Le débat sentait gentiment la naphtaline, et ne se retrouvait plus que dans les pages Culture du Figaro. Après, c'est Jean d'Ormesson qui le dit : « Le Figaro, pour la littérature, c'est désastreux. » Pourtant, profitant de la Foire du livre de Londres, la question est revenue : les éditeurs vont-ils mourir ?