covid relance economie

AVANT-PARUTION – Édouard Dumortier, fondateur de la start-up nantaise AlloVoisins, revient à travers son premier ouvrage Le futur de l’économie collaborative, sur les limites de notre modèle économique traditionnel. Il évoque aussi l’accélération de l’économie collaborative à l’heure de la crise sanitaire et économique. 

La formule de Marc Andreessen a fait des ravages : « Pourquoi les logiciels ont mangé le monde ? » Concise, fulgurante, cette conclusion observait tout simplement le mouvement en cours. Les start-ups montées sur internet dévorent littéralement la toile, et notre quotidien. Dévorent, ou facilitent, c’est selon, mais explorent la Share Economy, l’économie du partage. Sauf que, qui partage quoi ? 

Cette année, le Forum d'Avignon s'intéresse aux pouvoirs de la culture, et, indéniablement, la collecte et l'exploitation des données personnelles et autres data est devenu une activité indispensable à un commerce culturel couronné de succès. Une étude du cabinet EY étudie la façon dont ces données sont collectées, et pourquoi les « worthy data », autrement dit les données culturelles, valent de l'or.

Le sujet avait été évoqué durant la Commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale : pourquoi ne pas sanctionner par une TVA plein pot l'offre de livres numériques des écosystèmes propriétaires ? Attendu que ces derniers vendent une licence d'utilisation, et non un fichier numérique, il serait bon de les distinguer. Et de ce fait, de faire la part belle aux offres sans DRM, et ouvertes. En somme, interopérables.

Interrogé par la Maison de la Francophonie sur l'opportunité de créer une Fondation de la Francophonie pour l'économie, le candidat socialiste à la présidentielle s'est dit en tout point favorable à l'idée, rapporte l'AFP. Resterait ensuite à réfléchir à sa mise en œuvre concrète.

Éric Besson au service de l'économie numérique

Économie : La littérature classique vient à la rescousse

Économie en berne ? Fréquentation des bibliothèques en hausse

Passionnée par les livres depuis son enfance, Gwenaëlle Bel a donné vie il y a quelques mois à la librairie La Forge, située en plein cœur de Marcq-en-Barœul.  Dans une ancienne forge de Marcq-en-Barœul, la chaleur lourde du métal en fusion a laissé place à l’odeur légère du papier. C’est dans ce local atypique, au cachet certain, qu’une librairie a ouvert ses portes le 29 juin dernier.

Comme prévu, le service de lecture de la SNCF fait sa rentrée, avec une formule totalement gratuite. Après une année d’expérimentation, e-Livre devient pleinement gratuit, et propose désormais de nouvelles fonctionnalités.

Le retour à une activité normale est loin de se profiler : la réouverture des librairies devrait s’opérer le 11 mai, dans des conditions encore à définir. Les ministres ont chacun planché sur un plan de retour, post-déconfinement, mais rien n’est encore communiqué du côté de la rue de Valois. Alors, malgré l’incertitude, les distributeurs se remettent en ordre de marche.

Le grand patron de la maison éponyme, Antoine Gallimard, vient d’adresse un message « de solidarité et de responsabilité ». Présentant la holding Madrigall comme « le partenaire historique des librairies indépendantes », il rappelle que près de la moitié de son activité s’effectue dans les boutiques. Plusieurs mesures de soutien sont présentées, et non des moindres.

Ce lundi 28 septembre, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot-Narquin a présenté le projet de loi de finances 2021 pour la culture et les médias, détaillant au passage le plan de relance destiné au secteur du livre. Bibliothèques et librairies sont concernées par les aides mises en place pour faire face à la crise provoquée par le coronavirus.

Amorcé en juillet dernier, le plan de relance piloté par le Centre national du livre était doté de 25 millions €. Ce fonds de soutien destiné à la librairie française a vu 4 millions € attribués, indique le CNL, selon les validations de dossiers examinés par le comité chargé des demandes d’aides. La prochaine date pour la demande d’aide est fixée au 30 septembre. Avis, avis…

Trois millions d’euros, pris sur les crédits du Plan de relance, sont abondés à l’enveloppe d’un appel à projets bien spécifique. Il concerne les Quartiers culturels créatifs, ou QSCC, et s’ouvre pour une période de deux années. Cette expérimentation, que porte le ministère de la Culture, s’articule autour de deux objectifs : accompagner la dimension entrepreneuriale de leurs résidents et promouvoir l’offre culturelle.

Le gouvernement du Québec et ses 400 millions $ promis a-t-il oublié les auteurs ? Dans sa présentation de l’aide aux industries culturelles, la ministre Nathalie Roy, listait plusieurs mesures bien fléchées. Cependant, le plan de relance provoque quelques réserves chez les écrivains.

« La réponse du gouvernement est attendue dans les prochaines heures », assurait un communiqué diffusé en début d’après-midi. En effet, la Société des gens de Lettres a diffusé une liste de revendications portées auprès du ministre, pour « que les auteurs ne soient pas oubliés du plan de relance pour la culture ».

Les Good Luck Trolls ont marqué plusieurs générations aux États-Unis. Ces petits bonshommes à la crinière fluo (rose, jaune, vert,...) s'apprêtent à envahir de nouveau le marché des figurines et même les salles obscures. L'éditeur de comics Dark Horse, qui a obtenu les droits, vient de les ressortir du placard

Le groupe de luxe PPR, vient d'annoncer ses résultats financiers : des bénéfices nets, en hausse de 5,9 % et des ventes qui grimpent de 17 %, au-dessus de toute espérance d'après les analystes, essentiellement grâce aux marques de luxe comme Gucci et Yves-Saint-Laurent. Seule la Fnac est en baisse chronique et bénéficiera d'un plan de relance.

La campagne de redémarrage de 52 titres par DC Comics a porté ses fruits avec, on l'a déjà constaté d'excellentes ventes. Une opération parfaitement réussie donc, mais il semblerait que DC ne soit pas le seul éditeur à en avoir profité.

Après l'ouverture de Google eBook, la librairie en ligne, le géant de la recherche sur Internet s'est offert un petit cadeau avec ses étrennes, la société eBook Technologies. La firme spécialisée dans l'environnement numérique du livre est une acquisition intéressante, à plus d'un titre.

La série TV Sherlock Holmes relance les (faibles) ventes des livres

Le Nook de Barnes & Noble relance la question de l'ePub

France : La relance a un plan dont on prend les mesures

Plan de relance de l'enseignement supérieur et recherche : des sous !

Voilà deux jours, après avoir lancé l'idée d'une commission pour analyser le risque de piratage des livres électroniques, Monsieur Sarkozy a reçu le Syndicat national de l'édition pour un tour de table. Ce dernier devra aboutir dans deux mois sur des propositions permettant d'accroître la présence des livres à travers la publicité audio-visuelle, mais également de créer une émission littéraire.

Les conditions de travail actuelles nécessitent des adaptations, indique le gouvernement qui a pris différentes mesures. En effet, que ce soit au niveau économique et social, quelques réponses sont apportées pour les salariés et les entreprises. Une communication que le Syndicat national de l’édition s’empresse de faire suivre à ses adhérents.

Elle était pourtant confortablement installée dans le Duché, dans le centre-ville de Luxembourg. Mais elle n’aura pas résisté à la crise sanitaire, et la gérante se retrouve donc à brader son stock. L’établissement aligne les promotions, avec une résolution inéluctable : la fermeture des portes pour la Librairie française. 

Les bibliothèques et médiathèques du pays, tout comme leurs usagers, se sont habituées à vivre avec les restrictions sanitaires et autres règles visant à préserver la santé de tous. Les associations professionnelles effectuent un travail d'avant-garde pour définir les comportements à suivre, validés ensuite par le gouvernement. Ce dernier propose ainsi des recommandations sanitaires mises à jour pour les bibliothèques territoriales.