izneo Glénat ComiXology

Le New York Times a baptisé ComiXology le « iTunes des comics. » La plateforme, lancée en 2007, peut se vanter de plus de 100 millions de téléchargements. C'est l'une des apps les plus rentables dans le domaine aux États-Unis. Maintenant la firme se tourne vers le marché européen, pour trouver de nouveaux partenaires et de nouveaux clients. 

L'annonce est intéressante, parce que mi-avril, le grand concurrent de Marvel, DC Comics, a décidé de ne plus passer par la plateforme ComiXology pour la commercialisation de ses BD numériques. Et c'est ainsi avec Amazon que l'éditeur décidait de traiter directement, faisant suite à un accord de commercialisation exclusive sur certains titres. 

Le groupe Delcourt s’associe à ComiXology Originals. De cette manière, la maison d’édition pourra publier en français les titres de son choix, issus de la plateforme de distribution et de vente de bandes dessinées en ligne.

Devenue une filiale d'Amazon en 2014, la société ComiXology, pionnière dans la lecture de bande dessinée en ligne via une application, est dans le collimateur de la multinationale. Après une vague de licenciements en début d'année, l'outil de lecture fusionne à présent avec l'application Kindle.

La question des droits numériques n'a pas fini de faire couler de l'encre : en avril dernier, le SNAC BD, syndicat des auteurs, constatait « une politique du fait accompli » pour les créateurs. En effet, izneo venait de lancer son offre d'abonnement illimité pour quelque 10 € mensuels. Or, « cette offre n'a fait l'objet d'aucune préparation ni information concernant la rémunération des auteurs ». Le problème, c'est que même la vente au titre n'est pas toujours bien peaufinée…

La fidélisation des clients pour les acteurs du web donne lieu à des stratégies les plus fines. Chef de file, Amazon, semble donner le ton, avec la multiplicité de ses services. Depuis octobre 2016, Fnac a riposté avec sa solution Fnac+, le programme premium. Et toujours l’enjeu d’une séduction grandissante, à travers des offres réunissant plus d’options encore.

Dans un communiqué, la plateforme de distribution et libraire izneo annonce que les titres manga de Harlequin seront intégrés à l’offre. Un accord avec SB Creative Corp., filiale de SoftBank, a permis la distribution numérique de la collection manga.    

Le service de vente et d'abonnement pour des BD numériques Izneo vient d'ouvrir un nouveau service. En effet, après avoir mis en place une offre pour particuliers, la plateforme vient de se tourner vers les professionnels et plus particulièrement les médiathèque et bibliothèques. Celles-ci vont pouvoir profiter d'un catalogue qui sera consultable par les usagers, depuis les postes des établissements. 

L'offre était annoncée pour la fin de l'année 2011, et nous y sommes, ce 14 décembre, la plateforme de vente et de location de BD numériques d'Izneo est ouverte. Le service avait assuré en avril dernier qu'il tentait de mettre au point « une offre d'abonnement qui soit avantageuse pour les lecteurs et équitable au niveau de la répartition des revenus pour les auteurs ». Qu'en est-il ?

C'est une mutualisation importante, que viennent de réaliser Izneo, spécialiste de la BD numérique et Numilog, distributeur de livres numériques. Tous deux viennent de signer un accord concernant « la commercialisation de leurs catalogues de BD numériques ». Diffuseur et plateforme, main dans la main, pour des lendemains servis sur une tablette...

Dans un bref communiqué, le service de lecture numérique consacré à la BD, izneo, assure qu'il est aujourd'hui devenu « la première plateforme de bande dessinée numérique d'Europe ». Et après trois années d'exercice, la société publie une infographie-bilan pour affirmer un peu plus sa position. 

La plateforme de BD numérique Izneo continue l'accroissement de son catalogue en faisant signer deux éditeurs de plus, Huginn & Muninn, et Ici Même Editions. Deux entrants supplémentaires, qui apportent une note décalée, pour enrichir les 3300 titres numériques déjà proposés par Izneo. 

izneo, plate-forme de référence de la BD numérique, lance l’application gratuite BD comics, spécialement développée pour la lecture sur tablette Windows 8. BD comics est une application libraire proposant des milliers de BD à la location, achat ou abonnement.

Le distributeur américain, comiXology, développe son offre de BD numériques, en signant avec les éditions Glénat. C'est une salve de mangas prisés du public qui sera à retrouver dans les tablettes, Android ou iOS. Les oeuvres sont enrichies de la technologie Guided View de comiXology, proposant un modèle case-à-case ou pleine page. 

Le label de la maison Glénat consacré aux comics est désormais dirigé par Olivier Jalabert, qui remplace Thomas Rivière, le rédacteur en chef de Comics Place. Venu d'Ankama, qu'il a quitté fin 2013, Olivier Jalabert aura entre-temps été consultant indépendant, notamment pour l'exposition L'art des Super-Héros Marvel, au musée Art Ludique.

Le petit, mais turbulent Titeuf, créé par Zep, a depuis longtemps pris sa place parmi les personnages incontournables de la BD française : avec le magazine Tchô!, lancé en 1998 dans les kiosques, il a porté d'autres personnages et d'autres auteurs. 20 ans plus tard, et 5 ans après la disparition du mensuel de prépublication de BD, Tchô! fait son retour, mais s'appelle cette fois SuperTchô!...

La Galerie Glénat, située à Paris dans le 3e arrondissement, accueillera dès le 16 et jusqu'au 29 mai une exposition consacrée aux dessins de Nicolas Keramidas pour Donald's Happiest Adventures, un recueil d'aventures inédites signées avec Lewis Trondheim. Le 16 mai, pour le vernissage, Nicolas Keramidas réalisera un dessin en direct, qu'il sera possible de voir sur la page Facebook de la galerie.

La maison de vente aux enchères FauveParis organise le 16 novembre prochain une grande vente aux enchères centrée sur la bande dessinée à travers les pièces de la maison Glénat. Un demi-siècle de bande dessinée qui sera également raconté à travers une exposition qui s'ouvre ce 2 novembre.

#JapanExpo18 – Bien que la Japan Expo soit le festival de la culture japonaise, cette année la convention fait la part belle aux mangakas français. Les éditeurs accueillent plusieurs d’entre eux en dédicaces ou les étagères de leurs stands pour faire découvrir les noms montants de la publication made in France. Alors quand la plume européenne rencontre la bande dessinée japonaise, comment ça marche ?

Encore un coup de la Cinquième colonne ? Les éditions Glénat ont dû affronter une tornade, doublée — ô misère ! — d’une pétition, alors que s’avançait la publication de Niala. Cette bande dessinée érotique devait sortir le 10 mars. Mais, revirement, l’éditeur s'est retrouvé au milieu d'une vilaine polémique. Selon ses détracteurs, elle reprendrait « les principes des bandes dessinées racistes des années 50 ».

Du 8 au 28 septembre 2021, la galerie Glénat consacre une exposition personnelle à Frédéric Bézian. Une quarantaine d’œuvres originales, planches en noir et blanc à l’encre de chine et crayonnés, permettront de retrouver les traits du génie du crime, Docteur Radar. Et ce, à l’occasion de la parution de Morts à Venise, troisième et dernier tome de la série lancée en 2014.

En partenariat avec nos confrères de Sceneario.com, les éditions Glénat proposent à leurs lecteurs un petit sondage autour des possibles prochaines parutions dédiées à l'univers Disney. En répondant à ce petit questionnaire, vous donnerez quelques pistes sur vos attentes quant aux prochaines séries à sortir des presses.

Vite fait, bien fait, les éditions Glénat viennent d'annoncer un partenariat avec les studios d'animation Dreamworks, pour le lancement d'une nouvelle collection.

Fin juin, c'est le groupe Media Participations qui annonçait l'arrivée, pour janvier 2012, du catalogue complet - ou presque - de DC Comics, directement dans l'escarcelle de la maison Dargaud, qui quittait alors Panini Comics.

Depuis le début de la semaine, c’est une consternation qui s’installe. Les révélations parues dans la presse autour de l’affaire Panama Papers sidèrent littéralement – et dévoilent une véritable organisation mondialisée autour de l’évasion fiscale. Le modèle offshore dévoilé à travers les révélations n’en finit pas d’éclabousser les personnalités, dirigeants, politiques. Et dans le secteur de l’édition, un premier nom vient de sortir. 

La maison d'édition belge MAD Fabrik rejoindra le groupe Glénat à partir du 1er janvier 2014, et ce dernier gérera donc l'édition, la gestion des droits audiovisuels et le merchandising de Kid Paddle et ses dérivés, annonce un communiqué de presse. Née en 2009 avec les séries créées par l'auteur Midam, MAD Fabrik souligne qu'il est « cohérent et logique que [les maisons] mettent en commun leurs compétences et leur créativité dans ce domaine ».

Aux côtés de l'explorateur franco-suisse Christian Clot, la maison d'édition Glénat a créé une collection dénommée « Explora » et dédiée aux personnages plus ou moins célèbres qui se sont fait un nom en parcourant la Terre, rapporte l'AFP.

60 % de croissance de chiffre d’affaires – 108 millions €, contre 67,5 millions en 2020 : la maison Glénat se porte à merveille. Son résultat net augmente même de 150 %, à 24,2 millions €. Pour la nouvelle présidente du directoire, Marion Corveler-Glénat, maintenant aux commandes, 2022 ne manque cependant pas de défis.

Glénat fête les 20 ans du manga en France