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Besançon Bibliothèques Construction

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Dossier

La Bibliothèque nationale de France (BnF)

La Bibliothèque nationale de France, abrégée en BnF, est un établissement patrimonial français des plus importants : c'est par exemple cette institution qui assume le dépôt légal des livres, et qui conserve un exemplaire de tous les ouvrages publiés en France. À l'origine bibliothèque du roi au moment de sa création, au XIVe siècle, elle est naturellement devenue la bibliothèque de l'ensemble du peuple français.

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Dossier

Congrès 2022 de l'ABF : indispensables, les bibliothèques ?

L'Association des Bibliothécaires de France invite les professionnels à se retrouver et à débattre à l'occasion de son congrès annuel, organisé en 2022 à Metz. Avec une question provocante pour aiguiller la réflexion : quand les librairies sont devenues essentielles, les bibliothèques sont-elles indispensables ?

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Dossier

Une loi pour entériner les missions des bibliothèques

Déposée auprès de la présidence du Sénat en février dernier, la proposition de loi de la sénatrice d'Ille-et-Vilaine Sylvie Robert relative aux bibliothèques et à la lecture publique a pour ambition d'inscrire les missions des bibliothèques dans la loi.

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Dossier

Congrès 2018 de l'ABF : À quoi servent les bibliothèques ?

Le 64e congrès de l'ABF se déroulera à La Rochelle à l'espace Encan, du 7 au 9 juin 2018, sur le thème : À quoi servent les bibliothèques ? 

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Dossier

Kobo : toute une bibliothèque qui tient dans la main

Fondée en 2009 à Toronto, Kobo s'est rapidement imposée comme une figure emblématique dans le monde des liseuses. Bien que le marché des e-readers soit dominé par quelques géants, Kobo a su trouver sa place grâce à une combinaison gagnante d'innovation, de qualité et d'ouverture.

Extraits

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Non classé

Tarot Besançon

Format 6. 5 x 12 cm

09/1999

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Sciences historiques

Besançon, un vignoble millénaire

La cité de Besançon, qui a compté plus de 1 000 vignerons et 1 650 hectares de vigne, était-elle destinée à devenir "une ville de vignerons" comme on la qualifiait autrefois ? Certes, la morphologie propose à la vigne de belles possibilités avec des pentes bien orientées au sud. Le Doubs fournit également des facilités de transport. Ce ne sont là que des potentialités qui, à Besançon, ont été mises en valeur pendant un millénaire par des moines, des archevêques, des nobles, des bourgeois et surtout des vignerons qui se sont acharnés à planter, à labourer, à tailler, à vendanger sur ces pentes... Mais, quand le monde clos du vignoble bisontin s'ouvre, malgré lui, sur le monde débridé de la concurrence, tout commence à basculer...

05/2019

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Religion

Besançon et Saint-Claude

Un territoire de quelque 1600 kilomètres-carrés, abstraction faite de la ville et des vingt-six « grandes paroisses » qui constituaient la « Terre de Saint-Claude », tel se présentait autrefois l'immense diocèse de Besançon. En étendue à quoi le comparer parmi ceux qui divisaient le royaume de France ? Au vrai, il en allait différemment du point de vue paroissial, tant la densité de ce pays comtois restait faible. Par la suite, les correctifs qu'ont provoqués les rectifications de frontières du côté suisse, la création des trois départements : Doubs, Haute-Saône et Jura avec pour ces derniers des limites réajustées, enfin le transfert du Territoire de Belfort dans la pastorale de l'archevêché depuis le traité de Francfort en ont modifié l'image traditionnelle. La transformation essentielle ce fut sans nul doute le démembrement de l'ancienne circonscription ecclésiastique et la création, définitive en 1823, d'un nouveau diocèse couvrant l'actuel département du Jura. Cette particularité n'a pas manqué de susciter des problèmes à chacun de ceux qui voulaient se conformer à l'esprit d'une collection où l'on entend mettre l'accent sur l'histoire contemporaine. C'est pourquoi, les rédacteurs se sont efforcé d'unir dans un même récit les faits ayant précédé le XIXe siècle, de séparer ensuite les événements propres aux deux diocèses. D'où la présentation inhabituelle de ce volume. D'autres difficultés ont surgi en cours de route : les abandons auxquels il a fallu remédier sans que les successeurs puissent bénéficier toujours des travaux commencés. Délicat, très délicat certes aura donc été le rassemblement d'une documentation homogène. Par ses recherches critiques poursuivies pendant de longues années, le R.P. de Vregille s'était déjà préoccupé des origines chrétiennes de ce pays jurassien qui est le sien ; ses études personnelles l'ayant mené jusqu'en plein XIIe siècle, tout le désignait comme le présentateur des temps anciens, qu'au surplus un jeune érudit, M. Gérard Moyse, venait de renouveler dans une thèse d'Ecole des Chartes. J'ai pu, pour ma part, recevoir les conseils de M. Roland Fiétier et de M. René Locatelli : le premier, auteur, entre autres choses, d'une thèse monumentale sur la société bisontine allant du début du XIIIe siècle jusqu'au milieu du XIVe, où se trouve consacrée au clergé près de la moitié de son exposé ; le second - et c'est tout dire - est le médiéviste spécialisé dans les questions religieuses. Ajouterais-je aussi des travaux d'étudiants qui ont largement déblayé des fonds mal connus de nos vieux érudits ? Moins favorisé, M. Jean Courtieu, si tôt quitté le XVIe siècle, pour lequel il ne pouvait que s'appuyer sur l'œuvre monumentale de Lucien Febvre, a dû se livrer à des investigations dans le dépôt qu'il dirige. M. le chanoine Etienne Ledeur, ancien supérieur du Grand Séminaire de Besançon, servi par ses enquêtes, les souvenirs qu'il a pu ramasser, aidé aussi par une thèse d'Etat qui a fait époque, celle de M. l'abbé Huot-Pleuroux, enfin par sa connaissance d'un jeune clergé qu'il avait lui-même formé, n'a pas failli à une tâche que des circonstances douloureuses ont malheureusement assombrie. Mais l'obstacle le plus dur à franchir aura été celui qu'avec persévérance, bénéficiant fort heureusement de concours bénévoles, M. l'abbé Pierre Lacroix aura affronté pour le diocèse de Saint-Claude ; par suite d'une bibliographie indigente, il aura fallu procéder à des dépouillements dans les archives publiques, diocésaines et privées. Si quelques-uns se plaignent de la place qui lui a été allouée par rapport à celle acceptée par son confrère, malgré la disparité des deux diocèses, qu'ils se souviennent de ce mot (que je cite de mémoire) d'un théologien fameux: « Je n'ai pas eu le temps de faire court »… Grâce à ce collaborateur diligent, un point de départ aura été donné dans des recherches historiques un peu trop négligées au sud de notre Franche-Comté. Au terme de cet avant-propos, qu'il me soit permis d'insister sur deux originalités de nos deux diocèses. Dès le haut Moyen-âge, la terre jurassienne fut un foyer exceptionnel de monachisme. Cet élan ne s'est, pour ainsi dire, jamais ralenti, tant du moins que les âmes éprises de solitudes claustrales se tournèrent vers l'une des branches de la grande famille bénédictine. Que de monastères, que de prieurés, que de maisons se sont développés au milieu de nos déserts, sur nos montagnes, dans nos étroites vallées, au centre de nos plateaux et de nos clairières, toutes isolées par de vastes étendues forestières, que l'on gravisse les pentes du Jura ou que l'on gagne les rives de la Saône et les eaux stagnantes du pays bressan ! N'est-ce pas ici que s'affirma saint Colomban, que le Bernon d'avant Cluny a groupé ses premiers disciples ? Les ordres réguliers postérieurs, s'étant tourné vers l'apostolat des villes, n'ont pas connu, sauf exception, le même essor magnifique. Peut-être bien la nature physique du pays et la rareté de ses cités le prédisposaient-elles moins aux besoins du temps qui commence avec le XIIIe siècle. Phénomène inverse en quelque sorte, sur lequel nous aimerions attirer l'attention. Dans une région touchée comme ailleurs par la vague de déchristianisation ou, si l'on préfère, d'indifférentisme, les paroisses rurales changent de visage : elles éprouvent le besoin de se regrouper, tandis que dans les villes cl autres paroisses apparaissent, plus nécessaires que jamais. Le mouvement s'accélère depuis la fin de la dernière guerre. A ne considérer que les chiffres bruts, peu de changements dans l'ensemble de la population : 907 000 habitants en 1954 pour les trois départements du Doubs, de Haute-Saône et du Jura; au recensement de 1975, 732 000. Mais la répartition n'est plus la même. Comment comparer les 78 000 âmes de Besançon avec les 129 000 - encore accrues par des banlieues-dortoirs qui ne cessent de grandir ? Et que dire de la « nébuleuse montbéliardaise », à cheval sur trois départements et devenue la plus grosse agglomération de l'archidiocèse: 183 000 au lieu de 113 000 ? Les villes plus petites : Vesoul, Dole, Lons-le-Saunier et, dans leurs montagnes, Saint-Claude et Pontarlier subissent au ralenti une évolution analogue. Que d'interrogations posées par un pareil devenir dans le domaine religieux qui est le nôtre !

01/1977

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Littérature française

O Besançon. Une jeunesse 70

« Et ils sont ainsi devenus tout naturellement mes parents adoptifs. A vrai dire j'étais heureux que des personnes de leur âge remplacent les miens propres que je n'allais plus revoir pendant dix-sept ans. Oui, dix-sept ! Figure-toi que j'ai été banni de mon pays à vingt-deux ans, et pour dix-sept longues, trop longues années ; sans jamais pouvoir revoir mon vieux père, mes frères et mes soeurs, mes neveux et mes nièces laissés en bas âge. Ni mes amis. Ni le coquelicot printanier qui agrémentait nos plaines à perte de vue. Ni la lumière splendide du généreux soleil de mon pays. Ni plus aucun chemin que mes petits pieds d'enfant avaient foulé il y a si longtemps... » Le narrateur, jeune étudiant marocain, débarque à Besançon au début des années 70. Il est aussitôt pris dans le tourbillon d'une jeunesse assoiffée de liberté et en particulier de liberté sexuelle. La « vieille ville espagnole » ne sortira des chamboulements de Mai 68 que pour plonger dans le fameux conflit de Lip. A partir de simples anecdotes de la vie sociale de l'époque, l'auteur nous donne à comprendre le secret d'une « intégration » réussie. Au delà de sa passion pour sa ville d'adoption, il nous dévoile « sa » France généreuse et solidaire...

07/2009

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Mathématiques (notions fondame

Publications mathématiques de Besançon 2020

Gaétan Chenevier et Frédéric Paulin. Sur les minima des formes hamiltoniennes binaires définies positives. Karim Belabas, Dominique Bernardi et Bernadette Perrin-Riou. Polygones fondamentaux d'une courbe modulaire. Amandine Pierrot. Calcul du Frobenius divisé modulo p sur la cohomologie cristalline de certains revêtements de la droite projective.

09/2021

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Franche-Comté

Besançon. Le carnet de dessins

Ce Carnet de dessins de Besançon est le fruit, comme souvent, d'une rencontre inattendue entre une main d'ar­tiste et celle d'un auteur qui voulait y tenir la plume. C'est ainsi que Noël Fressencourt, magnifique dessina­teur, fait la connaissance, voici quelques années, de Lionel Estavoyer dont on sait l'attachement pour cette ville qu'il n'aura cessé de raconter. Point de déambulation commune entre ces deux-là, mais des conversations nourries pour mieux savoir ce qui serait à retenir ; choix toujours compliqués qui vous obligent souvent à conserver ce répertoire obligé des vues iconiques d'une ville sans pour autant y négliger l'inattendu, l'in­soupçonné qui font la curiosité, l'étonnement, la surprise que dissimulent ces lieux pourtant familiers au regard du passant. Dans le répertoire iconographique bisontin, l'art de Noël Fressencourt apporte ainsi, comme chacun pourra le découvrir, cette vision tout à la fois précise et audacieuse où les images démultipliées des lignes complexifient la beauté des lieux, des monuments et des décors avec une qualité du trait que souligne dans sa préface, avec enthou­siasme, Christian de Portzamparc, l'un des plus grands architectes du monde et premier Français à recevoir le Prix Pritzker, véritable Nobel de l'architecture. Lionel Estavoyer, pour sa part, n'est pas en reste avec des textes passionnés où le sérieux de l'historien met en scène le patrimoine, son patrimoine, dans une plume extrê­mement soignée. Hôtels particuliers, églises, promenades, cimetières, détails infinis du décor urbain souvent oubliés et redé­couverts ici font de ce carnet de dessins un de ces livres majeurs des images de la ville, un des plus beaux jamais produits, et qui fera date, assurément.

08/2021

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