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Blasons anatomiques du corps féminin

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Dossier

Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Rentrée littéraire 2023 : découvertes et coups de cœurs

Préparez-vous à une nouvelle vague de nouveautés qui s'abattra sur le monde de la littérature dès la fin de l'été. Comme chaque année, on vous propose un guide complet des sorties à venir, avec une sélection de romans qui sauront vous surprendre. Accrochez vos ceintures, la rentrée littéraire 2023 est en approche !

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Dossier

L'attractivité des librairies, malgré Amazon ou Netflix

Blâmons internet, blâmons les GAFA, blâmons le commerce du livre d’occasion… il n’empêche que les librairies demeurent, et parviennent à tirer leur épingle du jeu. Si les Français sont accusés de moins lire, comment les libraires parviennent-ils à capter l’attention du public, et inciter à franchir le pas de leur établissement ?

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Dossier

Les Prix de poésie Vénus Khoury-Ghata

Dans un contexte où les prix de poésie sont souvent remis à des hommes et où le paysage poétique français est largement masculin, laissant dans l’ombre des femmes poètes de talent, Vénus Khoury-Ghata (Prix Goncourt de la Poésie en 2011), avec l’aide de Pierre Brunel, a créé en 2014 un prix de poésie au féminin qui récompense la poésie française et, depuis cette année, la poésie étrangère traduite en français.

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Dossier

Salon du livre de Paris 2018 : Young Adult, polar et auteurs

La dernière édition du salon Livre Paris, qui se tient porte de Versailles, a fermé ses portes le 19 mars. Une édition qui avait débuté sur une vive polémique autour de la rémunération des auteurs, et qui se conclut sur le froid glacial qui a régné durant la manifestation.

ActuaLitté le soulignait : de #PayeTonAuteur, on passe à #PayeTonChauffage. Mais heureusement, quelques beaux moments étaient au rendez-vous. De celles qui parviennent même à vous réchauffer le coeur, quand le corps est transi. #Gniarfffff

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

Extraits

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Poésie

Blasons anatomiques du corps féminin

Il a suffi d'un seul poème de Clément Marot, composé en 1535 "sur le tétin d'une humble demoiselle", pour faire du blason anatomique un phénomène de mode sans précédent. Dans les années qui suivent, de nombreux poètes, souvent proches de la cour de François Ier, se prêtent à cette dissection mentale et détaillent le corps féminin pour faire l'éloge de chacune de ses parties - des cheveux au pied, de la gorge à la cuisse et jusqu'au sexe. D'abord collectés par Marot, ces poèmes ont connu leur plus fameuse édition en 1543, dans un volume illustré réunissant pour la première fois les blasons et leurs pendants satiriques, les contreblasons. Ce recueil fut l'une des premières entreprises collectives dans la poésie française. Il figure intégralement dans cet ouvrage, rarement ou jamais réédités depuis leur parution.

10/2016

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Poésie

Blasons anatomiques du corps féminin. Suivis de Contreblasons de la beauté des membres du corps humain

Au XVIe siècle, les poètes et les peintres redécouvrent le corps de la femme. Les premiers célèbrent à l'envi ses différentes parties à l'aide de petites pièces dénommées blasons et parfois un peu lestes (l'oeil, l'oreille, le genou, mais aussi la gorge, la cuisse, le cul, le c. .), cependant que les seconds peignent les grands nus de l'école dite de Fontainebleau. Ces Blasons anatomiques du corps féminin, auxquels font suite les Contreblasons rarement publiés, parce que jugés longtemps grossiers ou obscènes, sont présentés par Pascal Lainé et commentés par Pascal Quignard.

10/1982

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Critique littéraire

Anatomie d'une anatomie. Nouvelles recherches sur les blasons anatomiques du corps féminin

Avec son célèbre blason du "Beau tétin", composé en exil, à Ferrare, en 1535, Clément Marot a lancé un véritable phénomène de mode, celui des blasons anatomiques du corps féminin, dont le succès ne s'est jamais démenti dans l'histoire de la poésie française. Considérés dans ce volume comme un objet d'étude à part entière, les recueils de Blasons anatomiques sont non seulement ramenés à leur origine historique sous le règne de François I er , interrogés dans leurs intentions esthétiques et morales, mais aussi envisagés comme une véritable pierre de touche permettant de mieux apprécier d'autres pratiques qui, elles aussi, touchent au corps et à ses représentations à la Renaissance. On entend ainsi esquisser une histoire du blasonnement anatomique depuis l'Antiquité jusqu'au XVII e siècle, à partir du travail des écrivains, poètes et prosateurs, mais aussi des graveurs, des musiciens et des peintres, et cela sous le regard complice ou suspicieux des médecins, des philosophes et des théologiens.

11/2018

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Philosophie

Fééries anatomiques. Généalogie du corps faustien

Depuis que les exploits de la biologie génétique ont offert à l'homme moderne les moyens d'infléchir son destin - manipulations, diagnostic prénatal, clonage, etc. -, deux attitudes, d'ordinaire, se font face : d'un côté, des " comités d'éthique ", traditionnellement frileux, voire conservateurs, qui tentent de " moraliser " les sciences du vivant ; de l'autre, des docteurs Folamour tout disposés à s'aventurer, à travers le corps humain, vers des expérimentations déraisonnables. C'est pour dénoncer la vanité de cet affrontement, et pour en questionner le socle métaphysique, que Michel Onfray a choisi, avec ce livre, de jeter les bases d'une véritable " bioéthique libertaire " qui ne manquera pas de séduire - ou de provoquer. De la transgénèse au " sperme numérique ", de l'éloge subtil du clonage à une défense paradoxale de l'euthanasie ou à une attaque en règle des soins palliatifs, d'une réactivation des thèses antiques sur le suicide à une célébration de la chirurgie de la greffe, ce livre définit ainsi un " corps faustien " : déchristianisé, donc post-chrétien, ouvragé par l'artifice, libre et structuré par une énergie vitaliste. Avec ces Féeries anatomiques, Michel Onfray, philosophe résolument " technophile ", soutient que la technoscience n'est pas une catastrophe en soi. Il y développe sa critique radicale des visions idéalistes de la chair. Et son parti pris, iconoclaste mais argumenté, en faveur d'une éthique passionnément hédoniste lance un débat promis au tumulte.

11/2004

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Littérature française

Blason d'un corps

" "Tout homme de quarante ans, toute femme de trente, s'ils ont aimé ou vécu, voyez leur corps balafré de cicatrices : les plus douloureuses, les invisibles, se cachent à l'intérieur. Au lieu de tuer son partenaire, l'amant, par maladresse, la femme, par cruauté, presque toujours se bornent à le blesser. Je m'exerce à deviner quel endroit de mon corps si vulnérable fatalement par vous souffrira : quand, comment, pourquoi frapperez-vous ? je l'ignore ; mais je sais que vous frapperez. Ainsi soit-il ! A-t-il vécu, celui qui meurt indemne ?" Ainsi pense Jean, le héros du récit, au début de sa longue passion pour Mayotte. Il sera exaucé : onze ans plus tard elle frappera en effet, mais pour se revancher d'un coup qu'il lui porta parce qu'elle lui faisait par trop de bien. Echec ? ou réussite ? Pour plaire, je devrais suggérer que j'ai voulu écrire, comme tout le monde, un roman de l'échec. Je mentirais : il s'agit bien d'une réussite. Tout au plus, de l'échec d'une réussite. J'ai assez bien connu les héros de cette passion pour affirmer qu'elle rendit heureux, à un point qu'ils qualifiaient d'inadmissible, ce couple qui ne parlait de soi qu'en s'appelant "nous un". Journaliste aussi engagé dans l'histoire que dans la chair, Jean ne put éviter ni la bombe d'Hiroshima, ni le calvaire des personnes déplacées, ni les horreurs du fachisme chinois, ni la crise du Maghreb, ni toutes les plaies de l'Egypte. Pourtant, ce qui lui importait plus que tout, c'était ce qui dépendait de lui, de sa volonté d'être heureux contre toutes les raisons qui le destinaient au malheur. Heureux, oui , avec la plus méprisable des créatures, ou du moins la plus méprisée : une métisse de Caraïbe, de nègre et d'Indien, une de celles qu'on appelle aux Antilles une "échappée-couli". Quoique le héros "se défie du romanesque", il avoue un jour à son amie : "Si j'étais autre chose qu'un pauvre diable de petit grand reporter, comme j'aimerais illustrer mon pays par un vrai roman d'amour !" Au lecteur de décider si mon ami a réussi l'échec de sa réussite." Etiemble.

03/1961

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Littérature française

Usage communal du corps féminin

Marie Marron avait toujours été un peu gourde. Par toujours il faut entendre non pas depuis sa naissance, mais depuis ses premiers pas qu'elle avait faits vers l'âge de vingt mois car cette demoiselle, en plus d'être gourde, était aussi remarquablement lente. Et quand Marie ne disait rien, on était à deux doigts de la croire morte. Gustave Machin était un petit être plein de hargne qu'on aurait pu croire tout droit sorti d'une forêt maléfique. Mais il avait quelques qualités qui lui rendaient de grands services : il était très rapide et il savait parler aux grandes filles un peu gourdes.

01/2014

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