kana

Quoiqu'on fasse on n’y échappe pas la sortie d'un nouveau tome de Naruto c'est un événement et on trépigne d'impatience quelques jours avant de pouvoir se le procurer. Plus la série avance et plus l'on en attend de chaque tome et maître Kishimoto parvient toujours à nous satisfaire. C'est encore le cas avec ce tome 41 de Naruto, essentiellement consacré à l'action et plus précisément au combat titanesque entre Pain et Jiraya.

Jiraya est parti enquêter sur l'Akatsuki dans le village de la pluie. Hélas, Ero Seinin n'est pas longtemps passé inaperçu et il va devoir se préparer à un rude combat contre un membre éminent de l'Akatsuki et l'un des plus dangereux ninja de ce monde Pain.

De son côté Naruto et ses compagnons sont sur les traces de Sasuke. Un des clones de Naruto repère justement l'équipe de Sasuke mais il semble bien décidé à ne pas se laisser rattraper par son ancien compagnon surtout après avoir affronté dans un combat particulièrement éprouvant le terrible Deidara de l'Akatsuki.

Un combat de Titans

Ce tome 41 de Naruto fait une fois encore la part belle à l'action et au combat mais qui s'en plaindrait ? C'est une des forces de ce titre offrir aux lecteurs de beaux combats particulièrement fluides, riches en rebondissements et époustouflants. À ce titre le combat entre Jiraya et Pain est une très belle réussite. On savait que Jiraya était un ninja d'exception et on se doutait que Pain devait être un adversaire plus que redoutable mais là, on est vraiment bluffé.

Les techniques de Jiraya sont vraiment à la hauteur du personnage et de sa réputation. S'il n'avait trop rien montré jusqu'à présent, il dévoile dans ce combat ses techniques les plus puissantes. On peut voir notamment son rasengan poussé au maximum, et on se rend compte que Naruto a encore bien du chemin à faire pour maîtriser cette technique aussi bien que son maître. On découvre aussi la transformation en « ermite » de Jiraya. Ce faisant il change de style de combat, il passe du ninjutsu au senjutsu (art de combat des ermites). Et les techniques associées au senjutsu sont particulièrement efficaces.

Cela dit, en face de lui se trouve Pain qui est possesseur du Rinnegan. Les Rinnegans sont des yeux qui ont des capacités particulièrement un peu comme le sharingan des Uchiwas. Ce type de pupilles est le plus élevé des trois types de dôjutsu. Rinnegan signifie « oeil de la métempsychose » (ou « transvasement d'une âme dans un autre corps »). Jusqu'à ce qu'il rencontre Nagato et en fasse son élève Jiraya pensait que les Rinnegans n'étaient qu'une légende. C'est dire si l'adversaire de l'ermite a des pouvoirs effroyables.

Des révélations importantes à venir

C'est donc avec ces deux personnages que maître Masashi Kishimoto nous offre un des combats les plus spectaculaires et surprenants de Naruto. Le tome 41 se clôt sur un point de tension, Jiraya est en mauvaise posture et semble découvrir quelque chose à propos de son adversaire mais on n’en sera pas plus jusqu'au tome 42.

Le combat Jiraya/Pain est clairement le point central de ce tome mais parallèlement à ça l'histoire avance aussi. Des éléments concernant Naruto et son Kyyubi sont révélés, sans que le lecteur puisse toute fois comprendre clairement de quoi il s'agit. En quelques pages Masashi Kishimoto a réussi à piquer la curiosité du lecteur avec ces quelques éléments qui devraient ouvrir sur de grandes révélations. On découvre aussi la jeunesse et le destin terrible de Jiraya, et l'on ne peut s'empêcher de penser que Naruto y jouera un rôle important.

Encore une fois Naruto, nous a fait vibrer. Des débuts de révélations, des rebondissements en cascades, un combat titanesque sont les ingrédients de ce tome 41 qui a été un vrai délice pour toute la rédaction. Vivement le 42.

Naruto tome 41 de Masashi Kishimoto est édité par Kana. Il compte 192 pages pour 6,25 €. Le tome 42 devrait paraître le 03 juillet et le tome 43 le 21 août.

Sawako de Karuho Shiina fait partie de ces titres qui nous font penser que le shojo a encore de beaux jours devant lui. Ce manga dont les bases sont pourtant tout ce qu'il y a de plus classique propose un point de vue différent de ce que l'on peut voir dans pas mal de shojo.

Sawako Kuronuma est une collégienne de 15 ans, victime d'un physique proche du personnage de Sadako dans The ring (de Hideo Nakata), elle est fuie par tout ses camarades de classe. Elle est surnommée Sadako et tout le monde est convaincu qu'elle possède des pouvoirs maléfiques. Rester à proximité d'elle trop longtemps, lui parler ou tout simplement soutenir son regard entraînerait le malheur.

Pourtant Sawako est une fille tout ce qu'il y a de plus gentille. Elle est heureuse quand elle peut faire une bonne action et n'a jamais souhaité de mal à ses camarades qui passent leur temps à la fuir. Le problème c'est qu'elle est relativement timide et ne sait pas vraiment montrer ses sentiments. Alors, elle ne fait rien pour dissiper les malentendus sur son identité. Seulement ce n'est pas du goût de Kazehaya, le garçon le plus populaire du collège qui va tout faire pour se rapprocher d'elle et l'aider à se faire des amis.

Un point de vue différent

Le grand classique dans les shojo c'est d'avoir comme personnage principal une fille timide transie d'amour pour un garçon super beau et populaire auprès des filles. Bien évidemment, l'héroïne n'ose pas avouer son amour tellement, elle est impressionnée par le garçon, ce qui est dommage parce que le garçon lui aussi est amoureux d'elle. Quand on lit le résumé de Sawako, on se dit que l'on pourrait bien être en face de ce genre d'ouvrage. Et bien rassurez-vous, il n'en est rien !

Sawako part sur des bases très classiques du genre shojo mais toute son originalité réside dans le fait que l'intrigue amoureuse est loin d'être le plus important. En effet, dans ce manga, il est plus question de partir à la découverte de soi, des choses qui sont cachées en nous et qui ne demandent qu'à sortir pour nous rendre meilleurs. Il est aussi question du regard des autres, et de ce que l'on peut faire pour dissiper les malentendus sur qui l'on est.

Bref, le propos tient plus dans les questions que peuvent se poser les adolescents que dans la romance à rallonge. Bon, évidemment on sent bien la construction d'une histoire d'amour répondant aux codes du shojo mais elle est amenée subtilement et fait partie d'un ensemble plus grand.

Une bonne dose d'humour

Une autre des grandes forces de Sawako tient dans la grande place accordée à l'humour. En effet, on retrouvera pas mal de comique de situation dans ce premier tome, mettant régulièrement la pauvre Sawako en scène dans des attitudes qui ne lui rendent pas justice. Ces camarades n'ont plus ne seront pas épargnés, un peu ridicule dans leur peur d'une simple collégienne timide aux longs cheveux noirs. Tout cet humour et cette dérision permettent de relativiser. Et là, on se surprend à examiner certains passages de sa vie, et à se dire que finalement certaines situations vécues à l'origine comme de petits drames paraissent bien drôles quand on relativise.

Le charac-design est très bien adapté à l'histoire. Non seulement Sawako change de tête suivant qui la regarde pour être perçue comme une Sadako en herbe mais elle a aussi des mimiques très mignonnes. Un autre bon point la mangaka, n'abuse pas des petites étoiles autour des personnages et ça c'est bien !

Bref, Sawako est un shojo intelligent qui part sur des bases très classiques pour proposer quelque chose de différent, drôle et édifiant à la fois. Les problématiques proposées sont intéressantes et sont traitées toutes en finesse. Il faut noter que les deux premiers tomes sont à petits prix, 4,50 euros. Avec tout ça on aurait tort de s'en priver.

Sawako tome 1 de Karuho Shiina est édité par Kana. Et les 208 pages du tome 1 sont au prix exceptionnel de 4,50 €.

Lorsque nous vivions ensemble de Kazuo Kamimura est une oeuvre essentielle d'un des plus grands mangaka Kazuo Kamimura. Nous avons déjà eu l'occasion de vous parler de son travail sur Le Fleuve Shinano (avec Hideo Okazaki au scénario) et sur Lady Snow Blood (avec Kazuo Koike au scénario). C'est avec Lorsque nous vivions ensemble que Kamimura s'est fait connaître, on y trouve déjà le style très particulier du mangaka et le mélange d'ambiances légères et sombres avec au centre de tout l'amour et le sexe.

Lorsque nous vivions ensemble, c'est l'histoire d'un couple de jeunes adultes durant les années 70, Jirô (jeune homme de 23 ans) et Kyôko (jeune femme de 21 ans). Ils vivent ensemble mais ne sont pas mariés, ce qui est très mal vu de la société japonaise de cette époque. On suit leur quotidien, plongeant dans leurs sentiments un peu confus, plongeant dans leur couple, dans leur intimité la plus secrète, dans leurs incompréhensions, dans leur vie.

Jirô est un illustrateur indépendant, Kyôko est graphiste dans une agence de publicité. Leurs journées s'écoulent rythmées par le travail et des temps d'oisiveté et de réflexion. Ils ne savent pas vraiment comment envisager leur couple. Et préfèrent laisser le temps faire les choses sans penser à l'avenir.

Prise de vue de la société japonaise des années 70

Plus qu'une simple vision du couple, c'est toute une vision de la société et du mal-être des jeunes de cette époque qui est dépeinte avec subtilité dans Lorsque nous vivions ensemble. Et c'est probablement une des raisons de son grand succès (3 millions d'exemplaires vendus selon Migiwa Kamimura, la fille du mangaka) lors de sa sortie au Japon. Tout l'art de Kamimura tient dans sa manière de montrer les choses avec beaucoup d'objectivité et un grand détachement, les incluant dans le flot continu des événements du quotidien.

De prime abord, Lorsque nous vivions ensemble tome 1, n'est pas un titre facile d'accès. Le temps s'étire lentement presque comme arrêté, presque comme si les nous étions hors du temps justement. Les personnages semblent complexes, assez impénétrables, et la relation qui les unis difficile à comprendre. Pour bien rentrer dans ce titre, il faudra accepter de rentrer dans cet univers parallèle, il faudra se laisser bercer par cette atmosphère particulière. Et surtout, il ne faudra pas chercher de l'action, ni la finalité de tout ceci. Comme les personnages, il faudra se laisser porter par la lecture. À ce moment-là, on commence à comprendre, à ressentir et on est vite subjugué par la beauté de ce titre.

L'amour au centre de tout

Les personnages sont profonds, complexes, insaisissables parfois et pourtant on rentre dans leurs pensées, dans leurs sentiments. Ils nous sont à la fois étrangers et si familiers. Ils font écho à toutes ces personnes que l'on croise dans notre vie qui nous sont proches mais que l'on ne comprend pas.Ils font aussi écho à quelque chose en notre fort intérieur.

Les histoires développées sont parfois légères, parfois dures ou sombres avec pour thème central l'amour dans toutes ses déclinaisons. On se laisse enivrer par l'amour empli d'insouciance qui existe entre les personnages et la minute d'après on découvre avec une narration froide et détachée les côtés sombres de celui-ci ou encore de la société. Le sexe bien-sûr est présent, voire très présent est là encore dans plusieurs déclinaisons, dans sa dualité avec la mort, comme expression de l'amour, comme bouée de sauvetage ou encore dans ce qu'il peut avoir de déviant.

Finalement, le mangaka nous fait vivre plein de choses, éprouver de nombreux sentiments contradictoires, le tout dans une suite d'histoires qui semblent banales. On appréciera aussi les très beaux poèmes de l'auteur qui viennent rythmer tel un leitmotiv tout ce titre.

Le « créateur d'estampes de Shôwa »

Le style particulier de Kamimura mérite aussi bien des louanges. Son trait fin, sans fioritures, proche des estampes japonaises classiques, lui a valu le surnom de « créateur d'estampes de Shôwa ». Et ce surnom est loin d'être usurpé. Les cases sont généralement assez claires et peu fournies en détails. Le découpage des planches est assez classique, très carré. Pourtant, le dessin est d'une grande beauté et il participe grandement à l'ambiance du titre. Plus que ça, il est un élément de compréhension des personnages et de l'histoire. Les symboliques utilisées étant très fortes et très parlantes et les expressions du visage des personnages d'une subtilité et d'une justesse admirables.

Lorsque nous vivions ensemble tome 1 de Kazuo Kamimura dans la collection Sensei de Kana est vraiment un ouvrage indispensable que l'on soit amateur de manga, de BD ou simplement d'histoires profondes et bien écrites. La complexité des personnages, la manière dont ils résonnent en nous, les thèmes abordés avec tant de subtilité, le trait particulièrement efficace et raffiné, les poèmes qui ponctuent la narration et l'ambiance qui se dégage de ce titre en font une véritable oeuvre d'art. Il faudra tout de même réserver cet ouvrage aux adultes tant certains thèmes sont durs et certaines planches un peu crues.

À la suite du Salon de l'Agriculture, quelques jours après les files d'attente de caresseurs de veaux, vaches, cochons, couvées s'en suit une autre sorte de public, les caresseurs fans d'auteurs et d'illustrateurs en tout genre. Les amateurs de livres des plus faciles aux plus ardus se donnent rendez-vous au Salon du Livre de Paris de vendredi 10h à lundi de 13h à 19h pour le grand public.

Notre site, sera bien entendu là grâce à la présence du directeur de rédaction Fred Ricou, qui animera sur les quatre jours, ateliers, rencontres, conférences et débats. D'autres membres du site seront dans les allées du salon, n'hésitez pas à leur faire un coucou si vous les reconnaissez !

La programmation "jeunesse" est ultra éclectique est permettra donc aux plus nombreux de prendre une bonne dose de plaisir.

Sur cette page, nous vous invitons à regarder le programme concernant la littérature jeunesse et par conséquent, nous vous donnons notre agenda :

Vendredi 20 mars :

Square culinaire (Stand R79)
De 10h30 à 11h30 
En cuisine avec Mamanchef !
Laura Annaert, auteure du coffret Les recettes de P'tit chef (Éditions Auzou) anime un atelier-dégustation pour apprendre la cuisine aux enfants. Au programme : Sablés & chantilly au vrai chocolat au lait. À partir de 6 ans Square culinaire (Stand R79)
De 11h30 à 12h30
Cuisine moléculaire et expériences culinaires
Confiture instantanée, mousse de fruits effervescente, œuf cubique, citron (très !) givré... Raphaël Haumont, chimiste, maître de conférences et collaborateur de Thierry Marx nous fait découvrir de surprenantes innovations culinaires, d'après son livre Le petit chimiste en cuisine (Dunod).
À partir de 10 ans Square Jeunesse (Stand U16)
De 13h30 à 14h30
Master Class avec le Labo des Histoires
Le Labo des histoires vous invite à une MasterClass gratuite avec Susie Morgensten qui nous parlera de son travail, de son univers, nous expliquera comment elle est venue à l'écriture et n'hésitera pas à vous donner ses meilleurs conseils et autres petits secrets pour améliorer votre écriture !
À partir de 9 ans (sur inscription) Square jeunesse (Stand U16)
De 15h30 à 16h30
Battle : Dessine-moi un mouton, improvisation d'illustrateurs en direct
Les éditeurs jeunesse du SNE proposent deux nouveaux duels d'illustrateurs/dessinateurs en 2015 à destination des grands. Rentrez dans les coulisses de l'illustration où les meilleurs illustrateurs dialogueront en « coups de crayon » pour créer ensemble en direct un dessin original inspiré de vos demandes, idées et suggestions. Les participants à ce duel sont Christine Roussey & Philippe Simon.
À partir de 11 ans (sur inscription) Samedi 21 mars : Square Jeunesse (Stand U16)
De 11h30 à 12h30
Aventuriers des temps modernes : les aventurières
Elles n'ont pas froid aux yeux, ne manquent pas d'atouts dans leur manche ni de panache dans l'action : les aventurières sont de plus en plus nombreuses dans la bande dessinée et la littérature jeunesse. A la rencontre de ces rôles-modèles féminins, d'un genre pas si nouveau, mais qui inspirent de plus en plus d'auteurs et de lecteurs. Avec Alessandro Tota (Dargaud) et Lenia Major (Talent Haut).
À partir de 7 ans (sur inscription) Square Jeunesse (Stand U16)
De 12h30 à 13h30
Duos gagnants
Noé et Azote, un chien qui pue et son maître…, autant de duos attendrissants qui fonctionnent et que l'on retrouve avec plaisir. Avec Mim (Magnard), Kim Bedenne (Pika) et Christine Roussey (la Martinière jeunesse).
À partir de 5 ans (sur inscription) Square Jeunesse (Stand U16) 
De 14h30 à 15h30
Cultissime : l'histoire des héros du journal de Mickey
Le Journal de Mickey fêtait ses 80 ans l'année passée. À l'occasion du salon, le journal prolonge la fête. Une rétrospective sur l'histoire du Journal de Mickey et sur ses héros, ainsi qu'une animation dessinée seront organisées, le tout en présence de Maximilien Chailleux éditeur chez Glénat, d'auteurs dont Patrick Weber auteur de la grande histoire du Journal de Mickey, Dab's auteur de Tony et Alberto et Fabrizzio Petrossi dessinateur Disney ainsi que de la rédactrice en chef du journal Edith Rieubon. Le Journal de Mickey et l'éditeur Glénat lanceront également un concours pour dénicher les héros de BD jeunesse de demain. Pavillon Cracovie & Wrocław (Stand P60) De 15h30 à 17h
Les héros de nos enfances Les deux écrivains Joanna Olech et Jean-Philippe Arrou-Vignod créent des romans amusants et fortement inspirés par leurs expériences d'enfant ou celles de leurs enfants. Ils évoqueront l'origine de leur imagination, leur création de livres pour enfants et les héros de leur enfance. L'on pourra aussi découvrir des caricatures croquées sur le vif par Joanna Olech. Dimanche 22 mars Square Jeunesse (Stand U16) 
De 10h30 à 11h30
Le livre augmenté c'est tendance
C'est difficile de quitter ses héros préférés quand on a fini son livre… Mais bonne nouvelle ! On peut continuer à les suivre grâce à de nouvelles applications rigolotes et ludiques disponible en numérique ! avec Jeanne Hély (Gallimard) et Coralline Pottiez (À partir de 5 ans) Square Jeunesse (Stand U16) 
De 12h30 à 13h30
Drôle de super héros
Des supers héros à l'humour décalé ! Rencontre avec Elsa Brants (kana), Sébastien Perez et Benjamin Lacombes (Albin Michel jeunesse). À partir de 9 ans Lundi 23 mars Square Jeunesse (Stand U16)
De 16h30 à 17h30
Quand l'Histoire se répète
Ils ont dit non. Non à l'homophobie, non à la discrimination raciale, non à l'oppression. Tous ont menés leur combat pour faire ce que nous sommes aujourd'hui. Muriel Zach sera accompagnée de deux auteurs de la collection « Ceux qui ont dit non » (acte sud) pour discuter du passé, du présent et du futur.
A partir de 11 ans