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Chris Kraus

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Littérature française

Klaus Klaus

Klaus vit seul. A l'angle d'une rue. En face d'un panneau publicitaire. Sort rarement de chez lui. Pour aller nager, acheter des cigarettes ou faire des courses. S'assoit sur une pile de livres. Achètera un fauteuil le jour où il aura une bibliothèque. Demain, il louera une voiture. Pour faire la route jusqu'au village et régler la succession. Il emmènera l'animal qu'il n'a pas encore adopté. Pour supporter le voyage. Et pensera à la fille aux millions de cheveux. Marie Maher vit à Paris. Après Pour la beauté du geste, paru en 2020 chez Alma Editeur, Klaus Klaus est son deuxième roman.

02/2022

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Poches Littérature internation

La fabrique des salauds

Dans un hôpital bavarois, Koja Solm, vieil homme avec une balle nichée dans la tête, décide de raconter sa vie à son voisin de chambre, un jeune hippie pacifiste. Son enfance à Riga, dans les années 1920, sa carrière dans l'Allemagne nazie, puis comme espion dans la jeune République fédérale. Sa relation destructrice avec son frère aîné, Hubert. Leur amour commun, dévastateur, pour leur soeur adoptive, Ev, d'origine juive. Un ménage à trois électrique nourri de sang, de passion et de larmes, une histoire qui va épouser tout un pan du XXe siècle, de Riga à Tel Aviv en passant par Auschwitz et Paris.

08/2020

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Littérature étrangère

Dans la fureur du monde

Cherchant à fuir une relation SM qui a mal tourné, Catt décide de faire une pause dans sa vie californienne d'intellectuelle précaire pour renouer avec "la vraie vie" et rénover plusieurs appartements achetés une bouchée de pain à Albuquerque. C'est là qu'elle rencontre Paul, un ex-taulard, ancien toxicomane, de dix ans plus jeune qu'elle. Catt l'engage pour diriger les travaux et tente de le sortir de l'engrenage de la récidive. L'amour est-il possible entre deux êtres de milieux différents, sur les décombres d'une société aussi violente et inégalitaire ?

08/2019

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Littérature Allemande

Femmes d'été, femmes d'hiver

Après le choc de La Fabrique des salauds, Chris Kraus nous revient avec un roman plein d'une fantaisie grinçante. De nos jours, en Allemagne, et à New York, dans les années 1990. Un homme vient de mourir. En triant les papiers, sa fille retrouve son journal et se plonge dans l'histoire de ce père aussi fantasque que fragile. Jonas n'a pas encore trente ans quand il débarque à New York, laissant à Berlin Mah, sa petite amie mythomane et follement jalouse, pour vivre son rêve de cinéma. Au gré de rencontres déjantées, Jonas découvre, fasciné, un milieu où flottent encore les fantômes de Kerouac et Ginsberg. Reste à trouver un sujet pour son film d'études. Film érotico-porno-expérimental ? Documentaire sur l'oreille, cet organe si peu filmé ? Jonas semble volontairement passer à côté du sujet qui s'imposerait pourtant : celui sur l'histoire de sa famille. A New York, en effet, vit sa " tante " Paula, qui fut un temps très proche de son grand-père, à Riga, pendant la Seconde guerre mondiale. Et si Jonas ne veut rien entendre, Paula, elle, a beaucoup à dire sur cet homme complexe, nazi sanguinaire qui l'a pourtant sauvée, elle, Juive. Et tandis que Jonas affirme à qui veut l'entendre qu'il ne tournera jamais de " film à la con sur les nazis ", Nele va entrer dans sa vie... PRESSE : " Sous forme de journal intime dont chaque jour se dévore comme une petite nouvelle, un roman pittoresque mais sans nostalgie ridicule, hommage plein de sel et de tendresse à tous les rescapés. " Elle " ... et voilà un deuxième miracle, d'autant plus joyeux qu'il est inattendu : Femmes d'été, femmes d'hiver possède non seulement la même puissance que le précédent, mais de plus il ne lui ressemble en rien, signe d'une irrépressible vitalité... Une légèreté flottante traverse tout le livre, qui rend sa lecture constamment réjouissante et prenante. " Le Monde " L'auteur de La Fabrique des salauds réussit l'exploit d'un texte qui semble s'écrire sur un coin de table en même temps que très littéraire, tragique et drôle, raffiné, trash, cynique, romantique et d'une féroce excentricité, entre Woody Allen, Boris Vian, le roman culte La Conjuration des imbéciles et le film After Hours. " Madame Figaro " Chris Kraus signe un roman en apparence plus léger, mais tout aussi percutant. Un livre "montagnes russes", où le lecteur passe du fou rire à l'effroi. La fantaisie des personnages et le comique des situations, n'occulte pas la gravité du propos sur le devoir de mémoire, même quand on est blessé dans sa chair. Une ode débridée à New York, de l'Underground des "sixties" (Ginsberg, Warhol...) au renouveau électrique des "nineties"". Les Echos " Un texte ébouriffant (formidablement traduit)... Sous la forme d'un journal intime, en partie autobiographique, Chris Kraus réussit un récit renversant d'originalité, d'audace, de finesse. Ecrasé par le spectre de la Shoah, dont ses aïeux ont été partie prenante, envieux de la folie des beatniks, tiraillé entre deux femmes, son Jonas émeut et amuse à la fois. " L'Express " Le roman d'une immense drôlerie et d'une infinie tristesse... Un des livres les plus fous et les plus beaux. " Les Echos week-end " Comme une conversation entre Paul Auster et Jonathan Littell. " Le Vif/L'Express

02/2022

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Littérature Allemande

Danser sur des débris

De l'avis de tous, et surtout de ses proches, Jesko est un excentrique. Parti très tôt de son village natal pour mener la vie dont il rêvait à Berlin, ce jeune styliste au look volontiers baroque rejette les normes sociales tout autant que les contraintes. Après tout, pourquoi s'obstiner à vouloir entrer dans le moule quand on se sait condamné par une leucémie ? Mais un élément perturbateur va venir freiner sa belle fuite en avant. Contre toute attente, sa mère se porte volontaire pour lui faire un don de moelle osseuse. Vivre et lui être redevable éternellement ? Ou accepter sa mort prochaine en réglant ses comptes avec les siens ? Tel sera le choix de Jesko...

04/2023

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Littérature étrangère

Baiser ou faire des films

Après le choc de La Fabrique des salauds, Chris Kraus nous revient avec un roman plein d'une fantaisie grinçante. Ecrit sous la forme d'un journal posthume, un texte puissant et drôle, qui continue d'explorer ces familles hantées par les fantômes nazis, sur fond d'hommage à la Beat Generation. Jonas n'a pas trente ans quand il débarque à New York pour vivre son rêve de cinéma. Au gré de rencontres déjantées, le jeune Allemand découvre, fasciné, un milieu où flottent encore les ombres de Kerouac et de Ginsberg. Reste à trouver un sujet pour son film d'études. Fiction porno-expérimentale ? Documentaire sur le pouvoir érotique des lobes d'oreilles ? Jonas semble passer volontairement à côté du sujet qui s'imposerait pourtant : l'histoire de sa famille. A New York, en effet, vit sa "tante" Paula, qui fut un temps très proche de son grand-père, pendant la Seconde Guerre mondiale, à Riga. Même si Jonas ne veut rien entendre, Paula a beaucoup à dire sur cet homme complexe, ce nazi sanguinaire qui l'a pourtant sauvée, elle, la Juive. Et tandis que Jonas répète à l'envi " Je ne tournerai pas de film à la con sur les nazis ! ", la belle Nele va entrer dans sa vie...

01/2021

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