Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.
Maîtres parmi les auteurs de bandes dessinées britanniques, Alan Moore est à l'origine de quelques-unes des œuvres les plus importantes du genre, notamment Watchmen (avec Dave Gibbons), V pour Vendetta (avec David Lloyd) ou encore From Hell (avec Eddie Campbell). Il a aussi signé plusieurs romans, dont le très remarqué Jérusalem, publié en France dans une traduction de Claro aux éditions Inculte.
Avec plus d'une centaine de romans traduits de l'anglais et de l'espagnol, Axelle Demoulin et Nicolas Ancion forment un des tandems les plus productifs de la traduction en langue française. Bon nombre des titres qu'ils ont traduits en français ont figuré parmi les meilleurs vendeurs en littérature Young Adult, comme la trilogie À travers ma fenêtre, d'Ariana Godoy chez Hachette, ou la série Serpent & Dove de Shelby Mahurin, publiée par De Saxus.
Et bien au-delà... Depuis sa première traduction en français en 1995, tout d’abord Aux presses de la Cité puis chez J’ai lu, la saga de Diana Gabaldon aura séduit plus d’un million de lecteurs tant en numérique qu’en format papier. Cette dernière a connu un incroyable renouveau avec son adaptation en 2014 sur Netflix – la sixième saison est attendue pour le 6 mars prochain. Une chose est sur Claire Randall et Jamie Fraser n’ont pas fini de se retrouver à travers le temps…
« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.
Goncourt, Renaudot, Femina, Interallié, Médicis : les prix littéraires rythment la fin de l'année, qu'on le veuille ou non. Instituées depuis un siècle ou jeunes de quelques années seulement, les récompenses sont légion dans le domaine de la littérature : pour certains, ils sont synonymes de petit landerneau germanopratin, pour d'autres, le signe d'une diversité des voix et des écritures qu'il s'agit de valoriser et de récompenser.
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