Captions sous titre

Twitteroman, le cyber-éditeur lance Kamuks, son premier titre

Du 29 septembre au 1er octobre 2023, l'Hôtel de Paris de Saint-Tropez accueillait la littérature le temps d'un week-end. Avec la remise du Prix du tritre à Violette d’Urso comme point culminant de l'événement.

Le Réseau Canopé est un éditeur de ressources pédagogiques transmédias (imprimées, numériques, mobiles, TV) destinées à la communauté éducative, mais également un organisateur d'ateliers de formation à destination des enseignants, un peu partout en France. Placé sous tutelle du ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, le Réseau en a surpris plus d'un en annonçant un partenariat avec... Amazon.

En marge du Festival d’Angoulême, les États généraux de la bande dessinée ouvriront leur deuxième session. Inaugurée l’année passée, cette réunion des professionnels du 9e Art s’ouvrait sur fond de polémique : la réforme du régime retraite des auteurs avait entraîné un besoin de mobilisation. Mais au-delà de ce mouvement, c’est tout un pan de l’édition qui manifestait la nécessité d’une réflexion posée sur son devenir.

Face à la tragédie, des voix s'élèvent contre la barbarie qui a voulu mettre à genoux la liberté d'expression. En tant qu’auteurs et éditeur, cette liberté de penser et de créer qu’on assassine est notre combat.

Depuis l'annonce du confinement, de nombreuses initiatives ont vu le jour pour remercier le personnel soignant en première ligne face à la pandémie du Covid-19 : collectes de fonds, dons en tout genre, vidéos de chant, messages, ou simplement applaudissements, à sa fenêtre ou au balcon, le soir à 20h. La maison d'édition Dupuis a décidé de s’associer à ce mouvement de gratitude avec son arme la plus puissante : la bande dessinée.

Dans le cadre de son programme 2019-2020 "Tous les savoirs - l’Université populaire de la BnF", la Bibiothèque nationale de France poursuit son cycle de conférences autour du thème de la politique et de son actualité. 

Coup de tonnerre durant le week-end : trois librairies du groupe Gibert Joseph allaient être mises en liquidation judiciaire, apprenait ActuaLitté. Une trentaine de salariés, sur les villes d’Aubergenville, Chalon-sur-Saône, et Clermont-Ferrand, était concernée. 

Vendredi matin, il y avait foule devant les différents Apple store. Et pour cause, les fans de la marque à la pomme trépignaient à l'idée de pouvoir bientôt tenir entre leurs mains le dernier-né des smartphones d'Apple, l'iPhone 5.

C'était à Chambéry, l'autre jour. Une des organisatrices du festival, Danielle, m'a dit: "Est-ce que tu connais Jean Meckert?" Non, bien sûr, je ne connaissais pas. Elle m'a regardé avec une certaine consternation, la même sans doute que doit prendre mon visage lorsque quelqu'un me dit ignorer le nom de Guérin. Puis elle a dit: "Lis-le, tu ne regretteras pas". De fait, je ne regrette pas, et c'est un nouvel ensablé qui revoit le jour. De retour à Paris, j'achète "Nous sommes tous des assassins" et regarde internet.

Au secours, l'ebook revient : sortez les camisoles, ils sont tous fous

Voilà quelques jours, un père de famille décidait de conduire ses enfants dans un espace Cultura. Seule consigne : « Prenez tous les livres que vous pouvez porter. » Pour lui, cette séance de shopping rendait hommage à son propre père, décédé avant d’avoir connu ses petits-enfants. Car, bien plus jeune, il lui avait offert le même cadeau : emporter tous les livres possible.

Les Éditions de La Différence vous souhaitent à tous une excellente année 2013.
Et pour s’assurer qu’elle commence sous de bons auspices nous vous invitons à découvrir en librairie, dès demain, nos deux dernières parutions :

Disney vient de bombarder la planète avec du bonheur en numérique : en 3’20 de pur plaisir, sont annoncées toutes les prochaines sorties Marvel. Un line-up, comme on le dit dans les milieux autorisés à parler en anglais, qui déroule un sacré tapis rouge…

Fondées avec Florent Grandin sur une idée de la traductrice littéraire Laura Derajinski, les éditions du Père Fouettard publieront leurs premiers titres à compter du mois de mai. Des histoires intelligentes, habilement illustrées qui souhaitent offrir aux enfants un moment de divertissement et folie… réfléchie. 

Menée de front par l'écrivain américain Ryan Boudinot, la ville de Seattle s'unit pour tenter d'obtenir l'appellation de « ville littéraire » auprès de l'UNESCO. Une campagne a été mise en place, composée notamment, outre l'écrivain, du maire de la ville, de plusieurs membres du conseil municipal et de représentants de grandes maisons d'édition américaines. 

La semaine dernière, la Cour de Justice de l'Union européenne a jugé que le prêt de livres numériques était assimilable au prêt de livres papier, « sous certaines conditions ». Parmi celles-ci, la rémunération « équitable » des auteurs dans le cadre du prêt de leurs ouvrages, ce qui réjouit particulièrement la Society of Authors : jusqu'à présent, les auteurs ne touchaient aucune compensation.

Que nous disent les “mots” des livres : au-delà de l’histoire racontée (ou pas…) dans les romans, que découvrirait-on en analysant tant par la sémiologie que la statistique, les titres, images et quatrième de couverture ? La société Motamorphoz s’est lancée avec les 107 livres retenus à travers 10 prix littéraires. 

Milan Presse lance Le Petit Prince Magazine, un nouveau titre uniquement vendu au numéro et présent tous les deux mois chez les marchands de journaux au prix de 4,95 €. Le premier titre sortira jeudi 20 octobre. On y retrouve comme un carnet de bord du célèbre héros, accompagné de son ami Renard. Leur but : retrouver le chemin de la précieuse Rose.

C'est tout à la fois hilarant de naïveté, et sidérant d'audace. L'éditeur Little, Brown & Company vient de faire parvenir aux libraires du pays un email, vantant les mérites d'un livre de 320 pages, de type non-fiction. Jusque-là, rien d'insolite ? Son titre : Untitled, écrit par : Anonymous. Gorgeous !

Il l’habille, l’identifie et le décrit : le titre est essentiel pour un livre. Le rendre unique et empêcher sa reprise peut représenter une priorité pour l'écrivain. Entre élément dissociable ou indissociable de son ouvrage, le titre d’un livre est appréhendé par le droit et permet sa protection dans certains cas bien précis. 

Le Grand Prix de la Critique Bande dessinée/ACBD a pour but de « soutenir et mettre en valeur, dans un esprit de découverte, un livre de bande dessinée, publié en langue française, à forte exigence narrative et    graphique, marquant par sa puissance, son originalité, la nouveauté de son propos ou des moyens que l'auteur y déploie ».

Le tribunal de Brest avait réclamé « la suppression immédiate, par tous moyens, de cette mention, sur tout exemplaire de l'ouvrage, sous astreinte de 50 euros par exemplaire distribué, offert à la vente ou vendu, à compter de l'exécution de la présente décision ».

Vincent Courcelle-Labrousse vient de publier aux éditions Slatkine & Cie Vivement la guerre qu’on se tue – un roman orienté noir, voire policier, évoquant la France des années 70, et la guerre d’Algérie. Mais en période de conflit ukrainien, il est des mots, comme le disait Cyrano de Bergerac, « dont on ne parle pas plus que de cordon dans la maison d’un pendu ». Le romancier nous livre sa vision des choses…

En 1939, au cœur de la Kabylie, un petit garçon affamé se bat contre les chiens sauvages pour pouvoir manger. Il s’appelle Mohand-Saïd Aït-Taleb. Au même moment, Albert Camus publie Misère de Kabylie, un reportage dénonçant les conditions de vie de la population kabyle pendant la période coloniale. Le fils de Mohand-Saïd, Xavier Le Clerc, dévoile aujourd’hui dans Un homme sans titre le parcours de son père, arrivé en France en 1962. Marqué par Camus, ce livre est une véritable tribune en faveur d’une génération broyée par la guerre, la torture, et le travail à l’usine.

Le jury du Prix du Titre, premier prix littéraire qui récompense non seulement un titre jugé bon, mais également l'unité d’une œuvre, a rendu sa sélection le 5 septembre dernier. Pour la première édition de cette récompense, quatre titres se disputent... le titre.

Doppelgänger ! Un livre, un titre, mais deux auteurs : une farce ?

New Moon change de titre pour devenir la Saga Twilight

Alors que la plus païenne des fêtes commerciales (ou inversement) peuple les devantures de citrouilles et d’évocations lugubroranges, Halloween sonnera le dernier jour du Mois de l’Imaginaire. Eh oui. Octobre, période désormais consacrée à ces mauvais genres méritait bien un coup de chapeau, avec ou sans tête. Avec une évidente Sympathy for the Devil, ActuaLitté rend justice à ces créatures mal-aimées que sont… les démons…