musee orsay expositions

En 2021, le Musée national de l’Éducation s’associe aux célébrations nationales du bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert en s’intéressant à la formation intellectuelle de l’auteur de Madame Bovary, ce roman qui débute par une remarquable et célèbre scène scolaire : « Nous étions à l’Étude, quand le Proviseur entra, suivi d’un nouveau habillé en bourgeois et d’un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris dans son travail... » Rendez-vous du 3 juillet au 31 octobre !

Le génial illustrateur du XIXème siècle Gustave Doré (1832-1883) fait l'objet d'une première rétrospective au sein du Musée d'Orsay. Cette exposition intitulée « Gustave Doré, l'imaginaire au pouvoir », est visible jusqu'au 11 mai 2014.

Actuellement, les grands musées nationaux, très fréquentés par les touristes étrangers, ne sont pas ouverts tous les jours de la semaine. Ainsi, le musée du Louvre ferme le mardi quand c'est le lundi que les portes sont closes pour le musée d'Orsay comme pour le château de Versailles.

Vieille de plusieurs siècles, la diplomatie à la française jouit d’un statut particulier dans le monde. Quelle est la spécificité française ? En quoi consiste le rôle de ministre des Affaires étrangères ? Quelles sont ses marges de manœuvre ? 

Arthur Vlaminck, le conseiller du ministre des Affaires étrangères en charge du langage, doit préparer les nouveaux discours du ministre. La crise du Lousdem est au coeur des préoccupations : les Américains menacent de déclencher une guerre à laquelle s'opposerait le gouvernement français. Le ministre, Taillard de Worms, s'apprête justement à prendre la parole à ce sujet au siège de l'ONU, à New York. Mais toute cette agitation ne semble guère perturber un nouvel hôte du Quai d'Orsay : un chat qui s'est pris d'affection pour le directeur de cabinet !

Signés Christophe Blain, pour les dessins, et Abel Lanzac (pseudonyme d'Antonin Baudry) pour le scénario, les deux tomes de la bande dessinée Quai d'Orsay (Dargaud) ont connu un grand succès dans l'Hexagone. Mais, à partir du printemps 2014, cette série part à la conquête des pays anglophones avec une traduction dans la langue de Shakespeare, rapporte l'AFP.

Avec la commémoration de sa disparition, il y a 40 ans, le grand de la bande dessinée qu'est René Goscinny sera largement célébré. Le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme organise une grande exposition, « René Goscinny, Au-delà du rire », à partir du 27 septembre et jusqu'au 4 mars 2018. Avec, à la clé, un grand nombre de documents inédits.

À l’occasion de l’exposition qui se tient en ce moment, jusqu’au 1er mars, au Musée d’Orsay et intitulée Huysmans critique d’art – De Degas à Grünewald, les éditions Gallimard publient de nombreux livres autour de cet homme particulier et controversé.

Orsay célèbre le poète Baudelaire le dimanche 24 octobre 2021 à l’Auditorium du Musée d’Orsay avec le prix Goncourt 1992, Patrick Chamoiseau. L’auteur de Texaco réunira pour l’occasion musicien et penseur pour explorer l’œuvre de l’auteur des Petits poèmes en prose.

Il faut croire que la politique est un sujet qui intéresse, voire même qui passionne : la bande dessinée de Christophe Blain, Quai d'Orsay, réalisa un véritable carton au niveau des ventes avec deux tomes très bien accueillis. Une adaptation cinématographique avait suivi dans la foulée, avec Bertrand Tavernier aux commandes. Une première bande-annonce permet de patienter jusqu'au 6 novembre. 

Coupes drastiques dans le budget culture du quai d'Orsay

À l’occasion de l’exposition « Renoir, père et fils » qui se tiendra au Musée d’Orsay du 06 novembre au 27 janvier 2019, les éditions du Chêne publient Les 100 tableaux qui racontent Renoir par Pascal Bonafoux, critique et historien de l’art, commissaire d’exposition et professeur des universités émérite d’histoire de l’art. 

Après les annonces de fréquentations record dans les musées du Louvre et d'Orsay (voir nos actualittés), c'est au tour du musée Guimet de dévoiler ses chiffres. Avec une hausse de 15 % en 2012 par rapport à 2011, l'établissement suit la tendance générale des grands établissements parisiens.

7ème parcours cinéma autour du film « Musée Haut Musée Bas »

Exclusif : Christophe Blain et Abel Lanzac ont réalisé deux tomes de la BD Quai d'Orsay, qui présente les dessous d'une vie politique rondement menée. Ce titre, tout à la fois satirique et critique, prend place dans le cabinet du ministre des Affaires étrangères. Haut lieu de la diplomatie...

Du 18 juin au 22 septembre, la peintre Berthe Marie Pauline Morisot fera les beaux jours du Musée d’Orsay avec une exposition dédiée à son œuvre. Cette femme, qui fut parmi les fondatrices de l’impressionnisme, compte quelque 400 toiles réalisées. Mais reste encore loin de la notoriété de Renoir, Degas ou Monet…

La librairie présente les divers catalogues édités lors d’expositions du travail de François Malbreil, de 1991 à 2011 (catalogues des Musées Goya à Castres, Bonnat à Bayonne, Ingres à Montauban, Augustins à Toulouse, Musée national de la Marine à Brest et Rochefort... et autres ). Quelques gravures seront également exposées à cette occasion.

Si le Musée d'Orsay a ouvert ses portes au Marquis de Sade, et fait l'événement, le Musée des Lettres et des Manuscrits rappelle qu'une exposition a également ouvert ses portes entre ses murs, depuis quelques jours. « Sade, marquis de l'ombre, Prince des lumières — Éventail des libertinages du XVIe au XXe siècle » permet notamment d'admirer le manuscrit en rouleau des 120 journées de Sodome ou l'école du libertinage.

À deux ans du centenaire de la mort de Guillaume Apollinaire, emporté par la grippe espagnole l’avant-veille de l’armistice, le Musée de l’Orangerie, en partenariat avec le Musée d’Orsay, consacre jusqu’au 18 juillet une merveilleuse exposition à l’auteur de L’enchanteur pourrissant. Gallimard a édité à cette occasion un magnifique catalogue qui consolera tous les provinciaux, empêchés de monter à la capitale ces derniers mois, de n’avoir pu plonger leurs yeux dans « le regard du poète » (Apollinaire : le regard du poète, catalogue de l’exposition au Musée de l’Orangerie [6 avril – 18 juillet 2016], Paris, Gallimard, 2016 – 322 p., 45 €).

Le Front de libération de la langue française a encore frappé : dans une nouvelle vidéo à l'acide, Mickael Korvin, auteur, et Morsay, rappeur, attaquent Patrick Poivre d'Arvor après avoir pris pour cible Erik Orsenna.

Après la polémique suscitée par la chanson d'Orelsan, Sale pute, un rappeur est à nouveau au centre de plusieurs réclamations. Il s'agit de Morsay et cette fois c'est l'incitation à la violence contre les forces de l'ordre qui est évoquée.

En effet, dans sa chanson J'ai 40 meufs, le rappeur chante « J’ai 40 meufs et j’ai toujours la dalle, c’est Morsay j’nique la police municipale ». Dans le clip de celle-ci, un groupe de rappeurs pointent des armes vers la caméra et tirent, ils font aussi avec le pouce le geste de trancher la gorge.

Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand a affirmé : « Dans son clip J’ai 40 meufs, le rappeur Morsay tient des propos intolérables notamment à l’encontre des forces de sécurité de notre pays » ajoutant la « liberté d’expression ne doit pas être le prétexte à des dérives incitant à la haine ou à la violence ».

Le ministre « en appelle au sens des responsabilités des dirigeants de radios, de chaînes de télévision et de sites internet » pour qu'il ne diffuse pas le clip. On se souviendra que lors de polémique autour d'Orelsan Mitterrand avait soutenu le rappeur. Il avait alors déclaré : « Je trouve toute cette polémique tout à fait ridicule. Orelsan exprime le dépit amoureux, avec des termes qui ne sont pas les miens, moi je ne parle pas exactement la même langue, mais il a tout à fait le droit de l'exprimer ».

De son côté, le SNPM (Syndicat national des policiers municipaux) souhaiterait voir des poursuites engagées contre le rappeur estimant que la vidéo n'était « faite que d’injures et d’incitations à la haine et à la violence ». Chacun se fera une opinion :

Le Néerlandais Willem, dessinateur satirique, âgé de 71 ans, vient de remporter, ce dimanche, le Grand Prix de la BD d'Angoulême, qui couronne cette 40e édition du FIBD. Cet après-midi, les organisateurs ont commencé à fermer les bulles, mais en parallèle, ce sont toutes les récompenses qui ont été décernées au cours de la journée. 

Sorti en mai dernier, Quai d'Orsay, chroniques diplomatiques, réalisée par Christophe Blain et Abel Lanzac, vient de rafler le prix RTL de la BD pour l'édition 2010 de cette récompense.

C’est à une exposition unique et jamais vue depuis le XIXe siècle que vous convie le Musée d’Orsay jusqu’au 23 juillet prochain. Sous la direction de Laurence des Cars, Stéphane Guégan et Isolde Pludermacher, Manet et Degas se donnent à voir, non pas à s’expliquer l’un par l’autre mais l’un avec l’autre dans une société en pleine mutation. 

Cet ouvrage d'un genre nouveau est né à la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image d'Angoulême. Art Spiegelman y avait carte blanche pour recréer sa propre constellation de la bande dessinée. Il a donc pioché au sein des fonds de la Cité de la Bande dessinée pour exposer ses références, ses inspirations, ses incontournables. Il en a fait une exposition, et maintenant un livre.

A l’occasion
des portes ouvertes
des ateliers d’artistes de Ménilmontant,
Venez découvrir dans nos vitrines de la librairie les travaux de
Gaëlle Brigardis.

Située au 6e étage du centre Pompidou, la librairie des expositions offre une sélection d’ouvrage en lien avec la programmation du musée. En travaux ces derniers mois, le lieu a fait peau neuve et s'ouvre de nouveau au public. La Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais associée au cabinet de design studio 5,5 a complètement repensé la boutique. Et ce, pour l’inscrire dans l’ADN du musée et le rendre modulable au gré des expositions.   

Du 9 décembre 2016 au 19 mars 2017, le Musée des Antiquités de Rouen proposera aux visiteurs de découvrir, ou redécouvrir, les collections médiévales et Renaissance des musées français à travers l'exposition « Trésors enluminés de Normandie ». 

Henri Beyle, qui prit le surnom de Stendhal en entrant en littérature a passé toute sa jeunesse dans la ville de Grenoble. C'est dans son autobiographie inachevée, Vie de Henry Brulard qu'il évoque les nombreux souvenirs qui le lient à cette cité.