Apple ebooks SCOTUS

L’Authors Guild n’en a pas fini avec Google Books, et sa numérisation d’œuvres sous droit. Alors que l’organisation tente le tout pour le tout en faisant appel à la Cour suprême, une flopée de soutiens intervient tout à coup. Les échecs en première et deuxième instance ne laissent aucune autre alternative : soit la doctrine du Fair Use est définitivement validée, soit les auteurs obtiennent un peu d’attention. 

Dans le conflit juridique qui l'oppose au ministère de la Justice américain, la société Apple vient de formuler son appel, officiellement, contestant sa condamnation du 10 juillet dernier. La juge Denise Cote avait considéré qu'entre Apple et les éditeurs américains, une entente avait été établie, aboutissant à la fixation du prix de vente des livres numériques. 

iBooks et iBookstore détaillés par Apple : fluidité et ebook

La cour d'appel des États-Unis a rejeté la demande d'Apple de retarder le procès prévu pour le mois de juillet. Celui-ci doit déterminer le montant des dommages-intérêts que la firme aura à verser aux consommateurs. Elle a été reconnue coupable, l'an passé, d'entente et de collusion avec les éditeurs américains, conduisant à une augmentation artificielle du prix de vente des livres numériques. 

Les premiers ebooks vendus via iBooks pour l'iPad d'Apple ?

Et si pour Noël, dans la liste de cadeaux commandés au Père du même nom, il y avait l'interopérabilité des plateformes ? Douce utopie, certes, mais qui suscite la réflexion au niveau européen depuis quelque temps, et mérite qu'on s'y attache. Les dernières données livrées sur le marché numérique devraient inciter Apple à s'y pencher, au moins un peu.

Rions un peu en attendant que les industriels américains aient totalement achevé leur conquête du monde... Apple a décidé de bloquer la vente d’un livre numérique, chose tout à fait compréhensible en soi : les libraires ont le choix de ce qu'ils commercialisent. L’ebook est d’ailleurs assez virulent contre la firme. Mais les raisons du refus sont tellement farfelues...

Le débat est lancé par Jeremy Greenfield, directeur éditorial de

C’est officiel, Apple demande à la Cour Suprême des États-Unis de renverser la condamnation pour entente, dans l’affaire du prix des ebooks. À deux reprises, Cupertino a été reconnue coupable d’entente avec les éditeurs, la première fois en 2013, puis après avoir interjeté appel. En sollicitant la SCOTUS, Apple joue sa dernière carte, toujours avec des arguments épatants.

La plainte du ministère de la Justice canadien laissait envisager des conflits à venir entre les éditeurs, Apple, les consommateurs et les autres revendeurs. Mais une petite guerre conscrite au seul territoire étasunien. Manifestement, l'histoire déborde un brin en dehors des frontières.

C'est désormais officiel, le Ministère de la Justice américain vient bel et bien de porter plainte contre Apple, pour entente illégale sur la vente de livres numériques et fixation des prix. 

Apple propose des cartes cadeaux dédiées aux ebooks

Apple : 250.000 ebooks vendus via l'iBookstore

Au Japon, 60 % des tablettes sont des iPad d'Apple. Pourtant jusqu'à présent il n'était pas possible de télécharger directement des livres sur son appareil. Ceci devrait changer dans le courant du mois de janvier, avec le lancement de l'iBookstore. Apple pourra désormais vendre directement des livres numériques à destination des lecteurs nippons. Dans cette perspective, de nombreux contrats auraient été signés avec d'importants éditeurs japonais.

Plus de caractéristiques sur les personnages : une idée à creuser.

Eddy Cue comptait parmi les hommes forts de Steve Jobs. Bras droit de l'ancien PDG d'Apple, il prit part activement aux négociations avec les éditeurs, quand la firme s'est lancée dans le commerce du livre numérique. Son témoignage aurait pu faire pencher la balance, quand la justice a décidé de poursuivre la société, pour entente illégale. Un conflit juridique que Cue raconte à Fortune.

On parlerait volontiers d'acharnement thérapeutique, si les États-Unis ne cultivaient pas cette obsession du libre commerce à tout crin. Après avoir subi la condamnation pour entente, dans le cadre de la vente de livres numériques, Apple fera maintenant l'objet d'une class action, emmenée par les consommateurs lésés. La juge fédérale de New York, Denise Cote, s'est décidée à mettre Apple à genoux. 

Après l'initiative d'Amazon, qui a commencé à rembourser ses clients, voici qu'Apple se plie à la volonté du juge. La firme a été condamnée pour entente, ayant conduit à une augmentation artificielle du prix de vente des livres numériques. Attaquée par le ministère de la Justice, la firme fut condamnée. Et dans le même temps, une class action, entamée dans une trentaine d'Etat, a conduit au reversement de 166 millions $ pour les clients.

Le distributeur de livres numériques Bookwire a annoncé cette semaine avoir signé un partenariat avec Apple afin de servir de point d'entrée pour quiconque souhaite ventre un ebook sur iBooks.

Les affaires d’Apple ne vont pas forcément en s’arrangeant. Après la confirmation de sa condamnation en appel pour entente sur la fixation du prix des ebooks avec les éditeurs américains, c’est le Canada qui s’intéresse à la société. Selon le Ink, Bits & Pixels, le Bureau canadien de la concurrence s’intéresserait désormais à la société, dans le cadre de l’affaire déjà ouverte.

Pour enrichir la vie des fans, Apple vient de déposer un brevet qui permet d'obtenir une signature numérique de la part du créateur d'une oeuvre, au moment du téléchargement de ladite oeuvre. La méthode fonctionnerait avec n'importe quel contenu : album, film, et bien évidemment, livre numérique. Et de la même manière que les autographes d'antan étaient uniques, de même, celui qui accompagnera le téléchargement sera certifié. 

La faillite, c'est toujours le grand risque, quand on lance une société de services qui dépend d'un gros groupe. Pour iFlowReader, une application iOS qui vend des ebooks, le souci, c'est tout simplement devenu Apple...

Souvenez-vous, c'était quelques années auparavant... « Peu importe que le produit soit bon ou mauvais, le fait est que les gens ne lisent plus. Quarante pour cent de la population aux États-Unis a lu moins d'un livre l'an dernier. »

Depuis sa plateforme commerciale en ligne, la firme de Cupertino lance une opération promotionnelle baptisée Breakout Books et destinée aux lecteurs australiens et néo-zélandais. Les consommateurs locaux sont ainsi invités à découvrir bon nombre d'écrivains indépendants, pour des livres tarifés à moins de 4,99 dollars et parmi lesquels des best-sellers, tandis que le distributeur Smashwords contribue au catalogue de l'offre avec des milliers d'auteurs.

#FBM18 – Messe Frankfurt, l'infrastructure qui accueille la Foire du Livre à Francfort-sur-le-Main, en Allemagne, chaque mois d'octobre, va connaitre d'importants travaux dans les années à venir. Des opérations de rénovation et de restructuration qui auront des conséquences sur les éditions 2019 et 2020 de la foire, notamment pour les agents littéraires et les scouts.

Voilà trois ans, la justice américaine menait Apple devant les tribunaux – les éditeurs n’y échappaient qu’après avoir écopé d’une vilaine amende. Condamnée en première instance, puis en appel, la firme de Cupertino allait avoir à supporter durant une longue période, la présence de Michael Bromwitch. Cet auditeur devait s'assurer que la société se conformerait aux lois antitrust... Eh bien, fin de partie.

Des clients ont constaté une apparition inattendue sur la plateforme commerciale d'Apple, l'iTune Store. L'acquisition de certains titres semblait recquérir une mise à jour de l'application client iBooks pour iOS qui n'est pas encore officiellement sortie : la version 3.0, ce qui laissait présager un lancement imminent. Seulement, il semblerait finalement que la rumeur ne soit due qu'à une erreur d'affichage sur la plateforme commerciale.

Revirement inattendu : Apple, condamné pour entente et fixation illégale du prix pour les livres numériques, aux États-Unis, devait faire face à un autre procès. Une class action qui aurait pu coûter 840 millions $ à la société vient tout juste d'être évitée. La firme de Cupertino, mise en cause par les procureurs de 33 États, vient de trouver un accord à l'amiable.