Un vilain nuage, informatique, avait obscurci la rentrée littéraire 2014. Sur les quelque 600 romans qui sortaient à cette époque, une petite tripotée d’entre eux s’était retrouvée en libre téléchargement, dans la plus totale illégalité. Le service s’appuyait sur OneDrive de Microsoft, le service de cloud de la firme. Une masse de 7 Go d’ebooks, et plusieurs dizaines de nouveautés. Et la rentrée 2015 alors ? Eh bien, piratée aussi...