toute l'Afrique francophone sud-saharienne le procureur involontaire de cette condamnation à mort du cinéma prononcée à Alger en janvier 1975, le Consortium interafricain de distribution cinématographique (CIDC) en étant le fossoyeur huit ans plus tard, la quasi-totalité des dirigeants des Etats africains concernés tenant de fait la main armée du bourreau.

11/2019

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Essais

Andrée Davanture, la passion du montage

L'ouvrage retrace le parcours de cette grande monteuse du cinéma, qui commença classiquement dans le cinéma populaire en 1952 en travaillant avec les réalisateurs français de renom de l'époque (Henri Verneuil, Robert Hossein), devint cheffe monteuse à la télévision en 1965 où elle côtoiera les pionniers de l'ORTF, avant de se consacrer à partir de 1974 essentiellement aux cinéastes africains francophones. Elle les aidera individuellement dans le respect de leur imaginaire, et collectivement en visant la constitution d'un patrimoine. En animant ATRIA, structure collective atypique de soutien au montage et à la production cinématographiques, de 1980 à 1999, elle permettra la révélation de plusieurs dizaines de réalisateurs, notamment d'Afrique francophone. Elle continuera ensuite de monter des films jusqu'à sa disparition en 2014, inachevant le dernier film de Souleymane Cissé. Une cinquantaine de témoignages de monteurs, réalisateurs et professionnels contribuent à faire revivre cette monteuse à la générosité exceptionnelle.

07/2021

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Cinéma

Production et financement du cinéma en Afrique sud saharienne francophone (1960-2018)

Après un demi-siècle erratique, la production des films et oeuvres audiovisuelles connaît dans les anciennes colonies françaises d'Afrique sud saharienne une effervescence qui la portera très haut. Eloignées des process conventionnels et ne disposant pas de moyens, notamment financiers, des industries du nord, il convenait de mieux connaître les contraintes et conditions d'exercice du métier de producteur en cette région. Une analyse critique des principaux dispositifs de coopération et coproduction, français et européens, montre l'influence positive mais également l'impact structurellement destructeur qu'ils ont pu avoir jusqu'à présent. Après avoir questionné les critères et définition de cette production cinématographique, l'ouvrage recense l'ensemble des longs métrages produits depuis les indépendances, et en livre certaines caractéristiques économiques. Il donne également la parole à vingt-deux producteurs africains de tous les pays concernés, réputés ou encore inconnus. Souvent livrés pour la première fois, les points de vue de ces artistes-entrepreneurs permettent de cerner comment les moyens sont mobilisés pour qu'advienne une oeuvre, aujourd'hui essentiellement destinée à l'audiovisuel mais peut-être aussi, bientôt, cinématographique. Il constitue le premier volume d'une histoire économique du cinéma en Afrique sud saharienne, d'autres portant sur les salles de cinéma ou le rôle de l'Etat.

12/2018

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