Dans un monde parfait, Honoré de Balzac n'a pas eu de sang sur les mains, ne s'est jamais fait tourner en bourrique par une publication, La revue de Paris, qui dévoile les plus intimes parties de sa vie. Mieux (ou pire), la publication semble savoir quelles sont ses actions, de telle sorte que les voilà publiées et lues par le Tout-Paris, d'un matin à l'autre...