Recherche

Ils désertent

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Ils désertent

Ses collègues l'appellent l'« ancêtre » ou l'« ours », peu importe le surnom, pourvu qu'on lui concède sa vie de solitude sur les routes. Il est VRP en papier peint depuis quarante ans. Soudain, sa hiérarchie voudrait qu'il vende aussi des canapés. Mais quand il songe au temps qu'il a fallu à l'espèce humaine pour apprendre à se tenir debout, il juge cette évolution déshonorante. D'où lui vient une telle idée ? Peut-être de la correspondance de Rimbaud. Car, en chemin, toujours, il emporte les oeuvres du plus célèbre voyageur de commerce. C'est une toute jeune femme sans beaucoup d'appuis, elle ne doit son diplôme de commerce qu'à son mérite. Et elle vient d'être nommée à la tête de l'équipe de ventes !Salaire inespéré, qui lui a permis d'acheter à crédit un appartement trop grand pour elle, dont une pièce reste obstinément vide. Y installerat-elle un canapé ? Peut-être le jour où elle fera une rencontre amoureuse qu'elle ne jugera pas comme une menace. La première mission de la jeune femme est claire : licencier l'ancêtre sans délais. Ils devraient s'affronter. Mais l'être humain trouve parfois d'étonnantes ressources pour braver la logique d'entreprise en se réinventant un destin.

08/2012

ActuaLitté

Littérature française

Ils vont tuer vos fils

Guillaume, 15 ans, vit plus fort que les autres. Qu'est-ce que cela peut bien faire, qu'il mette des robes et danse devant sa webcam ? qu'il tombe amoureux de François et de Mathis et de Jordan ? Si sa mère a baissé les bras, la juge des enfants, elle, ne s'en laisse pas conter : Guillaume est envoyé en foyer puis en hôpital psychiatrique. Là-bas, sa vie change – fini les talons aiguilles de son alter-ego Raffaella, place aux médicaments et aux électrochocs. Mais même dans la léthargie de l'asile, le coeur de Guillaume bat plus vite que la moyenne et s'emballe pour un autre patient. Les deux garçons, affamés de liberté, s'en iront la dérober. Dans ce premier roman effréné, le héros flamboyant de Guillaume Perilhou a la fureur de vivre. Roman d'amour, étude sociale et quête identitaire poétique, la plume incisive de Perilhou démasque tout sur son passage.

08/2022

ActuaLitté

Théâtre

Ils étaient tous mes fils

Une banlieue américaine, un mois d'août de l'après-guerre. Joe Keller, grâce à son usine d'armement, affiche une réussite sociale emblématique du "rêve américain". Mais son fils Tom, pilote, est porté disparu. Et Kate, sa mère, attend son retour. Quand leur second fils, Chris, décide d'épouser Anne, la fiancée de Tom, tout bascule, et la triste vérité éclate enfin : la réussite de Joe Keller est fondée sur un crime.

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Ils étaient tous mes fils

" Je sais que tu n'es pas pire que les autres, mais je te croyais meilleur parce que, pour moi, tu n'étais pas un homme, tu étais mon Père. " Arthur Miller. Une banlieue américaine, un mois d'août de l'après-guerre. Joe Keller, grâce à son usine d'armement, affiche une réussite sociale emblématique du " rêve américain ". Mais son fils Tom, pilote, est porté disparu. Et Kate, sa mère, attend son retour. Quand leur second fils, Chris, décide d'épouser Anne, la fiancée de Tom, tout bascule, et la triste vérité éclate enfin : la réussite de Joe Keller est fondée sur un crime. Reflet du climat social et économique de l'après-guerre, Ils étaient tous mes fils possède déjà tous les ingrédients qui feront la réussite des pièces ultérieures d'Arthur Miller. Derrière la banalité quotidienne d'une famille américaine typique, le dramaturge nous fait entrevoir la tragédie.

04/2023

ActuaLitté

Littérature française

D'ils en îles... avec elle

"Ils", ce sont deux modestes personnages, elle et lui — un petit couple ordinaire qui connut, au-delà de ses peines et de ses tourments, de nombreux instants de bonheur avant qu'elle ne disparaisse, emportée par la maladie. Le mari s'abîma dans la dépression. Pour tenter d'atténuer ce choc dont il se remet fort mal, il s'attache à rapporter des souvenirs heureux et des joies communes, à la mémoire de celle qui partagea sa vie durant plus de cinquante-sept années. Le voyage auquel il nous invite a pour cadre quelques îles qu'"ils" visitèrent ensemble, et d'autres où il se rendit sans sa présence. Mais, bien que laissant parfois son "Ulysse de banlieue" satisfaire seul son besoin d'errance, elle ne quitta jamais l'esprit du voyageur. L'image de la femme aimée plane en permanence dans cette évocation où les deux coeurs se rencontrent et battent à l'unisson.

01/2021

ActuaLitté

Sectes

Ils ont tué ma femme et mon fils

En décembre 1995, la femme de Jean Vuarnet, Edith et son fils cadet, Patrick, 27 ans, périssent dans le massacre de la secte de l'Ordre du Temple solaire. Jean Vuarnet, champion de ski, raconte l'emprise de la secte et témoigne pour qu'un tel drame ne se reproduise plus. Le récit d'une longue descente aux enfers Jean et Edith Vuarnet forment un couple de légende. Il est médaille d'or de descente aux JO de Squaw Valley en 1960, elle aussi est championne de ski. Jean est fondateur de la station d'Avoriaz et la marque Vuarnet, qu'il a développée, prospère dans le monde entier. Ils ont trois enfants et ils lisent l'envie dans le regard des autres. Leur bonheur a duré plus de trente ans, jusqu'à ce jour d'octobre 1994 où tout a basculé. Ce jour-là, Jean apprend que son fils Patrick et sa femme Edith appartiennent tous deux à l'Ordre du Temple Solaire, dont 53 membres viennent de mourir dans d'atroces circonstances. Apparemment terrifiés par ce massacre, Edith et Patrick Vuarnet jurent de quitter la secte. Pourtant, un an plus tard, juste avant Noël 1995, Edith et Patrick disparaissent. Une semaine après, leurs corps sont retrouvés calcinés, dans le Vercors, aux côtés de quatorze autres membres de la secte. Après cette mort tragique, Jean Vuarnet tente de comprendre, et témoigne pour qu'un tel drame ne se reproduise plus. Préface inédite d'Alain Vuarnet. Première parution : éditions Fixot, 1996.

01/2023

ActuaLitté

Littérature érotique

Ils

Ils : deux garçons qui font l'amour. Ils n'ont pas d'identité, pas d'histoire, pas de psychologie, mais un corps aussi lisse qu'un marbre de Canova, un membre qualifié d'"idéal" . Il n'y a pas de décor, ou plutôt c'est n'importe quel décor, chambre, plage ou clairière moussue : la seule chose qui importe, c'est qu'ils puissent s'y étendre pour faire l'amour. On ne sait pas ce qu'ils se sont dit : ils se taisent lorsque cela commence. La voix, les mots entre eux n'ayant fait que préparer à l'amour : "ils entraient par la voix dans le plaisir de la chair". Maintenant ils sont dans ce plaisir. La description détaillée de cette scène d'amour, emblème de toutes les scènes d'amour, est le fil central du roman et détermine sa durée. Elle court du premier instant à la conclusion, sans rien dissimuler, rien arranger, rien oublier. Les deux garçons sont dans le présent de la chair, sa pureté. Ils se dissolvent dans le plaisir pris et donné. Au point que "il" est l'un ou l'autre, interchangeable, unique et double. Vertige des corps que l'écriture rend palpable, refusant d'identifier, de dialoguer, de séparer ce magnifique oubli de soi qui est le comble de soi-même et qui n'existe que dans l'amour sensuel.

01/2023

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Ils

Ils : deux garçons qui font l’amour. Ils n’ont pas d’identité, pas d’histoire, pas de psychologie, mais un corps aussi lisse qu’un marbre de Canova, un membre qualifié d’« idéal ». Il n’y a pas de décor, ou plutôt c’est n’importe quel décor, chambre, plage ou clairière moussue : la seule chose qui importe, c’est qu’ils puissent s’y étendre pour faire l’amour. On ne sait pas ce qu’ils se sont dit : ils se taisent lorsque cela commence. La voix, les mots entre eux n’ayant fait que préparer à l’amour : « ils entraient par la voix dans le plaisir de la chair. » Maintenant ils sont dans ce plaisir. La description détaillée de cette scène d’amour, emblème de toutes les scènes d’amour, est le fil central du roman et détermine sa durée. Elle court du premier instant à la conclusion, sans rien dissimuler, rien arranger, rien oublier. Les deux garçons sont dans le présent de la chair, sa pureté. Ils se dissolvent dans le plaisir pris et donné. Au point que « il » est l’un ou l’autre, interchangeable, unique et double. Vertige des corps que l’écriture rend palpable, refusant d’identifier, de dialoguer, de séparer ce magnifique oubli de soi qui est le comble de soi-même et qui n’existe que dans l’amour sensuel. Marie-Noël Rio.

10/2010

ActuaLitté

Critique littéraire

Project-Iles. Ile, identités, patrimonialisation

Penser l'île, penser les îles, penser la Corse (Alessandra d'Antonio) ou la Sardaigne (Dominique Cardinet), penser à travers chaque île et chaque îlien l'insularité de toutes les îles et de tous leurs îliens, un tel projet passe forcément par une étude des représentations plurielles et des intentionnalités singulières/collectives. Non seulement les figurations littéraires (ou cinématographiques, pour Philippe Ortoli) appartiennent au patrimoine culturel, mais elles fournissent des trames possibles pour vivre ce patrimoine, comprendre son actualité et lui tracer un avenir. D'une remarquable diversité, d'une incontestable continuité dans l'histoire des représentations, les figurations littéraires de l'insularité intègrent aussi bien les visages monumentalisés de l'Histoire Napoléon (Candice Obron-Vattaire) vient immédiatement à l'esprit que l'infime figure anonyme celle de l'exilé en particulier (Nestor Salamanca-Léon), dans un espace-temps qui appartient à la complexité. Car l'esprit passe vite de l'île géographique (Alexandra Bezert) à l'île historique et mythique (Françoise Graziani), et tout aussi rapidement à l'île métaphorique : ainsi de la scène de théâtre (Sébastien Lefait) ou le trope analogique (Joseph Dalbera). Aussi bien, la pensée de l'île ne saurait (est-ce un paradoxe ?) se contenter d'être elle-même une pensée insulaire. Elle s'ouvre incessamment par l'énergie du schématisme (Jacques Isolery) à une pensée péninsulaire, celle qu'Edgar Morin appelait de ses voeux. Cette revue s'est donné pour objectif de tracer quelques-uns de ces isthmes.

10/2013

ActuaLitté

Archéologie

Ils viennent d'Amérique pour bâtir l'île de Pâques

Un livre passionnant qui décrypte les mystères des géants de l'île de Pâques ! Après une expédition en 2017 en Bolivie sur les sites de Tiahuanaco et Pumapunku, il apporte la preuve scientifique que les blocs gigantesques à la précision micrométrique sont fabriqués en grès rouge et en roche andésitique artificiels, c'est-à-dire façonnés et moulés sur place. Or, sur l'île de Pâques, on trouve des murs dont les formes montrent le lien évident avec ceux d'Amérique du Sud. Comment les peuples sud-américains ont échoué sur l'île, comment et pourquoi ont-il bâti les premières statues avant l'arrivée des Polynésiens ? Avec sa découverte sur la nature artificielle des pierres des bâtisseurs des grands sites des Andes, Joseph Davidovits poursuit son hypothèse pour expliquer pourquoi l'Ile de Pâques a hérité de cette connaissance particulière, venue de l'Est, en accord avec l'hypothèse de Thor Heyerdhal.

06/2021

ActuaLitté

Policiers

Evolution. Ils sont parfaits. Ils sont incontrôlables. Ils vont nous remplacer

Le secrétaire d'Etat américain meurt lors d'une visite officielle à Munich. Au cours de l'autopsie, on découvre une marque suspecte sur son coeur — a-t-elle été causée par des bactéries ? Au même moment au Brésil, en Tanzanie et en Inde, les employés d'un géant de l'agro-alimentaire répertorient des plantes et des animaux d'un nouveau genre. En Californie, Helen et Greg font appel à une clinique spécialisée en biologie de la reproduction. Le médecin en chef leur parle d'un programme de recherche inofficiel, dont seraient issus des enfants hors du commun. Lorsque l'un de ces enfants disparaît, tout pousse à croire qu'il y a un lien entre ces mystérieux phénomènes de mutation ...

11/2019

ActuaLitté

Littérature française (poches)

JE... ILS...

De 1938 à 1945, Arthur Adamov a écrit toute une série de textes qu'il a réunis dans L'Aveu, publié en 1946. Depuis, il considère L'Aveu comme "le lieu secret de son ouvre et pourquoi ne pas le dire, un peu comme son water-closet". Il avait tenté dans L'Aveu de parler de ce qui toujours est passé sous silence : l'horreur sexuelle, les mille superstitions qui rongent l'intérieur de l'être... S'il a par la suite nié ou renié L'Aveu, ce n'est pas par pudeur mais parce qu'à l'aveu même il avait ajouté une justification métaphysique entre-temps refusée. Après avoir, dans L'Homme et l'enfant, suivi le cours de son existence sous tous ses aspects : amour, sexualité, argent, politique, etc, Arthur Adamov est revenu à ce qui est au centre même de L'Aveu : la scène de l'humiliation. Mais cette fois il n'explique plus, il ne se justifie plus. Au je romantique il substitue ils, ce masculin pluriel qui recouvre aussi bien le féminin. Il nomme les choses par leur nom, sans métaphores. Ainsi ces images faites de souvenirs réels ou imaginaires s'imposent- elles à nous avec l'évidence de la poésie.

02/1994

ActuaLitté

Théâtre

Mangeront-ils ?

Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de mise en perspective organisée en six points.

04/2010

ActuaLitté

Littérature française

Ils dorment

C'était un homme ordinaire, avec ses bonheurs, ses chagrins. Un homme qui voulait partir. Mais partir ne lui suffisait pas. Il lui fallait tout détruire, tout abolir, même les souvenirs. Et ainsi commettre l'irréparable envers sa femme et ses deux enfants. Un roman vrai sur le désespoir noir " Ils dorment. Ils sont là, près de moi. Clémence, ma femme, mon aimée. Pierre et Pauline, la chair de ma chair. Ils dorment. Rien. Aucune émotion. Le silence. Le silence qui m'effrayait petit à la campagne, le silence des non-dits, le silence de la peur qui dévore, de la mort qui rode. Le silence précédant le crime, le silence lui succédant. Le silence contenant tout un monde, la terre avant ses premiers frémissements, les voix qui se sont tues, la minute après le dernier soupir. Le silence ne m'effraie plus. Ils dorment. Et le jour va bientôt se lever. Je suis assis par terre, adossé au mur. Le plafonnier de l'entrée est allumé. Il trouble l'obscurité. Tout est figé. Et peut-être si je regagnais la chambre, tout recommencerait là où tout s'est arrêté. Rien n'aurait changé. Je me glisserais dans le lit, à côté de Clémence. Je plongerais dans le sommeil. Et demain, dans quelques heures, je descendrais dans la cuisine boire un café fort, les enfants passeraient rapidement avaler une tartine en restant debout, expédiant ainsi leur petit déjeuner. Ils récupèreraient leurs affaires et se dirigeraient vers la porte. Clémence boirait encore une gorgée de thé, reposerait sa tasse sur la table, attraperait son sac. Je file. A ce soir, mon chéri. C'était peut-être ça le bonheur. Ils dorment. Ils dorment pour toujours. Ils n'ont pas souffert. "

02/2023

ActuaLitté

Poésie

Ils restent

"D'où viennent nos pères ? Qui sont-ils ? Que transmettent-ils ? Et qu'attendent les fils ? " sont les questions que pose Eric Courtet. Les non-dits balisent nos vies le plus souvent, et nous faisons avec, reconstruisant notre propre histoire et celles de nos aînés. C'est ce silence qui est ici souligné avec ces portraits de pères et de fils réunis, de tous âges, un "arrêt sur image" qui puisse enclencher une narration pour le regardeur, en territoire intime - une autre vérité. Au-delà des ressemblances (ou leur absence) entre les sujets, c'est avant tout les jeux de regard, les postures et les gestes qui frappent. Tendresse ou dureté, pudeur, gêne ou affection, complicité ou timidité, malaise... ces sentiments, auxquels participent le décor et les tenues, ne sont pas donnés d'emblée mais évoqués par le hors-champ, l'au-delà de l'image. Derrière la frontalité apparente, quand bien même les sujets sont de dos, c'est une approche fragile de tous les noeuds éventuels, tous les secrets qui relient les pères et les fils ; les transmissions possibles ou rejetées, professionnelles ou de toutes sortes (le goût pour tel sport, la musique, la nature...) - en un mot : les racines, qu'on est invités à interroger, entre passé et futur, parce qu'ils restent, les pères, les fils. Les racines ou les sources... Marie-Hélène Lafon, dont on connaît l'obsession dans ses livres pour l'arrachement et l'attachement à une terre d'enfance, s'est glissée entre ces images pour y proposer sa propre narration, sa propre lecture des silences. Par petits blocs de prose dense (et deux poèmes), elle redonne parole aux fils, et peu importe qu'on puisse retrouver tel ou tel élément des images dans ces textes, ils ne font surtout pas légendes parce que ce qu'on entend c'est une voix, où affleurent sentiments et sensations toujours paradoxales - humaines. Proposant une mémoire à ces fils, elle nous invite à son tour, avec Eric Courtet, à interroger la nôtre, à regarder ces visages, ces attitudes à l'aune de notre propre histoire, en écho. A lire la fragilité des généalogies et des filiations, comme, des arbres, "[la] peau, [le] grain, [les] velours. [Le] silence".

03/2023

ActuaLitté

Romans historiques (poches)

Les oies sauvages meurent à Mexico

Ils s'appellent O'Reilly, Kelly, O'Connor... Ces "oies sauvages" ont quitté leur Irlande natale et gagné l'Amérique dans l'espoir d'une vie meilleure. Soldats aux Etats-Unis, victimes de discrimination religieuse, ils désertent pour combattre sous le drapeau du Mexique. En première ligne d'un conflit sanglant, ils se battent au péril de leur vie dans les plaines arides de Mexico.

06/2014

ActuaLitté

Extraterrestres

Ovnis guerre secrète. Qui sont-ils ? D'où viennent-ils ? Que veulent-ils ?

La Terre subit des ravages irréparables dus, notamment, à la surexploitation de ses ressources naturelles. La sécheresse et les inondations progressent, de nouvelles maladies infectieuses se développent inexorablement sur tous les continents. Si nous ne changeons pas notre mode de vie, si nous ne corrigeons pas rapidement nos erreurs écologiques et notre soif intarissable de produire toujours plus, l'espèce humaine est appelée à disparaître définitivement de la surface du globe. Or, le fait est aujourd'hui indéniable, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale notre planète fait l'objet d'une étroite surveillance de la part d'étranges vaisseaux aériens. Ce n'est dorénavant plus un secret, de petites navettes d'explorations cosmiques, appelées communément "soucoupes volantes", ou encore des appareils célestes triangulaires impressionnants parcourent quotidiennement les cieux de toutes les nations. Dans quel but ? Quel est leur véritable dessein ? Pourquoi ceux qui dirigent ces appareils kidnappent-ils des humains et leur font-ils subir des expériences biologiques douloureuses sans exprimer la moindre compassion, la moindre humanité ? Que veulent-ils ? Que convoitent-ils exactement ?

03/2023

ActuaLitté

Poésie

Ils ressemblent à des arbres et ils marchent

Devenir poète après une carrière d'enseignement dans l'économie surprendra ceux qui pensent que la poésie est affaire de rêve et d'irréel. Bien au contraire : elle est plutôt attente des éveils et lecture du monde environnant, à chaque redonné comme une promesse de l'ailleurs. Ainsi parle Marie-Hélène Soulier dans un recueil longuement travaillé, arpenté comme les terres de Corrèze où elle réside. Et ainsi, se transforment en échos familiers les grondements des eaux du ciel : En exutoire à l'impatience des orages Ecouter dans l'instant Unique et consolant murmure Le souffle étale Du chat qui dort Professeur d'économie, Marie-Hélène Soulier a découvert l'écriture poétique à travers ses rencontres et la lecture des grands écrivains. Jean Maison évoque avec brio sa raison d'être dans la postface qui accompagne le recueil : "Ils ressemblent à des arbres et ils marchent. Voici nommé le mouvement de l'âme entrevu dans le halo d'une mince bougie de cire, plantée dans le sable de l'autel. La prière ardente engage le verbe établi".

10/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

Ils ne savent pas ce qu'ils font

Traduit du finnois par Sébastien Cagnoli Baltimore, 2014. Le laboratoire de recherches en neurosciences du professeur Joe Cheyefski est saccagé par des défenseurs de la cause animale. Peu après, Joe apprend que les menaces qui pèsent sur lui et sur sa famille sont liées au fils qu'il a eu avec sa première épouse, devenu militant extrémiste, qu'il n'a pas revu depuis qu'il a quitté la Finlande deux décennies plus tôt en abandonnant femme et enfant. Joe s'inquiète également pour sa fille, Rebecca. Une grande entreprise l'a choisie pour être son porte-étendard au lycée : en échange de vêtements, de maquillage et d'accessoires, Rebecca doit promouvoir les produits de cette compagnie auprès de ses camarades, notamment une drogue contre l'anxiété sociale, Altius. Elle se voit aussi remettre un engin hyperconnecté relié directement à ses neurones, l'iAm, qui capte toutes ses données 24 h/24 et oriente ses choix, ses goûts, ses activités. Joe découvre bientôt que la multinationale qui se trouve derrière tout ça a infiltré différents secteurs de la société, et que ses propres recherches ne sont peut-être pas pour rien dans son malheur. Jussi Valtonen livre un roman d'une ampleur magistrale, à la croisée de la Pastorale américaine de Philip Roth et du Meilleur des mondes d'Aldous Huxley. Il y aborde avec audace et ingéniosité quelques grandes questions de notre temps : la perte de repères dans une société hyperconnectée et impersonnelle, les écueils du consumérisme, les problèmes éthiques posés par la recherche scientifique. La dimension dystopique du récit, qui confine pourtant au réalisme, la qualité de l'écriture et la profondeur psychologique des personnages en font un grand roman contemporain qui tend un miroir terrifiant à ses lecteurs. Prix Finlandia 2014 Né en 1974, Jussi Valtonen est un écrivain et psychologue finlandais. Après avoir étudié la neuropsychologie aux Etats-Unis et vécu en Grande-Bretagne, il a travaillé comme journaliste scientifique pour différentes revues. Il est l'auteur de trois romans et d'un recueil de nouvelles. Ils ne savent pas ce qu'ils font, son premier livre publié en France, meilleure vente de l'année 2014 en Finlande et traduit dans une dizaine de pays, s'est vu décerner le prestigieux Prix Finlandia.

01/2017

ActuaLitté

Philosophie

Une rolex à 50 ans. A-t-on le droit de rater sa vie ?

Les signes extérieurs de richesse signifient-ils vraiment que nous avons réussi notre vie ? L'homme est-il un animal bling-bling ? Désertant les voies du succès mondain, l'auteur de ce livre défend avec brio la "vie de traviole".

09/2011

ActuaLitté

Policiers

Ils étaient cinq

Le capitaine Antoine Brémont observe, impuissant, un inconnu se faire torturer. C'est à lui et à personne d'autre que les agresseurs ont envoyé la vidéo. Un SMS lui indique où se trouvent la victime, vivante, mais dans le coma, ainsi qu'une femme séquestrée. Les ravisseurs ont promis d'autres violences... Pour les arrêter et mettre un terme au massacre, le capitaine Brémont doit comprendre ce qui les anime. Ils l'ont choisi comme interlocuteur privilégié et ce n'est pas un hasard. Mais est-il prêt affronter ses propres cauchemars ?

02/2019

ActuaLitté

Photographie

Ils s'aiment

Quels sont les secrets d'un couple qui dure ? C'est à cette question qu'une vingtaine de couples, qui ont derrière eux entre 15 et 45 ans de mariage, répondent dans de courtes et percutantes interviews illustrées par leurs très beaux portraits. Cet ouvrage fait l'objet d'une exposition en région parisienne. A propos de l'auteur : Maëlenn de Coatpont est une photographe connue pour ses portraits ; ses reportages et expositions visent à faire ressortir la beauté des personnes. Laurence Court-Delchiaro est une journaliste qui sait faire parler les âmes.

01/2015

ActuaLitté

BD tout public

Ils étaient dix

Ils étaient dix, publié à l'origine en français sous le titre Dix petits nègres, est le roman le plus connu et adapté d'Agathe Christie. Une intrigue en milieu clos qui tient en haleine jusqu'à la dernière page. Huit invités sur une île, qui rejoignent un couple de domestiques. Personne ne connais personne. Une drôle de comptine, égrenant la mort de dix soldats... L'orage gronde, la tension est à son comble. Que peut cacher cet étrange rendez-vous ? Et quand arriveront donc leurs hôtes, monsieur et madame O'Nyme ?

09/2020

ActuaLitté

Littérature française

Ils s'aimaient

Florence et Bastien, du jour où ils se sont rencontrés, ils se sont aimés. " Leur amour est de telle guise, qu'il ne saurait vivre sans elle et elle sans lui ". La comptine règle et berce leur existence. Ils habitent une ruine qu'ils ont restaurée, en surplomb du nid d'aigle d'Eze, de Villefranche, de Monaco. De là-haut, l'œil porte d'un côté jusqu'à la baie de San Remo, de l'autre vers l'Estérel et les Maures, tandis qu'au loin persiste souvent l'illusion de la Corse. Ils sont heureux autant qu'on peut l'être en ce monde. Mais une nuit, cet hymne à la nature, à la beauté, aux petites gens, au respect de l'autre, à l'amitié, à l'amour est interrompu. La violence les prend pour cible. Une voiture s'approche de la leur. Des phares blancs les éblouissent. " Il y a vraiment des détraqués " s'écrie Florence. Alors commence une autre vie.

05/1998

ActuaLitté

Littérature érotique

Je tu ils

Je Tu Ils est le combat existentiel d'un homme au siècle dernier pour sortir du monde ouvrier et se réaliser socialement et intimement. Son investissement social, syndical et politique lui permet de masquer son homosexualité. Il entame une psychanalyse et une thérapie psychocorporelle et trouve alors sa voie. Il comprend que le bonheur humain n'est pas le résultat d'une révolution sociale, mais d'une révolution personnelle. L'acceptation de son homosexualité le libère et il peut dès lors s'investir dans l'aide aux autres en tant que psychothérapeute.

06/2023

ActuaLitté

Littérature française

Elles, Ils, Nous...

Bribes de vies... D'un Elle à lui, aux autres... Miroirs de nos êtres.

12/2013

ActuaLitté

Faits de société

Ils sont innocents !

Grâce à ce livre qui a déclenché, depuis 1980, dans toute la presse et à la télévision, un mouvement de curiosité d'abord, d'unanimité ensuite, l'affaire du crime de Saint-Michel-en-Brenne est devenue "l'affaire Mis et Thiennot" . L'auteur y livre une démonstration implacable de l'innocence de Raymond Mis, Gabriel Thiennot et de leurs compagnons, accusés du meurtre d'un garde chasse dans la Brenne de l'après-guerre. Le récit, prudent, dépouillé de toute passion, de Léandre Boizeau, a ainsi rallié des milliers de Français à la cause de Mis et Thiennot. Cette cinquième édition est enrichie d'un avant-propos et d'une annexe reprenant les principaux faits nouveaux présentés lors des différentes requêtes en révision du procès.

10/2010

ActuaLitté

Littérature étrangère

Ainsi soient-ils

A trois heures du matin, au son d'un slow joué au piano, sous un plafond scintillant d'étoiles artificielles, dans le coin le plus sombre d'un bar et sous le regard de tous, deux amants tombent dans les bras l'un de l'autre... L'un est plus âgé et plus sage. L'autre n'a que dix-neuf ans. Des premiers baisers à la proclamation des bans, du mariage à l'acte d'amour et à la fondation d'une famille, tout dans cette histoire est à sa place habituelle. Sauf que ce mariage est un mariage entre hommes... C'est dans une langue hypnotique et musicale que Neil Bartlett conte cette fable érotique et morale peuplée de personnages énigmatiques, cette histoire d'amour fou empreinte de crudité parfois, de romantisme souvent, mais aussi d'une compassion admirable. La parution de ce premier roman à l'art narratif consommé, rare dans son goût pour le détail baroque, a constitué en Angleterre un véritable événement.

02/1999

ActuaLitté

Livres 0-3 ans

Où vont-ils ?

Sur chaque page, des animations à pousser et à tirer pour découvrir les véhicules ! Un petit jeu caché-trouvé idéal pour les petites mains.

06/2020

ActuaLitté

Littérature française

Ils me reconnaissent

"Depuis sa sortie du Conservatoire, Victor, la cinquantaine, se bat pour exercer son métier d'acteur. Un jour, son rêve se réalise : un premier rôle dans une série en access-prime-time et la reconnaissance qui va avec, à tous les coins de rue, au restaurant, à la piscine, dans le métro... Un tourbillon de selfies, d'autographes, de rencontres drôles et émouvantes, qui s'enchaînent, sans interruption, jusque sur les réseaux sociaux. Victor décide d'en profiter ! On ne sort pas de trente ans d'indifférence sans une immense propension à se jeter avec avidité sur toute forme d'intérêt pour sa petite personne. Au bout de cet étonnant voyage, un épisode cruel de son enfance réapparaîtra. Il comprendra la nécessité absolue qui lui a fait embrasser cette étrange profession d'acteur pleine de rebondissements..."

04/2018