droits bénéfices

La chaîne de librairies américaine vient de publier son bilan du deuxième trimestre, affichant une amélioration de ses bénéfices à hauteur de 13,7 % par rapport à l'an passé, atteignant 76 millions de dollars (avant EBITDA), pour les trois mois s'achevant au 26 octobre. Une progression obtenue malgré des ventes en baisse et une chute de 32 % de l'activité commerciale de son segment numérique Nook. Selon son président Michael Huseby, la firme se focalise désormais sur l'exécution de ses plans pour les fêtes de fin d'année.

Bien malgré le bras de fer opposant toujours Simon & Schuster à la chaîne de librairies Barnes & Noble, et qui a conduit le détaillant à réduire ses commandes de livres auprès du partenaire, les profits affichés par l'éditeur sont en hausse. D'après les chiffres du premier bilan trimestriel 2013, les ventes ont connu une baisse de 3 %, et auraient pesé 171 millions de dollars. La maison d'édition a su prendre ses mesures de compensation de perte, tout en négociant la résolution de son conflit avec le libraire.

Au Royaume-Uni, Amazon n'a pas failli à sa réputation d'optimisateur fiscal de haut vol : la principale filiale britannique de la multinationale n'a pas payé un seul centime d'euro au titre de l'impôt sur les sociétés, en 2021. Et ce, malgré des bénéfices en hausse de 60 %, pour atteindre 204 millions £, soit près de 250 millions €.

Le groupe d'édition britannique Pearson vient de communiquer sur ces résultats du premier semestre 2014. Les chiffres donnés ne sont pas particulièrement bons, avec un bénéfice qui s'inscrit en baisse. Le groupe explique cette situation par des coûts de restructuration qui s'inscrivent en augmentation. Les effets de change auraient aussi nui à l'éditeur, selon l'agence Reuters.

Toutes les librairies ne souffrent pas de la baisse de fréquentation. C'est du moins ce que semblent prouver les chiffres de la Banque de données des statistiques officielles québécoise. Ainsi, d'après le site québécois

Certains ont dû en manger cravate et chaussettes à Wall Street : la place boursière américaine ne revient pas des résultats financiers annoncés par Amazon. Pour son 3e trimestre, la firme affiche 73 millions $ de bénéfices, sur 25,4 milliards $ de chiffre d’affaires. Une situation totalement inhabituelle, au cours d’une période de vacances où le marché se réduit. Et Amazon a habitué ses investisseurs à des marges très serrées, mais là...

Amazon a obtenu des résultats trimestriels incroyablement bons, soulignent tous les économistes : pour un grand nombre d'entre eux, l'époque où la firme de Jeff Bezos n'enregistrait aucun bénéfice est bel et bien révolue. Difficile de les contredire, puisqu'Amazon a annoncé 2,53 milliards $ de bénéfices pour le second trimestre 2018. Et ceci n'est même pas le résultat de ses ventes.

Le Centre National du livre a présenté une grande étude sur le comportement de lecture des Français. Il s'agit de mesurer et de comprendre les habitudes, certes, mais également les réticences ou les difficultés qui peuvent se poser à une nation qui continue de revendiquer le plaisir du livre. Voici une synthèse complète de cette étude, Les Français et la lecture. La version complète est à retrouver

Les bénéfices de Sony plongent de 95 % mais quid du Reader ?

La multinationale Amazon a offert aux actionnaires un motif de réjouissances, le 3 août dernier, en publiant ses résultats pour le deuxième semestre 2023. La firme annonce en effet une hausse de ses ventes de 11 %, ainsi qu'un bénéfice net de 6,7 milliards $, quand la même période de 2022 était dans le rouge...

Droit européen : l'allongement de la protection des droits d'auteur est dans l'impasse

La société mère de Random House et des éditeurs Gruner + Jahr, Bertelsmann, a annoncé avoir réalisé un bénéfice opérationnel en légère baisse à 1,7 milliard d'€  en 2011 contre 1,8 milliard d'€  en 2010, une baisse d'environ 6% sur l'année 2010/2011.

Probablement que beaucoup d’entre vous connaissent ces droits imprescriptibles du lecteur, énoncés par Daniel Pennac dans Comme un roman. [NdR : Eh comment !]

Selon un rapport de l'association américaine des éditeurs (American Association of Publishers), la vente de livres numériques a dépassé, au mois de février aux Etats-Unis, la vente des livres de poches et beaux livres physiques.

Le groupe britannique Pearson vient d'annoncer un bénéfice en baisse sur le premier trimestre, à 43 millions de livres, soit 55 millions d'euros, là où, un an auparavant on était à 60 millions de livres. En revanche, le chiffre d'affaires progresse de 7 %, se montant à 2,58 milliards de livres, rapporte l'AFP.

Amazon : le chiffre d'affaires augmente, le bénéfice chute

Loi contre le téléchargement : aucun bénéfice pour les artistes

Les résultats financiers d’Amazon explosent : les chiffres du quatrième trimestre, clôturé le 31 décembre 2016, affichent une croissance de 22 %, à 43,7 milliards $. Avec un bénéfice d’exploitation de 13 %, à 1,3 milliard $, la société semble avoir de quoi garder le sourire. À l’image d’une année 2016 particulièrement faste.

Pour le leader de l’epaper, 2020 n’a pas la même saveur que pour la majorité des autres entreprises. Alors que tous les voyants sont au rouge et que le monde se prépare à une crise économique, le groupe enregistre des bénéfices record. E Ink Holdings réalise en effet son meilleur trimestre depuis 9 ans à une période de l’année traditionnellement lente. 

Le studio d'animation japonais, Toei Animation a revu ses prévisions de bénéfices à la hausse pour l'année fiscale en cours (qui s'achèvera en mars 2012). Plus précisément, le studio a revu à la hausse les rentrées sur la seconde moitié de l'année fiscale. Et si les prévisions sont justes, Toei pourrait enregistrer les plus gros bénéfices annuels de son histoire.

La London School of Economics and Political Science (LSE) s'y met aussi : l'honorable école publie une étude sur les effets de la mise en ligne des contenus culturels sur les revenus des artistes et ayants droit, concluant que celle-ci a été bénéfique, voire même très bénéfique pour le secteur. Et invite le gouvernement britannique à revoir sa copie dans le cadre du Digital Economy Act.

Dans son dernier communiqué, Jeff Bezos, s'adressant à ses actionnaires, tenait à rassurer tout le monde. Avec des ventes qui ont progressé de 22 %, pour 16,07 milliards $ durant le premier trimestre en regard de l'an passé. Mais parallèlement, le bénéfice d'exploitation a diminué de 6 %, avec 181 millions $, contre 192 millions $ l'an passé.

Le Conseil européen des associations de traducteurs littéraires (CEATL) a répondu à la consultation européenne sur le rôle des éditeurs dans la chaîne de valeur des droits d'auteur, et s'exprime notamment sur les droits voisins. La Commission européenne demandait en effet l'avis des acteurs culturels sur la création d'un nouveau droit voisin sur les oeuvres protégées par le droit d'auteur, au bénéfice des éditeurs.

Le groupe britannique Pearson enregistre un fort recul de son bénéfice net en 2012, à 326 millions de livres (soit 375 millions d'euros), rapporte l'AFP. Prévoyant une situation sensiblement similaire pour l'année 2013, le groupe, qui possède le Financial Times ou encore les éditions Penguin, s'engage dans un vaste programme de restructuration.

Amazon continue de progresser dans la plupart de ses marchés. Le géant américain annonce ainsi un bénéfice net de 28,8 milliards € en 2021, soit une hausse spectaculaire de 56,8 % sur un an. Néanmoins, Amazon a subi une perte d'exploitation à l'international de 924 millions $, due aux crises des chaînes d'approvisionnement. Ses activités de stockage dans le cloud, notamment, lui permettent de sauver la mise.

Le fair dealing est une exception au droit d'auteur au bénéfice des acteurs de l'éducation : écoles, universités, professeurs et élèves peuvent, sous certaines conditions, accéder et partager gratuitement des œuvres couvertes par la propriété intellectuelle. En 2012, la majorité des établissements canadiens a pu commencer à en profiter. Au grand dam des éditeurs scolaires, qui assurent que la réforme législative leur a coûté 30 millions $ de bénéfices.

Dernier acteur à se lancer dans l'impression, Interforum, filiale d'Editis dédiée à la diffusion-distribution, s'est doté d'un service d'impression à la commande baptisé Copernics. Une variante de la désormais bien connue impression à la demande, qui entend fournir rapidement et sans surcoût majeur des titres en attente de réimpression, directement dans les commandes des libraires. Un service accessible et profitable à tous, assure Éric Lévy, PDG d'Interforum.

Quelle manifestation sans auteurs ? La multiplication des formats de rencontres — dédicaces, master class, concerts dessinés, on en passe, et on en oublie — apporte une interaction nouvelle avec les lecteurs. Pour les auteurs de bande dessinée, ici concernés dans le cadre des journées pros qu’organisent les Rendez-vous de la BD d’Amiens, quelles solutions ? Tentative de déblayage, sur fond de revendication.

Un instituteur relaxé au bénéfice de 32 ans de carrière sans reproche