Simon & Schuster PRH

#ProcesAntitrust - Le groupe Bertelsmann, géant international des médias, prévoyait depuis plusieurs mois une extension considérable de ses actifs avec le rachat, par sa filiale Penguin Random House, de l'éditeur américain Simon & Schuster. Le véto du gouvernement américain, inquiet des répercussions sur la concurrence, a finalement payé : la transaction est purement et simplement abandonnée.

#ProcesAntitrust - L'opposition réussie du gouvernement américain au rachat de Simon & Schuster par le groupe Penguin Random House a secoué l'économie du pays : cette même administration part désormais en guerre contre le rachat d'Activision par Microsoft, dans le domaine du jeu vidéo. Du côté de Paramount, propriétaire désireux de vendre S&S, on recherche toujours un acheteur pour cet actif.

Donald Trump n’est pas seulement accusé dans plusieurs affaires plus ou moins graves, jusqu’à une possible inculpation future, pour « conspiration ». Il est également souvent accusateur : ce dernier intente cette fois-ci un procès contre le célèbre journaliste américain, Bob Woodward et son éditeur. Les avocats de Trump réclament près de 50 millions $ de dommages et intérêts…

Simon & Schuster fait les gros yeux à sa grenouille

GoSpoken vend les ebooks de Simon & Schuster sur mobile

L’accord entre l’agent de Stephen King, Chuck Verrill, et l’éditeur Simon & Schuster ne devrait pas changer grand-chose pour les lecteurs. En revanche, cela va rassembler la quasi-totalité des livres du romancier chez l’éditeur. Durant une vingtaine d’années, S & S a été l’un des éditeurs du King, et tous deux ont décidé de consolider leur relation. 

Le groupe d'édition américain Simon & Schuster annonce l'ouverture d'une filiale entièrement consacrée à la publication d'ouvrages destinés à la jeunesse musulmane. La production de Salaam Reads sera centrée sur des histoires faisant apparaître des personnages et des sujets proches de la foi musulmane : diversité ou communautarisme, l'éditeur voit en tout cas un fameux marché se profiler, et saute sur l'occasion.

L'Association des Bibliothèques Américaines (American Library Association, ALA) a ouvert son congrès annuel de Las Vegas sur une bonne nouvelle, puisque l'éditeur Simon & Schuster a décidé d'étendre son programme de prêt d'ebooks à tous les établissements américains. Une belle victoire, avec un éditeur longtemps réticent à ouvrir les vannes - et qui milite désormais pour qu'elles le soient encore plus.

Avec le concours d'auteurs populaires en leurs domaines de prédilection respectifs, allant des finances à la santé sans faire l'impasse sur la spiritualité, la maison d'édition Simon & Schuster lance sa plateforme consacrée à l'offre de

Simon & Schuster se souviendra longtemps de sa tentative de collaboration avec Milo Yiannopoulos, polémiste d'extrême droite raciste, sexiste et volontiers xénophobe. La maison d'édition tenait à publier son livre Dangerous, jusqu'à ce qu'une interview compromettante de l'auteur refasse surface. Depuis, Yiannopoulos s'est tourné vers l'autopublication, et attaque à présent Simon & Schuster en justice, réclamant 10 millions $ de dédommagements.

Les plus grands groupes éditoriaux du monde s'agitent et font monter la pression autour de Simon & Schuster, filiale du conglomérat ViacomCBS. Depuis la création de ce dernier, fin 2019, la cession de Simon & Schuster est évoquée, et ne devrait plus tarder à se concrétiser. Après Lagardère, le groupe Bertelsmann fait part de son intérêt, tout comme HarperCollins.

Ancienne journaliste du New York Times, administratrice des prix Pulitzer, Dana Canedy a été nommée éditrice chez Simon & Schuster. Elle prend le poste de vice-présidente exécutive, pour créer sa propre filiale éponyme. Une forme de révolution dans le milieu.

Caroline Reidy, PDG de la célèbre maison d'édition américaine Simon & Schuster a adressé un mail à toute son équipe concernant les estimations des ventes d'ebooks pour l'année 2011.

Voilà un moment que le semeur de Simon & Schuster avait envie de couvrir de ses petites graines le territoire canadien. Et un moment que cela lui était refusé. Oh, les raisons avancées par le gouvernement fédéral ne manquaient pas : elles tournaient simplement autour d'un protectionnisme qui n'aurait aujourd'hui plus cours. Ou, plutôt, moins de raisons d'être.

Depuis le 11 juin 2013, les libraires ont accès à une page spéciale du site de la maison d'édition Simon & Schuster, qui offre une visibilité totale des transactions effectuées, en plus de conseils marketing. L'annonce avait été faite juste avant le Book Expo America 2013. Ce service était particulièrement attendu puisque 800 comptes avaient été préenregistrés.

Les auteurs ont souvent du mal à obtenir les données de ventes de leurs livres, aussi la question du nombre d'ouvrages piratés semblait franchement hors de propos. Cependant, l'éditeur Simon & Schuster, qui travaille avec la firme Attributor depuis 2011, a décidé de partager ses statistiques de piratage avec ses auteurs et les agents.

Les trois éditeurs à l'origine du site de recommandation et de découverte de livres, Bookish, ont décidé qu'il était temps de revendre la plateforme, rapporte l'Associated Press. Hachette Book Group, Penguin Group et Simon & Schuster ont conjointement décidé de céder le site à Zola Books, librairie numérique.

Dernier éditeur majeur qui rechignait à tisser des liens avec les services de prêt américains dans l'optique de fournir une variété d'ebooks en bibliothèques, Simon & Schuster étend désormais son projet pilote initié depuis New York à une échelle plus vaste. Après Penguin-Random House, Hachette et d'autres maisons, l'éditeur a sélectionné une première quinzaine d'établissements du réseau OverDrive pour distribuer ses titres.

On remet tout à plat pour le début d'année, chez Simon & Schuster : la PDG Carolyn Reidy a fait parvenir aux employés de la maison un mémo où elle détaille la restructuration à venir. Les 6 filiales destinées aux publications adulte seront réduites à 4, afin de renforcer l'identité de la marque, et de nouveaux moyens seront mis à disposition pour les auteurs et les publications numériques.

Bien malgré le bras de fer opposant toujours Simon & Schuster à la chaîne de librairies Barnes & Noble, et qui a conduit le détaillant à réduire ses commandes de livres auprès du partenaire, les profits affichés par l'éditeur sont en hausse. D'après les chiffres du premier bilan trimestriel 2013, les ventes ont connu une baisse de 3 %, et auraient pesé 171 millions de dollars. La maison d'édition a su prendre ses mesures de compensation de perte, tout en négociant la résolution de son conflit avec le libraire.

Avec un nom pareil, personne ne doutera que Publetariat se présente d'emblée comme une plateforme engagée, destinée aux éditeurs et aux auteurs indépendants. Son slogan, « Ceux qui publient », termine de convaincre. Sauf les commerciaux de Simon & Schuster, et plus particulièrement de Vanity Press Archway, filiale qui publie uniquement à compte d'auteur, rapporte The Digital Reader.

L'ebook a la cote chez Simon and Schuster, avec une augmentation de 44 % des ventes au second semestre 2012, taux qui représente 21 % du chiffre d'affaires total de l'entreprise. Tout ça pendant que Penguin se morfond et maudit le succès de 50 Shades of Grey.

#ProcesAntitrust - En marge des résultats financiers de Lagardère, est revenue une question concernant l’intérêt du groupe pour Simon & Schuster. La structure américaine est actuellement ballottée par le ministère de la Justice, qui veut empêcher le rachat par Penguin Random House. Si cette transaction était rejetée, quelle serait la position de Lagardère ?

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Le fonds d'investissement américain KKR aurait une longueur d'avance dans les enchères pour le rachat du groupe éditorial Simon & Schuster, propriété de la corporation Paramount. La proposition tournerait autour de 1,65 milliard $, un montant largement inférieur à celui qu'avait mis sur la table Penguin Random House en 2021.

Bloqué par l'administration américaine, le rachat de Simon & Schuster par Penguin Random House, avorté, n'a pas totalement refroidi le groupe Paramount. Celui-ci cherche toujours à se séparer de l'entité éditoriale, et aurait trouvé deux repreneurs intéressés : HarperCollins et KKR.