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Bernard Bruneteau

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Bernard Minier

Bernard Minier est un auteur de thrillers et de romans policiers français né en 1960 à Béziers (Hérault), dont les romans sont caractérisés par des intrigues sombres et complexes, une grande précision dans la description des environnements naturels et des personnages qui explorent les recoins les plus sombres de leur âme. 

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Dossier

Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Livres, actualités : tout sur Charles Bukowski

Né en 1920 en Allemagne, à Andernach, le jeune Heinrich Karl Bukowski n’a que 3 ans lorsque ses parents décident de partir pour les États-Unis. Celui qui sera plus tard connu sous le nom de Charles Bukowski parcourt bientôt les États-Unis et s’acoquine plus spécialement avec Los Angeles, cité qui influencera toute son œuvre. Son parcours chaotique n’a d’égal que la vénération intense dont ses écrits font l’objet...

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Dossier

Audiolivre : une sélection d'ouvrages pour les enfants

Petit Ours Brun, Vampirette, mais également Mortelle Adèle, Mes p’tits docs et bien d’autres : les personnages et collections phares des éditions Bayard et Milan existent désormais en audio. Avec la création du label À écouter, les maisons proposent désormais de faire redécouvrir aux enfants leurs livres et héros préférés en fermant les yeux et se laissant bercer… 

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

Extraits

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Sciences politiques

Génocides. Usages et mésusages d'un concept

Si l'intention de détruire un groupe humain spécifique dans sa totalité distingue le génocide d'un crime de masse, comment qualifier la famine organisée par Staline en Ukraine au début des années trente, ou plus près de nous, les meurtrières opérations de "nettoyage ethnique" au Kurdistan et durant la guerre en ex-Yougoslavie ? Si l'intention de détruire un groupe humain spécifique dans sa totalité distingue le génocide d'un crime de masse, comment qualifier la famine organisée par Staline en Ukraine au début des années trente, ou plus près de nous, les meurtrières opérations de "nettoyage ethnique" au Kurdistan et durant la guerre en ex-Yougoslavie ? Comment définir un génocide ? Et comment éviter l'instrumentalisation de cette notion, qui s'inscrit souvent dans le registre émotionnel au détriment de la jurisprudence définie par le droit international ? A l'ère des revendications mémorielles de toutes sortes qui investissent le débat public, Bernard Bruneteau s'interroge sur l'usage inflationniste du terme de génocide. Retraçant l'histoire du concept depuis sa création par Raphael Lemkin en 1944, il plaide pour une définition rigoureuse des pratiques génocidaires et met en garde contre les captations politiques qui menacent aujourd'hui de brouiller leur compréhension.

05/2019

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Histoire des idées politiques

Le bonheur totalitaire. La Russie stalinienne et l'Allemagne hitlérienne en miroir

Hitler et Staline sont morts. Mais nous n'en avons pas fini avec le totalitarisme. C'est avec une fausse douceur et au nom d'un bonheur lobotomisé que la société mondialisée et technologisée nous soumet à l'utopie liberticide du " meilleur des mondes ". Un cri d'alarme. Un guide d'éveil. Un traité de la résistance. Les totalitarismes, dont Hannah Arendt a dévoilé la logique de terreur, auraient-ils inventé une forme de bonheur ? L'audace de cet ouvrage est d'oser cette question. Qu'ils aient été combinés au mécanisme de l'illusion et nourris par une propagande promettant un avenir radieux ne suffit pas à expliquer la fascination, l'enthousiasme et l'obéissance qu'ont suscités les régimes hitlérien et stalinien. Quel est en effet le plus grand paradoxe que présentent la terreur nazie ou communiste ? Que prévaut en parallèle un modèle social de promotion scolaire ou professionnelle. Qu'abondent les mécanismes de reconnaissance et de gratification. Que se déploie la protection d'un Etat-parti " providentiel ". Que s'éprouve au quotidien la joie d'une communauté nouvelle. Autrement dit que la terreur promet le bonheur, celui du Volk ou du Prolétariat. Bénéficiant de la crise des années 1930, les totalitarismes ont réalisé certaines des promesses non tenues de la démocratie libérale, même si le " bonheur totalitaire " profite d'abord aux inclus de ces systèmes qui vouaient conjointement à l'enfer tous les exclus de la race ou de la classe élue. Un essai brillant qui vient bousculer beaucoup d'idées reçues.

02/2022

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Sciences politiques

Les Totalitarismes. 2e édition

Forgé et développé dès l'entre-deux-guerres, le concept de totalitarisme a servi à qualifier les régimes politiques inédits qui, en Russie, en Italie puis en Allemagne, ont allié système de parti unique, idéologie globalisante et terreur. Utilisé de façon polémique au temps de la guerre froide, il reste toujours controversé pour certains historiens qui critiquent son caractère réducteur et par trop descriptif. Il apparaît pourtant difficile à remplacer comme instrument d'intelligibilité du tragique XXe siècle. Etablissant la généalogie du concept, l'ouvrage montre le poids des circonstances dans son élaboration progressive et précise les perspectives méthodologiques de son utilisation. Il étudie ensuite les conditions de possibilité historique du phénomène totalitaire en passant en revue ses ressorts intellectuels, sociaux et politiques. Il décrit enfin des totalitarismes réels à partir des pratiques, tout à la fois différenciées et convergentes, de l'Italie fasciste, de l'Allemagne nazie et de l'URSS stalinienne. Cette édition revue et augmentée d'un ouvrage devenu un "classique" sur le sujet rend compte des débats historiographiques les plus vifs et les plus récents.

05/2014

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Histoire internationale

Histoire de l'idée européenne au premier XXe siècle à travers les textes

Si l'" idée d'Europe " fondée sur le constat d'une unité de civilisation s'enracinant dans la Christianitas médiévale et le Siècle des Lumières est ancienne, l'" idée européenne " est quant à elle récente. Elle naît dans le premier XXe siècle du refus de la distorsion entre une Europe culturelle vécue, voire fantasmée, et l'histoire politique d'un continent déchiré par les guerres et les affrontements idéologiques. Associée aux idéaux de paix internationale et sociale, illustrée par des projets volontaristes d'unité économique et politique, l'idée européenne fut volontiers présentée par ceux qui s'en firent les porteurs comme une idée politique moderne destinée à rénover ou dépasser les concepts issus du XIXe siècle - la nation, l'Etat, le marché. Avec le démarrage de la construction européenne qui suit la Déclaration Schuman de 1950, l'" idée " devait s'inscrire tant bien que mal dans les faits, laissant alors la place au débat sur telle ou telle " politique " européenne. Cet ouvrage met en scène les projets européens formulés et débattus entre 1900 et 1950. Il rassemble et introduit 145 textes qui reflètent les sensibilités politiques de leurs auteurs, les intérêts des milieux dont ceux-ci sont issus et les circonstances qu'ils sont amenés à traverser. Au fur et à mesure des années, ces textes révèlent des degrés différents de conscience européenne, traduisent des attentes concrètes, expriment des visions globales, esquissent des solutions techniques. Ainsi, par-delà leur historicité, les questions qui traversent l'Union européenne actuelle avaient déjà été posées : le rapport à la mondialisation, le lien transatlantique, l'identité " européenne ", les " deux Europes ", l'unité de régime politique, les limites de l'Europe...

06/2006

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Histoire internationale

Histoire de l'idée européenne au second XXe siècle à travers les textes

Succédant à un premier ouvrage consacré aux plans et projets européens formulés au premier XXe siècle, cet ouvrage restitue la teneur des principaux débats qui ont accompagné cinq décennies de construction européenne. A travers 165 textes présentés et remis en contexte, il montre comment l'" Europe " s'est progressivement inscrite au cœur de notre espace public contemporain. A partir de la déclaration Schuman et du lancement de l'intégration économique et institutionnelle de l'Europe, l'idée européenne se transforme en effet. S'inscrivant désormais dans la réalité issue des traités (CECA, CEE, Acte unique, Maastricht, Amsterdam...), elle perd son caractère de mythe mobilisateur, hormis dans quelques cercles fédéralistes. Inversement, l'idée européenne s'impose dans des milieux plus diversifiés (économiques, politiques, sociaux) soucieux de l'acclimater à leurs intérêts (Europe du libre-échange, Europe organisée). Par ailleurs, le déroulement même de la construction européenne permet la cristallisation de débats où s'expriment les différentes formes d'européisme et d'euroscepticisme. Enfin, l'Europe émergente s'inscrivant dans les relations internationales, l'idée européenne est affectée par les divergences de vue en matière de rapport de la Communauté au monde (Europe atlantique, Europe européenne, Eurafrique).

06/2008

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Histoire de France

Les "collabos" de l'Europe nouvelle

"L'Europe nouvelle" : c'est sous ce vocable qu'en 1940 les sirènes de la propagande qualifièrent le continent unifié de force par les armées du IIIe Reich. Si cette appellation fut synonyme pour des millions d'Européens de dépendance, de réquisitions et de travail obligatoire ou forcé, elle fut, étrangement, symbole d'espoir pour un certain nombre d'intellectuels français qui voulurent y voir l'annonce d'une possible union européenne. Pacifistes rêvant d'en finir avec la souveraineté absolue des Etats, " techniciens " confiants dans les vertus d'un gouvernement économique, socialistes en quête d'une dernière utopie mobilisatrice : tous furent victimes d'une illusion qui les fit croire à la volonté européenne de Hitler, les rendant aveugles aux réalités monstrueuses de son ordre nouveau. Mais, tout à cette illusion tragique qui fit basculer nombre d'entre eux dans l'impasse du collaborationnisme - Drieu, Luchaire, Delaisi en tête -, les intellectuels européistes de Vichy n'en continuèrent pas moins les réflexions commencées au temps d'Aristide Briand sur les conditions d'existence d'une fédération politique et économique. Avec parfois des expressions troublantes : "communauté de communautés", "organe de gestion supra-continental" ou " monnaie fédérale unique"...

03/2016

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