rentrée scolaire manuels

l’Unef voulait rencontrer la ministre de l’Enseignement supérieur et de la rechercher pour forcer le gouvernement à tenir sa promesse d'un 10e mois pour les élèves boursiers.

Selon le syndicat, « il y a un vrai décalage entre le manque d'annonces et de garanties et ce que vivent les étudiants dans les universités (...) Dans ce contexte, le silence de Valérie Pécresse est coupable ».

Une annonce entendue puisque l’Élysée a annoncé que les étudiants toucheront neuf mois et demi de bourse cette année et dix mois l’année suivante. Dans le même temps, les parents d’étudiants déclarant leurs enfants sur leur fiche de paie pourront continuer à cumuler APL et demi-part fiscale.

Une décision qui prend en considération les « préoccupations exprimées par les représentants de partenaires sociaux et par les représentants des organisations d’étudiants », a indiqué l’Élysée.

Qui précise par ailleurs que ces dépenses sont à envisager comme des investissements dans la formation des jeunes. Au cours de cette rencontre, le chef de l’État s’est engagé à ne pas toucher au régime des étudiants rattachés au foyer fiscal de leurs parents.

C’est à l’issue d’une réunion avec Valérie Pécresse que Nicolas Sarkozy a décidé d’allouer cette bourse supplémentaire aux 565.00 étudiants bénéficiaires. Une annonce qui officialise la promesse du président en 2009 de verser un mois supplémentaire à condition que s’opère un meilleur contrôle sur l’assiduité des étudiants.

Mais surtout l’établissement d’une année scolaire sur dix mois.

A partir du 17 juin 2010, les candidats au baccalauréat plancheront sur les sujets. Si certains arrivent devant les copies à l’âge « normal », entre 17 et 18 ans, d’autres n’ont guère eu le temps de beaucoup user le fond de leur pantalon sur les bancs de l'école.

Nos confrères de l’AFP sont allés à la rencontre de la plus jeune des candidates pour la session 2010. Déesse Dji'Ala, à peine âgée de 14 ans, se trouve en terminale S option mathématiques alors que ceux qui sont nés la même année se traînent généralement encore au collège…

Scolarisée au sein du lycée Camille Saint-Saëns, Déesse bénéficie de bonnes conditions de travail au sein d’une terminale à l’effectif allégé. En effet, on ne compte dans sa classe que 18 élèves.

Du côté de la direction de l’établissement, on ne tarit pas d’éloges à l’attention de la jeune fille qui ne se fait guère remarquer, si ce n'est pour la qualité de son travail. Certains lui prédisent même l’obtention d’une mention pour celle qui hésite encore entre des études de médecine ou de sciences politiques.

Un cursus peu banal pour cette élève qui a effectué une partie de sa scolarité à Yaoudé, au Cameroun. Depuis son arrivée en France en 2005, son avance scolaire n’a fait que se confirmer chaque année passant. Pour preuve, elle se trouve aujourd’hui dans la même classe que sa sœur, âgée elle de 16 ans…

« Connaissez-vous Carmen, la petite poulette qui en a sous la crête ? Son frère Carmélito, le téméraire petit poulet rose ? Leurs copains Coquenpâte, Coqsix, Molédecoq, Hucocotte et les autres agités du poulailler ? Voyages, humour, émotion, frisson et fantaisie … Voilà ce que vous trouverez dans le collector des quatre premières aventures des P'tites Poules. »

Cet album contient La petite poule qui voulait voir la mer, Un poulailler dans les étoiles, Le jour où mon frère viendra et Nom d'une poule on a volé le soleil ! Chaque histoire renferme un double niveau de lecture qui permet, si on le désire, de découvrir un épisode historique, un fait scientifique ou le mythe du minotaure comme dans le dernier opus de la série.

Il est rare actuellement de trouver des ouvrages sachant aussi bien mélanger les genres de manière intelligente et intéressante. Par exemple, dans le premier volume, une petite poule va croiser, en pleine mer, la route de Christophe Colombes et trouver l'Amérique en même temps que lui. Il ne tient qu'a vous de compléter ces connaissances.

Mais ce n'est pas la moindre des qualités que possède cette série. Que ce soit dans les textes ou dans les dessins l'humour est omniprésent et les situations complètement farfelues, comme cette classe d'extraterrestre en voyage scolaire sur Terre.

Vous pouvez aussi retrouver toutes leurs aventures dans des volumes individuels, actuellement au nombre de huit. Ce n'est pas une obligation, plutôt un conseil, mais il est plus intéressant de lire leurs histoires dans l'ordre. Alors, bonne rigolade …

Né en 1920, Roger Weil a consacré sa vie à la librairie. Il commence sa carrière de libraire lors de la mobilisation de son père en 1939 dans l’établissement familial créé en 1880. La librairie, installée dans le 9e arrondissement de Paris, est alors spécialisée dans le scolaire. Elle s’élargira à la littérature après la guerre.

Roger Weil travaillera quinze ans aux côtés de son père avant de prendre la direction de l’établissement en 1960. C’est en 1989 qu’il cède les lieux, par manque de suite familiale, au Grand livre du mois. Maintenant se trouve un magasin de vêtements là où prospéra pendant des décennies cette auguste librairie.

Roger Weil a occupé également un rôle important dans le syndicat de sa profession. En 1961, il prend la suite de son père au comité directeur de la FFSL (Fédération française des syndicats de libraires). Il assurera pendant plusieurs années la fonction de président du Syndicat des librairies de Paris et d’Ile-de-France.

En 1968, il a participé, aux côtés de Pierre Decitre, Gérard Doucet et quelques autres, à la création de la société coopérative des Librairies L, dont il a été le président pendant 17 ans.

Croix de guerre 1939-1945, Roger Weil était aussi Chevalier des arts et des lettres. Avec lui s’éteint une part de l’histoire moderne de la librairie. Mort à l’âge de 87, le libraire Roger Weil sera enterré au cimetière du Montparnasse, à Paris.

Des temps forts présentés par TiJi au profit des Toiles enchantées. Une exposition et un livre de 30 personnalités avec leur doudou. (illustration Omar et Fred)

Retrouvez aussi la parade des héros de TiJi, avec TiJinou, TiJibelle, et Charlotte aux Fraises, les samedi, dimanche et mercredi à partir de 14h.

La chaîne Gulli mobilisera les enfants et toute la famille en faveur de l’écologie de manière ludique et éducative !

La sélection des 20 coups de coeur des librairies Sorcières.

Un cadavre exquis géant réalisé par des grands noms de l’illustration ou de la BD présents sur le Salon

les 10 ans des éditions Bragelonne(« bite litt » et fantasy)

Les 10 ans de Pika Editions
le Pavillon des 30 ans du Salon
Des auteurs stars venus du monde entier pour célébrer l’anniversaire du Salon : Paul Auster, Amélie Nothomb, Joann Sfar, Enki Bilal, Frédéric Beigbeder ou Anne Robillard !

• Le Camion des mots… en démonstration sur le stand L’Express/Lire/RTL pendant toute la durée du Salon et en application sur le stand du Centre national du Livre - CNL, le dimanche 28 mars de 14h à 17h.

De manière ludique et pédagogique, les enfants répondent à des questions de français sur des ordinateurs : grammaire, conjugaison, vocabulaire…

Retrouvez plus de 300 jeux, énigmes et devinettes, par niveau scolaire du CE2 à la troisième.

Chaque année, le Camion des mots sillonne les routes de France et accueille plus de 35 000 enfants accompagnés de leurs professeurs.
Pour tout renseignement : www.camiondesmots.com

Les quartiers, ou plus communément nommés 'tié-quar' dans certaines proses hip-hopesques... Comment inciter les enseignants à venir y travailler et surtout, selon l'intitulé du rapport publié par l'Institut Montaigne, comment trouver Des initiatives locales pour déghettoïser les quartiers ?

Après « plusieurs mois d'enquête sur le terrain », l'Institut a trouvé une possibilité : le quartier des Bosquets, situé à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, représentait un échantillon significatif des problématiques posées et même plus encore, ont estimé Maurad Cheurf, ancien habitant et Jean-François Rial, les coauteurs.

Avec 7000 habitants - et plus de 50 % âgés de moins de 20 ans - l'endroit exploserait les chiffres nationaux du chômage : 25 % quand le pays est en moyenne à 8,7 %. Pour motiver les enseignants, seule échappatoire, la prime de 100 % du salaire de base.

Le rapport présente 13 autres propositions, touchant à divers secteurs : emploi, santé, transport, formation, afin de sortir les quartiers de la tension dans laquelle ils sont instinctivement jetés. Pour ce faire, les directeurs pourraient être amenés à recruter eux-mêmes le personnel scolaire, jusqu'aux enseignants.

De même pour les entreprises qui seraient invitées à recruter localement par le biais d'un centre implanté directement sur place et en relation avec les entrepreneurs. « Il s'agit de démontrer que sur le terrain, par des initiatives locales, il est possible de faire évoluer les choses dans le bon sens. De telles mesures, si elles prouvent leur efficacité ici, pourraient être répliquées ailleurs », explique en préambule l'Institut.

Réalisée au début de l’année 2008, cette enquête s’intéresse à la position des enseignants par rapport à la prévention routière. Les accidents de la route restent perçus par les professeurs comme le risque majeur pour les jeunes, bien avant le suicide, l’alcool et les autres drogues.

Les enseignants montrent une bonne connaissance des chiffres, même s’ils ont tendance à sous-évaluer le nombre de morts sur les routes ayant moins de 25 ans. Majoritairement les enseignants pensent que les élèves sont maintenant mieux sensibilisés aux risques de la route qu’il y a dix ans et ce notamment grâce au « grand chantier » lancé en 2002 par le Président de la République.

Des enseignants volontaires et impliqués dans la prévention :

Pour 82 % (contre 84 % en 2001) des enseignants interrogés l’éducation routière fait partie des missions de l’institution scolaire. 60 % pensent aussi que l’obtention du permis de conduire est importante pour permettre l’insertion professionnelle.

Les enseignants sont aussi majoritairement favorables à l’intégration dans le volume horaire existant de l’éducation routière. Ils sont près de 80 % à penser qu’une plus grande place réservée à la prévention routière dans les programmes aurait une incidence réelle sur les chiffres des accidents de la route.

Le corps enseignant estime majoritairement que la prévention routière fait pleinement partie de ses missions d’enseignement. Si vous voulez retrouver d’autres indicateurs et le détail complet de cette étude, vous pouvez retrouver ici l’intégralité de ce document sous format PDF.