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AFRO-METROPOLITAINES. Emancipation ou domination masculine ?

Dossiers

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Dossier

Lire en poche 2019 : à Gradignan, “Cultiver la liberté”

« Une liberté qui peut prendre la forme d’une quête, individuelle ou collective, d’un désir d’émancipation, d’une attente, d’un exil, d’un idéal ou d’une illusion... : liberté d’aimer, ou de haïr, liberté de choisir, d’agir, de rester ou de partir... avec tout ce que supposent ces choix, ces actes, ces paroles et ce qu’on nomme parfois “le prix de la liberté”. »

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Dossier

Du féminisme en littérature

« Quelle erreur pour une femme d’attendre que l’homme construise le monde qu’elle veut, au lieu de le créer elle-même. » Cette phrase d’Anaïs Nin prend toute son ampleur en littérature, où après des siècles où les grands écrivains n’ont parlé qu’à leur semblable du sexe masculin, l’ancien « sexe faible » a aujourd’hui pleinement sa place. Des femmes fortes, sensibles, engagées et/ou artistes, qui font vibrer leurs voix singulières et caractéristiques.

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Dossier

Les Prix de poésie Vénus Khoury-Ghata

Dans un contexte où les prix de poésie sont souvent remis à des hommes et où le paysage poétique français est largement masculin, laissant dans l’ombre des femmes poètes de talent, Vénus Khoury-Ghata (Prix Goncourt de la Poésie en 2011), avec l’aide de Pierre Brunel, a créé en 2014 un prix de poésie au féminin qui récompense la poésie française et, depuis cette année, la poésie étrangère traduite en français.

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Dossier

Editions du Portrait : 10 années à renverser la table

Livre après livre, la maison publie le récit incarné d’un combat contre le sexisme, le racisme. Ces livres, traversés par une pulsion de vie, transmettent l’histoire d’un individu et de son cheminement vers l’émancipation pour sortir des cases qui lui ont été assignées. La maison publie de la fiction et non fiction, mêlant écriture poétique et documentaire.

 

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Dossier

L'attractivité des librairies, malgré Amazon ou Netflix

Blâmons internet, blâmons les GAFA, blâmons le commerce du livre d’occasion… il n’empêche que les librairies demeurent, et parviennent à tirer leur épingle du jeu. Si les Français sont accusés de moins lire, comment les libraires parviennent-ils à capter l’attention du public, et inciter à franchir le pas de leur établissement ?

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

Extraits

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Sociologie

AFRO-METROPOLITAINES. Emancipation ou domination masculine ?

Au moment où les résultats des luttes de libération de la femme suscitent de nouvelles interrogations en Europe, quel regard peut-on porter sur l'émancipation de la femme africaine aujourd'hui ? Au-delà du voile de la consommation de masse et de la recherche des solutions vitales nécessaires aux détresses sociales, un regard sur la condition des femmes noires en France ou en Afrique implique une autre lecture. Celle qui s'appuie sur la mise à jour des pesanteurs sociales dont les effets conduisent les Afro-métropolitaines à revendiquer inconsciemment leur dépendance par rapport aux hommes. Une telle attitude ne peut qu'amener les Africaines à transformer les conditions objectives de leur émancipation en stratégies d'affirmation de leur " identité féminine " à l'intérieur de l'espace qui s'est historiquement construit sur et autour de leur féminité.

10/1998

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Psychologie, psychanalyse

La domination masculine n'existe pas

L'homme (avec un petit h et un pénis de taille variable) est une pourriture : c'est lui qui vole, viole, tape, tue, refuse de laver ses slips et préférerait crever plutôt que de vivre dans un monde où des bonniches ont le droit de devenir PDG. Voici la « version officielle » de notre histoire. L'histoire humaine est, dit-on, l'histoire d'une domination masculine, faite par et pour des hommes prêts à tout pour tenir les faibles femmes à leur botte. Sauf que cette histoire est fausse. Du moins en partie. Si les hommes ont le pouvoir, c'est parce que les femmes l'ont bien voulu, tout au long des 99,98 % de l'histoire de notre espèce. Et ces millions d'années qui nous ont vus devenir lentement ce que nous sommes, elles les ont passés à frétiller du derche au moindre indice de force, de puissance et de brutalité. Pourquoi ? Parce lorsque votre organisme renferme des ovaires et un utérus, que votre reproduction vous fait courir un danger vital aussi extrême qu'indispensable, et que vous vivez dans un environnement hostile, de tels attributs sont encore les meilleurs pour vous protéger, vous et le fruit de vos entrailles, et vous aider à transmettre vos gènes aux générations suivantes. En d'autres termes, il n'y a pas de domination masculine. Un tel système oppresseur, vertical et unilatéral n'existe pas. Ce qui existe, c'est une histoire évolutive qui aura poussé les deux sexes à des stratégies reproductives distinctes. En décortiquant les principaux territoires de la « domination masculine » – les inégalités scolaires et professionnelles, le harcèlement, les violences familiales et conjugales, le viol et les violences sexuelles, la culture de l'honneur, l'agressivité, la guerre et le terrorisme –, cet ouvrage non seulement les éclaire d'une lumière radicalement nouvelle dans notre paysage intellectuel, mais il permet surtout de mieux les comprendre et de les expliquer, quitte à risquer de saisir, au passage, que les femmes ne s'en sortent vraiment pas si mal…

10/2015

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Histoire des idées politiques

Combattre le racisme. Essais sur l'émancipation des Afro-Américains

En 1956, Howard Zinn s'installe à Atlanta afin d'enseigner au département d'histoire du Spelman College, un établissement d'enseignement supérieur uniquement fréquenté par des femmes noires. Arrivant de Boston, il découvre un Sud profond secoué par le mouvement des droits civiques, dans lequel le militantisme étudiant joue un rôle important. Intellectuel capable de penser l'histoire sans renoncer à la faire, Howard Zinn s'engage sans hésiter dans les luttes que mènent les Afro-Américains. Et le paie cher : en 1963, on le licencie de Spelman en raison de ses positions contre la ségrégation. Combattre le racisme raconte ces années de résistance tout en les replaçant dans la longue histoire des luttes contre l'esclavage et le racisme aux Etats-Unis. Dans une prose claire, sensible et vivante, Zinn nous livre ses réflexions sur les abolitionnistes, la marche de Selma à Montgomery, John F. Kennedy, les piquets de grève et, pour finir, son message aux étudiants de l'université de New York au sujet de la question de la race, dans un discours qu'il a prononcé à la veille de sa mort. Il exprime la conviction inébranlable que les gens ont le pouvoir de changer les choses s'ils suivent ensemble la tradition américaine de la désobéissance civile.

05/2022

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Sciences politiques

Boys Don't Cry! Les coûts de la domination masculine

"Les féministes en font trop ! " Les hommes seraient devenus sinon le sexe "faible", ou du moins stigmatisé. Les moindres performances scolaires des garçons viendraient d'une perte d'estime de soi du masculin. La plus discrète avance sexuelle serait recodée en harcèlement, le goût de la compétition en agressivité. Voici quelques aspects d'un discours de la plainte, de la hargne parfois, par lesquels des groupes d'hommes s'emploient à inverser la rhétorique féministe pour se poser en victimes, revendiquer des droits dont ils seraient privés. Le présent ouvrage se propose d'analyser ces discours, notamment en portant attention aux propos "masculinistes", tels qu'ils s'affirment par exemple dans certaines organisations de pères divorcés. Quels sont les arguments de ces groupes ? En quoi sont-ils symptômatiques des évolutions et des perceptions des rapports de genre ? Peut-on évaluer leur impact, qui varie entre Amérique du Nord et Europe ? Quels enjeux inséparablement politiques et scientifiques portent des notions comme "coûts de la masculinité" ou "rôles de sexe" ? Côté scientifique, l'enjeu est clair : il s'agit de poursuivre le travail de déconstruction de la domination masculine en montrant que celle-ci n'a rien de naturel. Elle suppose des investissements et implique des coûts, pour les femmes bien sûr, mais également pour les hommes, comme le montrent des contributions sur la santé au travail, sur les effets de l'association virilité-alcool, sur le double-jeu identitaire auxquels sont contraints certains gays affirmant "homosexuels, oui, mais virils avant tout" ! Combinant prudence, rigueur et refus des tabous, ce livre revendique donc la vertu de l'insolence scientifique en posant la question des coûts des masculinités. Le radicalisme qui consiste à refuser de parler d'une thématique sous prétexte qu'elle a été inaugurée par des mouvements étymologiquement réactionnaires n'est en effet guère satisfaisant. Les sciences sociales doivent reconquérir ce terrain miné par les conflits socio-politiques et prendre au sérieux le question des coûts par une objectivation sociologique : qui veut lutter efficacement contre un processus de domination doit apprendre à mieux le connaître sous toutes ses facettes, sans questions tabous. Les textes rassemblés ici ont en commun le double souci de ne jamais oublier qu'une domination suppose des cibles, qui restent ici les femmes, mais qu'elle ne s'exerce par ailleurs jamais sur le mode passif de la rente, d'un solde où les profits ne supposeraient ni investissement, ni contrepartie. Outre de nombreuses études de terrain inédites, l'ouvrage propose trois traductions de textes anglophones classiques et novateurs, jusque-là indisponibles aux lecteurs francophones. Les garçons, ça ne pleure pas ! ", mais sauver la face n'est pas toujours indolore pour autant...

04/2012

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Littérature française

Métropolitains

Au départ chacun suit sa route solitaire. Une conductrice mélancolique qui aime rouler dans le noir, quelques très jeunes et très habiles pickpockets, Henriette, comptable et poète, Joseph, un ex-dandy au bout du rouleau, Coralie la reine des marchandes de journaux, un homme dont on ne voit que la veste, taillée dans un velours bleu extraordinaire, et aussi Renée, une " libellule sans ailes " surnommée l'Observatoire, Georges, le malheureux apprenti ethnologue, deux poivrots, un couple d'élégants touristes américains, et pas mal d'autres encore : ils se croisent, se recroisent, se frôlent, se cherchent - parfois même se rencontrent. Et les lignes que tracent leurs voix dans le métro, le bruit des pas et des roues, tout ce trafic zigzaguant du cocasse au désastre dessine peu à peu la carte bougée, embrouillée, imprévisible, d'un moment de la vie d'une ville.

01/2005

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Littérature française

Vignettes métropolitaines

Faussement familier, le monde du métro parisien peut apparaître étrangement étranger à qui l'examine dans la lumière syncopée par la vitesse d'une rame entrant dans une station. On y rencontre en effet d'étonnants personnages, tel ce collectionneur de croquis dérobés à la sauvette, épinglés dans l'imaginaire de la ligne 7. En une errance insomniaque, ce recueil de micro-vignettes métropolitaines nous renvoie le reflet de notre image dans la vitre noire d'un wagon de nuit.

04/2017

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