Cizia Zykë, c’était des romans avec de la testostérone à foison, de l’aventure et un auteur avec un passé de baroudeur ayant parcouru le monde. De l’Amérique du sud, où il vendit des objets d’art précolombiens, en passant par Toronto ou la Suisse, il aimait les drogues, le commerce pas forcément légal et bien d’autres choses.