Recherche

Arte Vandals Jeu

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Jeu vidéo, livre idéal : des lectures autour des univers vidéoludiques

Les jeux vidéo et la lecture ont beaucoup en commun, et notamment le fait d'immerger dans une expérience au long cours, dont on ne ressort pas tout à fait indemne, en général. La chronique Jeu vidéo, livre idéal vous propose de découvrir quelques livres qui permettent de prolonger un jeu vidéo ou une série de jeux vidéo...

ActuaLitté

Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

ActuaLitté

Dossier

Livres et jeux éducatifs : My Bulle Toys, un libraire en Floride

La librairie My Bulle Toys, située près de Miami, propose une sélection de livres et de jeux éducatifs pour enfants en français. Nicolas Pacaud, le propriétaire de la librairie, a choisi d'ouvrir cette boutique en raison de sa passion pour la littérature jeunesse et les jouets pour enfants. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Patrick Deville

Voyageur insatiable et styliste hors norme, Patrick Deville fait dialoguer ses pérégrinations à travers le monde et la grande Histoire dans des romans « d’invention sans fiction », un jeu entre les différentes littératures. 

ActuaLitté

Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

ActuaLitté

Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Vandales

" Il est dix heures. Franck ramène sa fraise et fout la merde au café des Sports... ". David Sillanoli exécute ici son premier roman.

01/2010

ActuaLitté

Décoration

Banksy. Dr Vandale et Mr Art

BANKSY, artiste emblématique du mouvement street art, semble bien décidé à détruire tous les repères du monde de l'art. Entre actions coups de poing et délinquance, quel est le véritable visage de cet artiste à l'identité toujours inconnue ? Nous allons découvrir ici son travail mais aussi nous interroger sur la portée et le sens de sa démarche. Que cache son anonymat et que signifie son engagement anticapitaliste alors que ses pochoirs se vendent des millions d'euros dans les ventes aux enchères ? Il semble important de poser la question du rôle de Banksy dans l'évolution du street art, entre acteur conscient et victime de la spéculation artistique. Quelle place existe-t-il pour des vandales devenus stars du marché de l'art ? A qui profite le "crime" ? Banksy est-il devenu un simple produit de consommation ? Et comment réagir face à cette situation aussi amusante que déconcertante qui fait d'un inconnu recherché par la police l'un des chefs de file de l'avant-garde artistique actuelle ?

04/2019

ActuaLitté

Littérature française

Mélancolie vandale. Roman rose

Dans Berlin réunifiée, Kornelia Sumpf, cinquante-trois ans, (“fruit débile des amours d’une charogne et d’un fossoyeur”) condamnée à rester à jamais “une empotée de l’Est”, travaille comme interprète à la prison de Moabit où le détenu est souvent basané et insuffisamment germanophone. Elle est désormais la compagne, prétendument comblée, d’un homme plus jeune qu’elle, Ali, son ultime conquête, qui a été élevé, dans ce qui fut Berlin-Ouest, par une mère turque, richissime et foutraque, prénommée Utkügul, dont la fortune permet à son aboulique de fils de passer son temps en tête-à-tête avec l’écran de son ordinateur (et les vidéos pornos afférentes). Bien avant de rencontrer Ali, l’homme aux “lèvres-saucisses”, Kornelia a adopté la petite Viorica, d’origine roumaine (on dira “Rom”, sous peu), devenue une pré-adolescente paumée, d’humeur aussi maussade que le temps qui sévit à Berlin, en cet hiver 2010, et dont la fascination pour la société de consommation triomphante entraîne des échanges aussi fréquents qu’embarrassants avec la puissante caste que forment les vigiles de supermarchés. Afin d’échapper à la suffocante emprise de la dévoratrice Utkügul, restée “à l’Ouest”, le couple turco-germanique, fier de sa mixité, vit dans le modeste (et peu amène) pavillon familial de l’ancien Berlin-Est dans le quartier de Lichtenberg, où, cloué sur un fauteuil roulant, le père de Kornelia, dit “petit-papa”, achève son existence dans la hargne et ce mutisme aussi “réflexe” que tactique auquel l’a rompu sa longue expérience de communiste impénitent et de délateur professionnel aux temps “heureux” de la stasi. A son corps défendant, et comme à son insu, sa fille Kornelia, quand elle a terminé sa journée de “traductrice du malheur” à la prison de Moabit, semble passer son temps à traverser dans les deux sens un Mur qui n’existe plus, comme si ce dernier faisait défaut à l’ordre bénéfique naguère providentiellement assigné à l’univers. En proie à des nostalgies bancales et à des haines confuses, cette femme de devoir, au sourire (socialiste) inoxydable mais dont la jeunesse s’enfuit inexorablement, l’est en effet aussi à des désirs, désordonnés et violents, sur lesquels elle n’est pas en mesure de mettre un nom, sinon celui de sexe (par provocation, impuissance et manque d’imagination réunis) ou de consommation (activité enfin autorisée, sinon prescrite). Mais, dressée par la rda, une Kornelia Sumpf ne peut rêver de posséder une Audi que juchée sur la selle de son vélo, prolétaire symbole d’une liberté de circulation qui s’étend désormais jusqu’à la célèbre Alexanderplatz (oncques immortalisée par Döblin et à présent livrée aux promoteurs). Sur son vélo, Kornelia roule, dérape dans la neige, tombe, se blesse, rencontre le parcours d’un marathon en folie où des vieillards cacochymes repoussent leurs limites au risque de leur vie, fait des rencontres, assiste à des accidents, se trompe de chemin, se met en retard, nouvelle Alice déjantée au pays sans merveilles, se cherche un avenir, une histoire qui serait enfin à elle et comblerait le manque, souffrant, sans le comprendre, du temps qui passe, de l’inassouvissement, de la solitude harassante qui règne dans une ville qui, pour avoir fait de la notion de communauté retrouvée son nouvel étendard, fièrement brandi à la face du monde, n’a, à l’instar de l’Europe dite unie, réussi à se fonder en transmission d’aucune sorte. Aussi mal à l’aise vis-à-vis d’un passé familial caviardé que frustrée par le morne présent qui lui est dévolu, cette “femme gauchère” porte sur ce qui l’entoure un regard tour à tour exalté et agressif, qui, tout en “scannant” avec trop d’ironie une vie sans espoir et des destinées sans grandeur (vieillards en déshérence ou “actifs” aliénés s’entassant dans l’enfer du métro), lamine les mythologies de la défunte rda comme les illusions de l’Allemagne nouvelle. Dans le décor chaotique d’une modernité violente placée sous le signe du marché libéral qui a pris ses quartiers en des lieux où, hier encore, sévissaient de tout autres mœurs et pratiques, sous les cieux plombés d’une ville immense dont la division fut l’un des symboles majeurs du xxe siècle, se déploie, tel un plan crypté (et cruellement poétique), l’impitoyable cartographie d’un monde aussi interdit d’authentique mémoire qu’il est assujetti au “devoir” de célébrer sans trêve cette dernière, quitte à la soumettre à une marchandisation aussi décomplexée que florissante. Ecrit à “l’impersonnel” (au “on”), Mélancolie vandale (non sans dérision sous-titré : roman rose) propose avec cet hommage paradoxal et désabusé rendu à une ville emblématique, une vision de nos temps contemporains aussi désespérée que lucide. Tant il est vrai que, avec ce roman puissamment baroque, aussi tragique que farcesque, Jean-Yves Cendrey, en avatar de Jérôme Bosch (ou en passager sidéré embarqué sur quelque nef des fous), semble ici sonner l’alerte sur la renaissance possible de la “bête immonde”, ce monstre familier aux multiples visages si prompt à prospérer, en temps de paix, sur tous les territoires abandonnés à sa férocité vorace.

01/2012

ActuaLitté

Art mural, graffitis, tags

Urban Arts N° 24, juin-juillet 2023 : Le street art vandale est-il mort ?

Dossier : Le Street Art " vandale " peut-il mourir ? Le terme en lui-même fait polémique. Mais, derrière le point de vocabulaire, la question mérite d'être posée. Face à l'attitude parfois ambiguë des autorités, les pratiques artistiques non autorisées dans l'espace public sont-elles en danger ?

06/2023

ActuaLitté

Histoire ancienne

Les Vandales et l'Empire romain

Venus d'Europe centrale, établis en Afrique du Nord, les Vandales ne sont pas les barbares sanguinaires décrits par la tradition. Seuls parmi les peuples des steppes à maîtriser l'art de la navigation, ils ont construit une civilisation raffinée et originale. Cet ouvrage fait le point sur l'un des grands peuples de l'Antiquité, dont les rois, comme Genséric, ont fait trembler Rome et ses empereurs.

09/2014

ActuaLitté

Histoire ancienne

Littérature, politique et religion en Afrique Vandale

Le livre Littérature, politique et religion en Afrique vandale contient les communications prononcées au colloque international " Littérature, politique et religion en Afrique vandale ", organisé par Etienne Wolff, avec le soutien de son équipe de recherches THEMAM, composante de l'UMR 7041 ArScAn, qui s'est tenu à l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense les 6 et 7 octobre 2014. Les communications sont présentées ici selon un ordre thématique. Cet ordre, et le sujet très ciblé du colloque, font que le livre, plutôt que d'être un recueil de textes mal liés comme parfois les actes de colloque, présente une forte unité. Il constitue une synthèse sur l'Afrique vandale (439-533) qui faisait défaut. Y est étudiée en effet successivement la situation politique (relations avec les Goths et avec l'empire d'Orient), religieuse (la question de l'arianisme) et culturelle de l'Afrique vandale. Dans le domaine littéraire, une place particulière a été faite à Dracontius, certainement le plus grand auteur latin de l'Afrique sous domination vandale, qui, depuis la publication de ses Œuvres complètes dans la Collection des Universités de France, est mieux évalué à sa juste valeur. Les contributeurs, tous choisis par l'organisateur du colloque en fonction de leur compétence, sont des spécialistes internationalement reconnus (le premier d'entre eux par exemple, Konrad Vössing, a été invité au Collège de France en 2013 pour une série de conférences) venus de France et de divers pays d'Europe.Tel quel, l'ouvrage présente un solide bilan des connaissances sur l'Afrique vandale, en même temps qu'il ouvre à des interprétations, des pistes, des idées nouvelles.

12/2015

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté