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Correspondance. Tome 3, Lettres à Marie

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Correspondance

Correspondance. Tome 3, Lettres à Marie

Depuis sa jeunesse à l'Arsenal jusqu'à sa retraite à Fontenay-aux-Roses, Marie Mennessier-Nodier ne cessa de recevoir les témoignages d'estime et d'amitié d'une foule de correspondants parmi lesquels figurent quelques grands noms de son siècle : Victor Hugo, Alfred de Musset ou Alexandre Dumas.

07/2021

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Marie

A Marie. Lettres

Une femme s'adresse à Marie. Une soeur s'adresse à la Vierge. Tout y passe : le corps, les sentiments, mais aussi la foi, l'enthousiasme, l'épreuve, la détresse, la souffrance. Et Jésus, bien sûr. Bouleversant. Mystiques et concrètes, contemplatives et fulgurantes, adorantes et familières, paisibles et frondeuses, édifiantes et savoureuses : il faudrait réunir tous les oxymores pour décrire un tant soit peu les lettres intimes qu'Anne Lécu adresse sur papier libre à Marie de Nazareth. En les ouvrant à tous, ce livre fait de chacune et de chacun d'entre nous un correspondant entre la Terre et le Ciel. Jour après jour, une femme s'entretient avec la " femme entre toutes les femmes ". Une soeur consacrée à Dieu se confie à la mère de Dieu. Une médecin des prisons s'en remet à la protectrice des affligés. Ses pensées, ses méditations, ses attentes, ses demandes, sa prière, Anne Lécu les inscrit dans l'histoire de Marie, de l'Annonciation à l'Assomption. Les nouvelles du monde font écho aux plus grandes grâces et aux plus sourdes peines qu'a connues celle qui a donné chair au Verbe. L'énigme de l'iniquité s'évanouit devant le mystère de l'incarnation. Et l'infidélité, devant la merveille. C'est toute l'humanité blessée que la Vierge embrasse et étreint. Un sommet contemporain de la littérature spirituelle.

11/2022

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Poésie

Lettres à Marie

"Allons, Marie d'azur. Allons, beauté des fleurs ! Nous jouerons dans les bois éclairés de chaleurs, Dans ce doux mois d'avril où la nature est douce, Nous irons près les mers recontempler leur mousse... "

05/2021

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Critique littéraire

Correspondance. tome 3 : lettres 53-70

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Lettres à Marie Curie

CNLfeminisme – Est-il possible d'apporter quelques touches de couleur aux portraits convenus de Marie Curie ? Tel est le pari de ce recueil de lettres, dont les signataires viennent des sciences, des humanités et de l'art. Ecrites aujourd'hui, bien qu'expédiées dans le passé, ces lettres nous rapprochent d'une femme exceptionnelle par des voies très diverses. Certaines rendent un hommage intime à l'icône au double Nobel, ou discutent au contraire savamment avec elle, d'autres encore s'attachent à nuancer certains traits de son image. Cette occasion d'abolir le temps, d'oublier les limites des identités, a démultiplié l'inventivité des messages et la portée de leurs éclairages. Ils en disent long sur notre temps et révèlent la place immense que Marie Curie occupe parmi nous.

02/2020

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Littérature française

Lettres à Marie Dormoy

C'est à Marie Dormoy, que Léautaud a confié la publication de son Journal Littéraire. Grande preuve d'estime, de confiance et aussi d'amitié. Les lettres publiées ici sont extraites de la correspondance qu'il lui a adressée de l'année 1922, à l'occasion d'un article publié par elle dans le Mercure de France, à l'année 1956, la dernière lettre ayant été écrite le matin même de sa mort. C'est par Marie Dormoy que Léautaud est entré dans un monde qui, jusqu'alors, lui avait été totalement inconnu : les familles régulièrement constituées, les structures normalement établies, ce qui lui a causé de grandes surprises. Cette correspondance est donc, en quelque sorte, un complément au Journal. Léautaud s'y exprime à coeur ouvert, sur le meilleur et sur le pire, cela dans la proportion du cheval et de l'alouette, celle-ci figurant, bien entendu, le meilleur, celui-là le pire. Ce meilleur et ce pire ne sont toutefois pas absolument ceux du Journal. Ecrivant à une femme pour laquelle il avait, quoi qu'il en ait dit, quoi qu'il lui ait fait, une sincère affection, il y a, dans ces lettres, un ton, une "étoffe" aurait dit Valéry, qu'on ne retrouve dans aucune autre de ses oeuvres.

03/1989

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Littérature française

Lettres à Marcie

Les femmes, dites-vous, ne sont pas philosophes et ne peuvent pas l'être. Si vous ramenez le mot de philosophie à son sens primitif, amour de la sagesse, je crois que vous pouvez, que vous devez cultiver la philosophie. Je sais qu'aujourd'hui on donne le titre de philosophes aux hommes les moins voués à la pratique de la force et de la vertu. Il suffit qu'on ait étudié ou professé la science des sages, ou seulement qu'on ait rêvé quelque système de législation fantastique, pour être gratifié du titre que portèrent Aristote et Socrate. Mais l'oeuvre de la philosophie est ouverte à vos regards, et vous pouvez y puiser tous les secours dont votre âme a besoin. Chaque âge, chaque sexe, chaque position sociale y doit trouver un aliment proportionné à ses forces et à ses besoins. On enseigne la philosophie aux jeunes garçons ; on devrait nécessairement l'enseigner aux jeunes filles.

02/2014

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Latin - Littérature

Correspondance. Lettres 1 à 954

La correspondance de Marcus Tullius Cicéron est l'une des plus abondantes que l'Antiquité nous ait léguées : près d'un millier de lettres qui représentent un formidable témoignage à la fois historique, politique, social et personnel, celui d'un citoyen qui se trouvait au coeur des intrigues au dernier siècle de la République romaine. Elles nous entraînent dans les coulisses du pouvoir. Elles nous brossent surtout le portrait d'un homme, avec ses forces et ses faiblesses, ses erreurs et ses doutes, ses incertitudes et ses contradictions. Elles permettent d'humaniser une figure tutélaire qui laisse percer, au fil des pages, ses soucis d'homme, ses défauts, ses humeurs, son manque de courage, son égoïsme, ses sentiments intimes. Etait-il toujours sincère ? Certes, non. Le mensonge, la duplicité, la clabauderie, le goût très romain du trait qui assassine sa cible sont partout présents... Elles révèlent encore un homme de lettres qui goûte certains plaisirs plus que de raison et plus fort que sa fortune ne le lui permet, tout cela en contradiction avec les beaux principes énoncés dans ses traités de philosophie. Qui eût imaginé Cicéron gourmand jusqu'à s'en rendre malade, ou amateur du plaisir de la conversation avec "un petit coup dans le nez" , comme il l'écrit lui-même. "Que de plaisanteries qui sont mises dans la correspondance paraîtraient déplacées si on les rendait publiques" , reconnaît-il dans l'une de ses missives. La correspondance n'offre pas à lire la Vérité, mais bien plutôt la vérité d'un homme qui fut l'une des plus grandes figures de cette République agonisante et à qui nous devons les fondements d'une pensée proprement romaine ainsi que l'élaboration d'une philosophie de l'histoire qui a nourri pour des siècles notre civilisation. Cicéron fut, en son temps, le plus grand défenseur de la liberté, cette libertas au nom de laquelle il luttait contre le pouvoir du tyran, qu'il se nommât César, Pompée, Antoine ou Octave. Le coeur de son engagement. Cette édition, qui s'appuie sur la traduction de la Collection des Universités de France, est la première à présenter l'intégrale de la correspondance de Cicéron.

03/2021

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Histoire de France

Lettres à la marquise. Correspondance inédite avec Marie Arconati Visconti (1899-1923)

Affaire d'Etat, l'affaire Dreyfus est aussi l'affaire d'un homme qui n'a cessé de chercher à restaurer son honneur. Un homme qui demeure finalement bien peu connu, mais qui se dévoile dans son intimité au fil de cette correspondance inédite avec la marquise Arconati Visconti. De 1899 à 1923, ces 458 lettres - la plupart étant de lui - révèlent non seulement Dreyfus après l'Affaire, mais aussi des points essentiels de l'histoire de France. Marie-Louise Arconati-Visconti (1840-1923), fille du journaliste et homme politique Alphonse Peyrat, était une femme influente dans les salons parisiens en même temps qu'une républicaine laïque. Riche collectionneuse et mécène, elle fut une grande amie du capitaine Dreyfus, qui disait des déjeuners chez elle qu'ils étaient "une joie pour l'esprit et un plaisir pour le coeur" - un si grand plaisir qu'il l'a prolongé par des lettres à cette femme droite et passionnée. Lettre après lettre, nous rencontrons des figures essentielles de l'histoire française : Emile Combes (c'est la séparation de l'Eglise et de l'Etat), Jean Jaurès (c'est le moment de la Grande Guerre, où Dreyfus se révèle un intransigeant patriote), Clemenceau, Aristide Briand, mais aussi des figures moins connues comme les historiens Auguste Molinier et Gabriel Monod qui ont apporté leur soutien à Dreyfus tout au long de l'Affaire. C'est enfin et surtout le portrait de l'homme Dreyfus, plus engagé dans les combats politiques qu'on ne l'aurait pensé, ne cédant rien sur son honneur ni sur celui de la France. Cette correspondance inédite est un apport considérable à ce qu'avait écrit Dreyfus dans ses deux livres de souvenirs (Cinq années de ma vie, 1901, Carnets, posth, 1998). Une découverte capitale et un témoignage passionnant. L'édition est établie et préfacée par Philippe Oriol qui travaille depuis plus de vingt-cinq ans sur l'Affaire Dreyfus et a écrit une Histoire de l'affaire Dreyfus de 1894 à nos jours (Les Belles Lettres, 2014).

03/2017

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Critique littéraire

Lettre à Marie-Jeanne

Avouer son homosexualité même au XXIe siècle soulève encore quelques complexités. Cette lettre, rédigée par un étudiant de dix-huit ans est destinée à ses proches et son ami, à qui il a menti durant plus de deux ans, certainement inconsciemment.

02/2014

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Littérature française

Lettre à Anne-Marie

Mic Bruner a vécu un véritable amour platonique avec une demoiselle aux soixante-dix printemps, hors du commun. Celle-ci était très belle, très cultivée, et de surcroît très riche. En accord avec Anne, après avoir obtenu ses droits à la retraite, il part

10/2014

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Religion

Lettres à une amie. Correspondance spirituelle

Les lettres de Geneviève de Gaulle Anthonioz sont des confidences sur sa vie spirituelle. Ces extraits ont été choisis pour que soit manifestée la source profonde de son union à Dieu, qui portait ses engagements publics auprès de ses camarades déportés, à ATD Quart Monde à la suite du Père Joseph, et soutenait son action pour les droits de l'homme, en particulier pour les plus pauvres. Comme l'écrit le Cardinal Georges Cottier dans sa préface: " Le cœur du message, cette rencontre du mal, est l'occasion d'une découverte par cette âme de foi d'un mystère encore plus abyssal, le mystère de l'amour miséricordieux (...) C'est à répondre à cet amour que nous aideront les lettres discrètes et si fortes recueillies dans le présent volume ".

10/2005

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Critique littéraire

Correspondance. tome 6 : lettres 110-120

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Correspondance. tome 7 : lettres 121-130

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Correspondance. tome 4 : lettres 71-95

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 2 : lettres 23-52

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 5 : lettres 96-109

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Correspondance

Lettres à Marie Canavaggia. 1936-1960

Marie Canavaggia, "Mlle Marie ma secrétaire" comme l'appelait Céline, fut à la fois secrétaire, en effet, mais aussi collaboratrice de l'écrivain : dès le 12 avril 1936, alors que leurs relations épistolaires s'engagent avec la mise au point de Mort à crédit, Céline lui écrit : "Mais non ! Mais non! Il n'est pas de petits détails qui peuvent me lasser! Je les veux tous! La moindre virgule me passionne." Marie Canavaggia, traductrice de l'anglais et de l'italien, en prenant la suite de Jeanne Carayon qui avait suivi l'établissement du texte de Voyage au bout de la nuit, entame ainsi à quarante ans une seconde carrière. Elle devient intime de toute l'œuvre de Céline, jusqu'à Nord en 1960, en lui manifestant une admiration et un dévouement passionnés, alors que rien ne semblait l'y préparer. D'une secrétaire, d'une assistante plutôt comme elle l'écrira elle-même, elle assure le travail en amont (relecture des dactylographies successives, puis des épreuves), mais aussi après les publications : elle collectionne les articles et comptes rendus, surveille la mise au point et l'expédition des lettres de répliques aux journaux, procure à l'écrivain des livres dont il a besoin et, à l'occasion, retrouve pour lui un mot qu'il a perdu... Son rôle devient prépondérant lorsque Céline s'exile au Danemark : "Je ne vis que par vos lettres", lui écrit-il en 1945, et quand plus tard la "fabrique" littéraire se sera remise en route tant bien que mal : " Quelle joie cette collaboration si intime, si intelligente, si vivifiante." Ainsi ces lettres à Marie Canavaggia, qui forment le corpus épistolaire célinien le plus important en nombre (508 lettres) comme le plus étendu dans le temps (1936-1960), sont-elles un inestimable témoignage sur la genèse du style et le travail acharné que Céline mène sur l'écriture, en toutes circonstances et jusqu'au bout de sa vie. Cette édition reprend le texte qui a été revu et l'appareil critique mis à jour de l'édition originale en trois volumes de 1995, dont le tirage à quatre cents exemplaires avait été rapidement épuisé.

11/2007

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Religion

Lettres sur la souffrance. Correspondance avec soeur Marie Goby (1910-1914)

En juillet 1910, Elisabeth Leseur visite l'hôtel-Dieu de Beaune. Elle y fait la connaissance de la petite Marie, une fillette alitée qui la touche profondément et à qui elle enverra des jouets, des livres d'images et des cartes postales. La maladie et la mort de la petite Marie rapprochent la religieuse hospitalière, soeur Marie Goby, qui s'occupait de l'enfant, et Elisabeth Leseur ; c'est de là que naissent la belle amitié et la correspondance qui, pendant les trois dernières années de la vie d'Elisabeth, les uniront. Le recueil des soixante-dix-huit lettres d'Elisabeth à sa correspondante fut édité après sa mort par son mari, Félix Leseur, qui lui a donné son titre : Lettres sur la souffrance. Il aurait aussi bien pu s'intituler "Lettres de communion" tant Elisabeth y exprime très librement cette grande soif de "communion d'âmes" qui l'animait. Cette nouvelle édition inclut pour la première fois les lettres de soeur Marie Goby à Elisabeth, qui ont été retrouvées par les bons soins de Janet Ruffing, r.s.m., qui introduit l'ouvrage.

08/2012

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Littérature étrangère

LETTRES A UNE MUSICIENNE. Correspondance avec Benvenuta

Le 26 janvier 1914, par l'intermédiaire de son éditeur, Rilke, qui habite alors Paris, reçoit la lettre d'une inconnue. Elle est viennoise, pianiste, et s'appelle Magda von Hattingberg. La réponse du poète ne se fait pas attendre. Le ton est aimable, flatté, et Magda ne peut que reprendre la plume. Bien vite cette correspondance s'emballe. En l'espace de quelques lettres, l'inconnue devient la sœur, la confidente, la fidèle et tendre amie. Pendant un mois, ils s'écrivent presque tous les jours, et même plusieurs fois par jour, des lettres de plusieurs pages, des " monstres " comme dit Rilke. Ils ne se sont encore jamais vus et chacun rêve de tout dire, de tout écrire, d'être transparent aux yeux de l'autre. Cette correspondance, où l'absence redouble la passion, fait partie intégrale de l'œuvre rilkéenne tant le poète s'y met au nu devant celle qu'il nomme " Benvenuta ".

09/1998

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Littérature française

CORRESPONDANCE. Tome 3

Ce troisième et dernier volume de la Correspondance de Valery Larbaud et Marcel Ray montre les deux amis témoins et acteurs d'une époque où la littérature a brillé d'un éclat exceptionnel. Citons seulement l'aventure d'Ulysse à laquelle Larbaud est si étroitement mêlé. En même temps, Larbaud livre bien des confidences sur ce que furent ses rapports avec sa mère, qui donnèrent lieu à tant de légendes. Sa correspondance permet d'en comprendre les contradictions. Du vivant de sa mère, Larbaud n'a jamais réussi à acquérir son indépendance matérielle et morale. Mais s'il se révoltait contre l'ordre bourgeois qu'elle incarnait, il aspirait en même temps au calme et au confort. L'irrégularité et le désordre lui répugnaient. Et quand sa mère n'est plus le despote qui le faisait trembler, mais une vieille femme affaiblie par la maladie, il se prend de pitié pour elle, de tendresse, et d'angoisse devant cette liberté qui va lui être accordée au prix de la mort. Enfin, au cours des ans, nous voyons se former et s'affirmer une profession de foi littéraire : écrire sans contrainte matérielle ou morale, sans souci de gloriole personnelle, pour l'amour des lettres et pour son plaisir.

11/1980

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Littérature française

Correspondance. Tome 3

Correspondance de Bossuet. Tome 3 / éd. augm. de lettres inédites et publiées avec des notes et des appendices sous le patronnage de l'Académie française par Ch. Urbain et E. Levesque Date de l'édition originale : 1909-1925 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2021

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Mystique

Lettre à Mère Teresa Maria - Tome 1

Née le 18 février 1900, Mère Teresa Maria fut accueillie au monastère des Carmélites déchaussées à Rome à l'âge de 18 ans. En 1938 elle fut transférée auprès du monastère de Camaiore (Lucca), où elle fut élue prieure 3 ans plus tard. Mère Teresa a été la grande confidente de Maria Valtorta. La cloîtrée par vocation et la cloîtrée par infirmité ne s'étaient jamais rencontrées, mais elles avaient confié à un intense échange de lettres, durant une douzaine d'années environ, leurs inquiétudes sur les péripéties de l'oeuvre et les élans confidentiels de leurs âmes soeurs. La correspondance de Maria Valtorta retrace jour après jour une histoire humaine bouleversante sous le rayon d'une ascèse héroïque. C'est presque le reflet d'un drame qui fut récisément celui de l'Incarnation : faire accepter le don de Dieu par un monde buté et par une caste sacerdotale. Dans ses lettres à la moniale de clôture carmélite qu'elle avait choisie comme mère spirituelle, Maria Valtorta signe "Soeur Maria de la Croix" . C'est le nom que Jésus lui avait attribué, le 14 septembre 1944, lorsqu'elle en était venue à l'aimer avec la perfection d'une véritable épouse.

02/2022

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Religion

Lettres à sa soeur Marie de Blic

Charles de Foucauld n'avait qu'une sueur cadette, Marie. Ils perdirent très tôt leurs parents puis, à l'adolescence, le grand-père qui les avait élevés. Revenu de son exploration au Maroc, Charles fut témoin, à la fin de 1884, au mariage de Marie avec Raymond de Blic. Pendant trente ans, ils s'écrivirent régulièrement. Charles s'adressait rarement aux deux époux : il confiait à son beau-frère ses projets et ses soucis, ses réflexions et ses besoins, réservant à sa "chère Mimi ", facilement inquiète et scrupuleuse, tout ce qui touchait à la vie familiale, à la santé, à l'éducation de leurs six enfants, au soutien de la vie spirituelle axée sur la confiance et la sainteté... Parmi les 350 lettres écrites par le Père de Foucauld à sa sœur entre 1883 et 1916, et conservées par la famille, nous en avons choisi 240 dont les extraits sont parfois éclairés, en note, par d'autres correspondances ou des remarques faites à Raymond. Par discrétion, le Père détruisait d'habitude le courrier auquel il avait répondu... Ces échanges intimes entre le frère et la sueur nous révèlent, au moment où l'Église va reconnaître la richesse de son message, un visage nouveau du Fr. Charles, fait de sensibilité et de tendresse, d'attention et de communion, de patience et de fidélité.

11/2005

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Pléiades

Correspondace. Tome 3

"On ne peut contester à Marie de Rabutin Chantal, marquise de Sévigné (1626-1696), le titre de plus célèbre épistolière de France. Ses lettres écrites d'un ton libre et d'un style inventif nous introduisent dans sa familiarité et dans celle de son siècle. Si les lettres à sa fille, Mme de Grignan, nous la montrent mère passionnément attentive, on ne peut négliger le rôle qu'elle joue de témoin, souvent spirituel et amusé - mais aussi depuis l'affaire Fouquet, parfois inquiet et réprobateur -, des petits et grands événements du règne de Louis XIV". Jacques Prévot.

01/1978

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Critique littéraire

Correspondance, lettres et souvenirs de 1944 à 1962

En appendice, de nombreux textes peu connus de Sartre

02/1970

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Beaux arts

Lettres à Alice (1914-1919). Correspondance de guerre

D'une malle en osier oubliée est sorti un trésor de guerre. Plus d'une centaine de lettres, inédites, écrites de la main de Derain, toute une correspondance des années de guerre adressée à sa " chère Alice " . Des courriers en mauvais état, à l'écriture irrégulière, tracée avec une encre souvent effacée par l'humidité, mais qui enrichissent prodigieusement la masse épistolaire des années 1914-1919. Décryptées, transcrites et classées, ces lettres disent le quotidien du soldat Derain pendant les quatre années de guerre : ses premiers élans, ses déceptions, son désoeuvrement et ses peurs, sa solitude, sa frustration de ne pas participer à la vie artistique parisienne, ses tentatives, par Alice interposée, de s'inscrire sur le marché de l'art. Elles nous parlent aussi d'un homme que la guerre sépare de sa famille et de ses proches. Les propos de Derain révèlent le caractère affirmé d'Alice, sa compagne, qui deviendra sa femme en 1926. Son esprit libre causait parfois bien du tourment à André, mais il lui avoue en 1917 qu'elle est " le seul être humain dont [il] recherche le vrai suffrage " . Ce volume réunit 254 lettres écrites par André Derain à Alice. Témoignage exceptionnel d'un Français dans la Grande guerre, il est aussi une chronique de la scène artistique racontée d'une plume sensible par un artiste d'une rare intelligence. En coédition avec le Centre André Derain et le Centre Georges Pompidou. Avec la collaboration scientifique du musée de la Grande guerre du pays de Meaux. Ouvrage publié sous la direction de Geneviève Taillade et Cécile Debray. Edition établie, présentée et annotée par Christina Fabiani et Valérie Loth.

10/2017

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Musique, danse

Correspondance. Suivie de Letrres à Madame H.

Echelonnées tout au long de la vie de Gabriel lauré, les quelque huit cents lettres ici rassemblées retracent le parcours d’une des figures les plus illustres de la musique française à une époque de grand rayonnement. La variété de ses correspondants rend compte de tous les aspects de son activité : avec ses collègues compositeurs (Saint-Saëns au premier chef, Vincent d’Indy ou ses élèves au Conservatoire : Ravel, Roger-Ducasse, Koechlin), ses interprètes (Alfred Cortot, Edouard Risler, Eugène Ysaÿe, Robert Lortat), ses éditeurs ou des écrivains (Flaubert, Verlaine, Proust, Colette, Montesquieu) et ses amies-mécènes (Mme de Saint-Marceaux, la comtesse Greffulhe, la princesse de Polignac), il évoque son métier de musicien : les inspections de conservatoires, les innombrables concerts où il interprète ses oeuvres, la rédaction de critiques pour Le Figaro. On voit ainsi se construire au jour le jour une carrière, avec toutes ses difficultés : les aléas du théâtre, en particulier autour des représentations de Pénélope, occupent une grande place, de même que les fatigues liées à la direction du Conservatoire. Le portrait du compositeur, exprimant des jugements tranchés sur nombre de ses contemporains, souvent loin du «doux Fauré», se peint à travers ces échanges ; il est complété par ses lettres adressées, parlais quotidiennement, à Marguerite Hasselmans, qui fut sa compagne, de 1901 à sa mort, en 1924. Au-delà de l’effusion amoureuse qui révèle l’homme privé, leur intimité et leur confiance donnent à ces lettres un ton extrêmement libre, où le musicien se découvre comme jamais.

10/2015

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Critique littéraire

Oeuvres. Tomes 2 et 3, Correspondance : Tome 2, Lettres I-LXIII ; Tome 3, Lettres LXIV-CLVI, Edition bilingue français-grec ancien

Tome II inclus des Lettres I-LXIII et Tome III des Lettres LXIV-CLVI.

01/1999

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Critique littéraire

Epistolaire, Revue de l'Aire N° 46/2020 : Albert Camus

SOMMAIRE : Geneviève Haroche-Bouzinac, Avant-propos. Dossier : ALBERT CAMUS EPISTOLIER Anne Prouteau et Agnès Spiquel, Ouverture. - DIALOGUES EPISTOLAIRES. Marie-Thérèse Blondeau, "Camus-Grenier : un ami capital" . - Françoise Kleltz-Drapeau, "Ecrire "un roman d'amour" : la correspondance avec Maria Casarès" . - Laurent Bove, "L'absurde et l'esprit d'orthodoxie. La correspondance A. Camus-F. Ponge" . - Samantha Novello, "Un "Mythe de Sisyphe en action" : la correspondance en tant qu'espace politique chez Camus et Chiaromonte" . - Christian Phéline, "D'amitié, en réplique, imaginaire... la lettre publique dans tous ses états" . - L'AMITIE AU SERVICE DE L'OEUVRE. Pierre-Louis Rey, ""Cher ami"" . - Alexis Lager, "La correspondance de Camus avec les poètes : "un long débat avec la poésie" ? " . - David Walker, "Camus - Lettres et théâtre" . - Hans Peter Lund, "L'oeuvre à l'épreuve du doute dans la correspondance d'Albert Camus" PERSPECTIVES Sophie Rothé, "Mutisme, censure et révolte de l'épistolier : Mirabeau à Vincennes" . - Marie Dupond, "La correspondance du géomètre Gaspard Monge (1746-1818). Pratique scientifique et action publique" . - Motasem Alrahabi, Pauline Flepp, Camille Koskas : "Polémiques dans le rituel épistolaire : le cas des correspondances Ponge et Paulhan" . - Béatrice Vernier, "Le Bruit des clés d'Anne Goscinny. Epistolaire et recherche de filiation" CHRONIQUES Guy Basset, Etat de la question : La correspondance d'Albert Camus. - Karin Schwerdtner, "Leïla Sebbar : son oeuvre, ses lettres, ses fragments" , Entretien avec Karin Schwerdtner. - Benoit Melançon, Le Cabinet des Curiosités Epistolaires. RECHERCHE Bibliographie (Agnès Cousson et alia.). - Comptes rendus. - Résumés du Dossier et des Perspectives

09/2020