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Azouz Begag, Ahmed Beneddif

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Sociologie

Ahmed de Bourgogne

C'est une histoire varie. Celle d'un revenant qui a traversé clandestinement dix pays pour se laver d'un passé aussi injuste qu'encombrant... Condamné pour des faits qu'il n'a jamais reconnus, expulsé à sa sortie de prison, Ahmed Beneddif s'est retrouvé seul, un matin, dans un port algérien. A mille lieues de sa Bourgogne natale, de ses parents et de sa fille à qui il devait tant d'explications. Quelques dollars en poche et son blouson sur le dos, Ahmed a pris la route. Pendant deux ans, il a surmonté la fatigue et la faim, bravé la surveillance des douaniers, déjoué les arnaques des passeurs... Voici l'histoire d'un homme qui a beaucoup marché avant de se découvrir lui-même au bout du chemin...

05/2001

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Littérature française (poches)

Ahmed de Bourgogne

Ahmed n'a qu'un seul but : retrouver sa Bourgogne natale. Victime de la " double peine ", il est expulsé vers l'Algérie après avoir passé deux ans en prison. Il refuse ce sort, il traverse dix pays, surmonte la fatigue et la faim, brave la surveillance des douaniers et déjoue les arnaques des passeurs. Son voyage est l'histoire véritable d'un revenant, d'un homme prêt à tout pour récupérer sa dignité. Azouz Begag est né en 1957. Ecrivain, chercheur en économie et sociologie au CNRS, il a été ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances de 2005 à 2007. La plupart de ses livres, dont Le Gone du Chaâba , sont disponibles en Points. " Ce magnifique témoignage sur la double peine se lit d'une traite et nous permet de découvrir un homme qui a fait sienne la maxime de Victor Hugo : "vivre, c'est lutter'. " Marianne

08/2009

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Littérature française

Mémoires au soleil

Le vieux s'est échappé, une fois de plus. Il marche au bord de l'autoroute, hagard et obstiné, prétendant arriver à Marseille et de là prendre le bateau pour rentrer dans son pays. Mais si ses fugues à répétition mettent la famille en émoi - son fils surtout, Azouz, qui se sent vaguement coupable de les avoir provoquées -, elles se terminent en général dans un café miteux de Lyon, entre les parties de dominos, le thé à la menthe et les disputes qui entretiennent l'amitié. Bouzid Begag, ancien travailleur du bâtiment, n'a plus toute sa tête. Il a contracté la maladie d'Ali Zaimeur, disent ses copains du Café du Soleil. Une maladie qui mange les souvenirs des gens - "déjà qu'on n'en avait pas beaucoup". En hommage à un père déclinant, Azouz Begag a composé le plus vibrant et le plus mélancolique des chants d'amour, dévoilant avec émotion un nouveau pan de cette vérité intime qu'il avait commencé à nous révéler dans Le Gone du Chaâba.

03/2018

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12 ans et +

Quand on est mort, c'est pour toute la vie

Mourad est mort, abattu par un chauffeur de taxi. Pourquoi ? Parce qu'il n'avait pas réglé le prix de la course... Pour Amar, son frère, au-delà de la douleur et de l'incompréhension, il y a la colère, immense. Et les questions sans réponse. A cause de tout cela, il lui faut partir. Retourner là où dort son frère, là où vit peut-être sa mémoire, son histoire, son " arabe généalogique ". Mais Amar n'est pas rentré au pays depuis treize ans et tout un monde le sépare de ce qu'il retrouve...

11/2002

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Sociologie

L'intégration

"S'intégrer, c'est pourtant simple" , "Etre intégré, c'est se faire discret" , "Certaines cultures s'intègrent mieux que d'autres" , "L'immigration menace l'identité française" , "La langue est un puissant facteur d'intégration" , "L'intégration passe par le mariage mixte" , "L'intégration, c'est la reconnaissance sociale". Autant d'idées reçues que nous entendons fréquemment et qui son ici analysés par Azouz Begag.

03/2003

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Littérature française

L'arbre ou la maison

De retour en Algérie, deux frères redécouvrent la maison de leur enfance, en même temps qu'un pays en pleine révolution démocratique. Un voyage initiatique fait de chair, de larmes et de rires. Après des années d'absence et la mort de leur mère, deux frères lyonnais, Azouz l'écrivain et Samy l'arboriculteur, binationaux franco-algériens, décident de rentrer quelques jours à Sétif, le temps de nettoyer les tombes de leurs parents et de vérifier l'état de la maison familiale. Tandis que Samy bougonne à l'idée de remettre les pieds dans cette ville où il n'a plus de repères, Azouz est impatient d'assister à la révolution démocratique qui secoue le pays. Par-dessus tout, il espère retrouver Ryme, la femme qu'il aime depuis toujours, son cordon ombilical avec la terre de ses ancêtres. Mais à Sétif, Samy et Azouz ne reconnaissent plus rien, et aux yeux des locaux, ils sont devenus des étrangers, des bi. Quant à Ryme, l'amour de la liberté lui a donné des ailes, comme à son peuple. L'aura-t-elle attendu ? Il n'y a que le bel arbre planté par leur père devant la maison, un demi-siècle plus tôt, qui n'a pas changé de place. Mais il a tellement grandi que ses racines en menacent les fondations. Les deux frères se retrouvent ainsi face à un dilemme : garder l'arbre ou la maison.

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