Il aura fallu un article récent du Figaro pour que j’apprenne l’existence de l’œuvre de Jean-Pierre Martinet. Je lisais pourtant le Monde à l’époque où ses livres sont parus mais il ne me semble pas qu’il ait jamais été question de lui. Il était simplement un inconnu au bataillon littéraire dont les ouvrages ne se sont vendus qu’à quelques centaines d’exemplaires en leur temps, ce qui, sans doute, ajouta à son amertume.
Par Henry Jean-Coudy