Treize nouvelles composent ce recueil dont Thierry Clermont, auteur de la Postface, considère que « pour n’être exhaustif, [il] présente une large palette témoignant de [l’] exceptionnel art narratif dans la forme courte » de Delmore Schwartz. Et c’est vrai que chacun de ces textes plantent le décor avec un entrain qui plonge le lecteur immédiatement dans le bain, l’accapare totalement dans le développement de son histoire plus ou moins longue, et le mène à un dénouement qui le désarçonne et le laisse pantois. En tous cas, jamais indifférent !